lundi 31 janvier 2011

Ma wishlist d'anniversaire

Parce qu’aujourd’hui, c’est mon anniversaire, je fais ce que je veux. Donc, pas de note beauté. Vous ne m’en tiendrez pas rigueur. En même temps, comme c’est mon anniversaire, vous êtes obligées de faire avec mes caprices, na ! Bon, ce n’est pas vraiment un caprice mais étant sous l’eau à cause du boulot et très très en retard sur mes deadlines, je n’ai pas eu le temps de vous concocter un vrai article. J’avais juste envie de partager avec vous les cadeaux que je me ferais à moi-même si j’avais le compte en banque de Paris Hilton. Pour changer, ce ne sera que des cadeaux mode. Vous allez finir par croire que je suis plus fashionista que beauty addict. Pas du tout, je mange beauté, je vis beauté et je travaille beauté. Mais, peut-être parce que c’est plus inaccessible, la mode me fait plus fantasmer. Je me suis donc fait une liste du Père Noël de pièces cultes qu’il me faut absolument. J’en achète certaines petit à petit pour me récompenser, d’autres resteront je pense des fantasmes vu leur prix. Donc, en plus de toutes les fringues Castelbajac sur lesquelles je pourrais mettre la main (car on n’a jamais assez de fringues JC/DC), j’ai aussi dans ma whislist :



La bague Oui Dior
En version dorée ou argentée, je la trouve trop mignonne. Mais je ne dirais pas non (mouhahaha) à la version pavée de diamants. Pour un bijou de marque, on peut considérer qu’elle n’est pas si chère (500 € je crois pour la version basique) mais, même si je l’adore et que j’en rêve depuis longtemps, je trouve que proportionnellement à ce que c’est, ça fait beaucoup. Ok, c’est de l’or, mais elle fait pas chic. C’est cute mais ça fait aussi cheap/toc. Donc pour l’instant, je résiste.


Les ballerines souris Marc Jacobs ou Marc By Marc, ça dépend des versions
J’adore presque toutes les versions, sauf peut-être celles à poils, qui ressemblent trop à une vraie souris, beurk. Elles aussi elles sont trop mignonnes. Le plus ironique, c’est qu’il y a 5 ou 6 ans, une copine voulait se les acheter. A l’époque, je ne bossais pas encore dans le monde du féminin donc je n’avais pas encore viré modasse superficielle. Et quand elle m’avait dit ça, je lui avais fait la leçon sur le mode t’es folle, tu vas pas donner plus de 200 € pour des ballerines avec une tête de souris dessus !!! Quelle ignarde j’étais, j’ai honte. Maintenant, je les veux en noir, en blanc, en gris et en bleu, en version cuir et vernie. J’ai déjà été sur le point de craquer à plusieurs reprises mais le destin s’en est mêlé et, à chaque fois, il n’y avait pas ma pointure. Mais la petite souris me dit qu’une paire serait en chemin pour célébrer mes 25 ans (oui, j’ai changé, ce n’est plus 21 ans, c’était plus trop crédible, j’ai donc adopté une version plus raisonnable même si toujours mensongère). Joie et bonheur :)

Les lunettes de soleil Aviator de Ray Ban
Elles sont trop belles et j’ai l’impression qu’elles vont à tout le monde. Moi qui ai du mal justement à trouver une paire qui ne me fasse pas une tête de monstre, elles sont faites pour moi. Mais comme le taux de mortalité chez mes lunettes de soleil est assez élevé, je n’ai jamais osé craquer parce que, me connaissant, elle ne ferait pas long feu.



Les lunettes Wayfarer de Ray Ban
Oui, je suis faible. A force de les voir portées par les stars de toutes les couleurs, je les ai aussi mis dans ma whishlist. Je les veux en noir, en blanc, en rouge, en turquoise, etc. Et puis ce sont les lunettes que portait Audrey Hepburn dans Breakfast at Tiffany’s et j’adore ce film. Même si je ne suis pas sûre que leur forme serait seyante sur ma tête. De toute façon, même punition que pour leurs grandes sœurs : trop risqué pour la miss catastrophe que je suis.


Le sac Motorcycle de Balenciaga
Ah, mon sac de rêve. Je l’aime. Je le trouve hyper classe et pas du tout m’as-tu-vu. C’est le genre de sac que seules les initiées reconnaissent. Pas de logo bien en vue, juste une forme reconnaissable entre mille. Mais comme, pour l’instant, je ne peux psychologiquement pas dépenser un mois de salaire en une fois juste pour un sac, ça reste un rêve, et je pense que ça le restera longtemps. En plus, j’aurais trop peur de l’abîmer. Finalement, je me dis que porter des choses de grande valeur c’est à double tranchant. Parfois, je ne me sens pas hyper à l’aise. Il y a toujours une menace qui plane : et si je le perdais ? Le tachais ? L’abîmais ? Le déchirais ? Le faisais rétrécir au lavage ? Vu que tout ça m’est au moins arrivé une fois avec l’une de mes fringues, ça me ferait mal que ça arrive là.

Le sac 2.55 de Chanel
Mais attention, la petite version, les autres, je n’aime pas, ça fait trop mémère. Et, limite, de couleur. Et porté avec une tenue casual, sinon pareil, risque de mémérisation. Et j’aurais du mal à faire croire que j’ai toujours 25 si je suis habillée comme une vieille.


Le sac BB de Lancel
Lancé l’année dernière, ce sac m’a tapé dans l’œil. Plutôt pas mal en noir, je crois que mon préféré c’est quand même le blanc. En rose par contre, je suis moins sûre.

La veste en tweed Chanel
Je l’ai longtemps détestée car je ne l’imaginais que portée avec la jupe et my God que ce tailleur fait mémère. Quand je le vois, je ne m’imagine pas la classe de Jackie Kennedy mais plutôt la grand-mère du pote gay de Carrie dans Sex & The City. Vous savez dans cet épisode où elle accepte de se marier avec lui pour une question d’héritage et qu’elle se met à rêver d’hériter elle-même des 3 tailleurs de grany. Pas sexy en gros. Et puis un jour, je l’ai vu portée par Pénelope Cruz sur un jean et là, coup de foudre. J’ai revu mon jugement. Donc Karl, tu peux garder la jupe mais je veux la veste et en noir please.

Et voilà, ma liste très folies des grandeurs. Et vous, vous avez aussi des pièces cultes comme ça dont vous rêvez, tout en sachant que ça restera sûrement un rêve ?
Rendez-vous sur Hellocoton !

dimanche 30 janvier 2011

Les bijoux de maquillage: summum du glamour ou complètement gadget ?

Lors de mes premières années de beauty addictisme, il m’en fallait peu pour me faire succomber. Mon point faible : les packagings. Pour moi, l’habit faisait le moine et il suffisait qu’un produit soit cute pour qu’il rejoigne aussitôt ma trousse de maquillage (oui, c’était surtout une obsession make-up, pour le soin, j’ai toujours été raisonnable et privilégié les produits safe, même si le packaging était moche). Je vous ai déjà parlé de mon faible pour les houppettes mais ce n’est pas la seule chose que j’ai collectionnée pendant longtemps. J’ai aussi été une grande amatrice de maquillage bijou (ou bijoux de maquillage). Vous savez ces sautoirs, bijoux de sacs et autres créations bien bling bling qui cachaient un gloss ou un illuminateur. Voici les trésors amassés pendant mes années de déraison.

Mon utltime prise : le collector Lady Dior de Dior. Un vrai coup de foudre pour moi qui rêve un jour d’avoir le vrai sac (quand je serais riche). D’ailleurs, de tous mes bijoux de maquillage, c’est mon préféré et celui que j’ai utilisé le plus souvent. Cet été, je m’en servais d’ailleurs régulièrement et puis je l’ai égaré au retour de vacances. Maintenant que je l’ai retrouvé, je vais le réintégrer dans ma routine make-up. Il contient un gloss et un illuminateur teint et joues. Le problème, c’est que je ne sais plus vraiment qui fait quoi entre la couleur claire et la foncée. Oups.

Au rayon illuminateur/gloss, j’ai également la Pocket Beauty Case de Givenchy. Un joli packaging en forme de montre gousset qui contient une crème rose à appliquer sur les lèvres ou les pommettes pour les faire briller. Je l’ai utilisé quelques temps puis je l’ai délaissé, sans vraiment de raison. Le problème, c’est qu’à force de collectionner les nouveautés et d’accumuler les produits, on finit par en oublier les plus anciens même s’ils étaient très bien. Moi, je fonctionne par phase. Pendant des mois, je ne vais utiliser qu’un groupe de produits puis, pouf, du jour au lendemain je vais les délaisser, même si je les adore, pour des choses plus récentes. J’ai ainsi une boîte remplie d’anciens indispensables.


Dans cette boîte, j’ai notamment retrouvé ce Lip Twins d’Yves Saint Laurent. Ce petit gadget doré contient deux gloss (un nude et un rouge très pigmenté) que l’on fait apparaître en tournant le bout. Et quand tu tires sur le bout rond avec le logo, tu dégages un petit pinceau. Il y a environ 4 ans, je n’utilisais que lui avant de l’oublier complètement. Là, vu son âge et le temps depuis lequel je ne m’en suis pas servi, il faudrait que je le jette.


Autre bijou retrouvé dans cette boîte à trésors, ce faux diamant géant Lancôme, Precious Carat, qui contient un gloss transparent pailleté. Même si je le trouvais trop mignon, je m’en suis rapidement lassée car il n’était pas pratique à utiliser. Ce n’est ni un pendentif, ni un bijou de sac, en gros on ne peut l’accrocher nulle part. Il faut donc le mettre dans sa trousse de make-up. Et comme il est quand même assez gros, il prenait trop de place donc je l’ai viré. Oui, je suis comme ça, impitoyable.


Chez Lancôme, j’avais également craqué pour cette énorme boule/dé, je ne sais même pas comment la décrire et ne me souviens plus de sont nom. Là aussi elle est très jolie mais trop grosse et pas pratique à transporter. Pourtant elle contient deux superbes fards à paupières (un rose et un kaki) et deux gloss. Dommage.




Finalement, les plus pratiques ce sont les colliers. J’en ai d’ailleurs quelques uns. Mon trophée : ce sautoir en forme de boule constellée de strass avec un petit Dior qui pendouille et qui renferme un gloss. Une partie de moi l’adore, l’autre est plus réservée. Je l’ai d’ailleurs rarement porté. En fait, ça flatte toutes celles qui veulent de la marque mais n’ont pas forcément les moyens de se payer les vêtements des grands couturiers. Là, on peut frimer, genre j’ai du Dior. Mais, en fait, c’est à l’opposé du snobisme. Alors, oui, des fois je suis tentée de faire ma biatch et de le mettre pour crâner devant certaines copines. Mais, en général, c’est mon côté raisonnable qui gagne. Je ne suis pas anti-marque, loin de là, mais je préfère une jolie pièce où il n’y ai pas de logo et que finalement seules les initiées pourront identifier. Si vous voulez me faire un cadeau (quoi, on peut rêver ;)), en gros, je préfère le sac Classic de Balenciaga (le Motorcycle je crois) à tous les monogrammés de Vuitton.

Dans le même genre, mais en moins bling et en plus fun, Bourjois avait sorti un sautoir boule à facettes avec un gloss à l’intérieur. J’adore. C’est moins m’as-tu-vu (et moins cher aussi) mais c’est plus facile à porter et à assumer.


Bizarrement, je n’ai jamais craqué pour les concrètes bijoux, ces parfums dans des bagues ou de sublimes écrins. Bon, comme je n’aime pas le parfum, ça peut aussi s’expliquer. Et puis de toute façon, à un moment, j’ai eu un déclic : ok, c’est beau mais ça ne sert à rien. En fait, c’est trop bling bling. Donc rares sont les jours où on a l’occasion de les arborer. Je me vois mal aller au boulot avec mon collier boule à facette. Pour une soirée me direz-vous ? C’était ce que je faisais au début mais j’ai vite trouvé ça too much. On ne voit que ça. Alors même si j’ai un côté pouffe, il n’est pas assez développé pour assumer tant de bling bling. Et même si j’adore mon mini sac Lady Dior, je me vois mal l’accrocher à mon sac (trop peur de me le faire piquer). Donc, ils finissent au fond de ma trousse de maquillage puis finalement dans un tiroir. Pas glorieux pour de pareils joyaux. J’ai même fini par en léguer certains à des copines plus bling bling que moi, qui, elles, étaient toutes contentes, et les portent très souvent. Ce doit être une question de caractère.

Aujourd’hui, j’en suis donc un peu revenu (on ne sait jamais, me connaissant, les risques de rechutes sont toujours là). Même si quand je vois une nouveauté, j’ai toujours le réflexe de me dire « je le veux » (mon côté snob, toujours), je suis maintenant devenue assez raisonnable pour me dire « non, ça ne sert à rien, tu ne t’en serviras jamais ». Et je préfère mes produits bien basiques au packaging passe-partout mais qui ne pèsent pas une tonne et qui sont finalement plus faciles à utiliser et à trimballer partout. Parce que c’est peut-être beau mais c’est surtout lourd et encombrant la plupart du temps. Enfin bon, c’est quand même tout moi, ça. Je collectionne mais juste pour regarder. Je ne vous dis pas non plus le nombre de palettes collector jamais utilisées : je les trouve trop belles ou trop rares donc je n’ose pas les déflorer.
Rendez-vous sur Hellocoton !

samedi 29 janvier 2011

Nars I Love You, enfin surtout tes vernis

Bon, les filles, l’heure et grave, je suis amoureuse… de vernis à ongles. Je ne pensais pas que c’était possible mais j’ai encore gravi un échelon dans le beauty addictisme. Est-ce que c’est totalement superficiel et dingue de dire qu’on est tombée en amour de vernis à ongles ? La plupart des gens dirait oui, que je suis folle, le tout avec un regard effaré. Mais heureusement, je vous ai vous, aussi perchées que moi. Parce que je ne suis pas in love de n’importe qui, ou plutôt de n’importe quoi. Mes nouveaux chéris sont tout simplement sublimes et n’importe qui digne de raison aurait succombé aussi.

Voici donc mes nouveaux amours : quatre vernis Nars dont je suis totalement Red Dingue (ouh, le mauvais jeu de mots). Ils ont débarqué chez moi un soir d’hiver et ça a été le coup de foudre immédiat, avec cri de joie, demi évanouissement et applaudissements à leur vue. De gauche à droite, nous avons : Jungle Red, un rouge vif selon le site, Schiap, un rose choc, Chinatown, un rouge sang, et Dovima, un rouge tomate. Même si les rouges ont l’air à tomber, je crois que mon préféré, c’est le rose limite Barbie. C’est mon côté bichy, de temps en temps, j’aime bien porter des couleurs de pouffe. En plus, ça me donne envie de soleil. Hâte de les essayer. Surtout que je sais que niveau qualité et tenue, je ne serais pas déçue, vu que j’ai déjà la teinte Orgasm et qu’elle fait partie de mes vernis chouchous. Je vous montre ma première manucure avec l’une de ces merveilles dès la semaine prochaine. Vous voulez que je commence avec l’un d’eux en particulier ? Et pour info, ils sont à 18 €, ce qui peut paraître beaucoup a priori mais comparé à d’autres vernis plus chers mais de moins bonne qualité, finalement pas tant que ça.

PS : les deux jeux concours sont finis. Je bosse toute la semaine non stop donc je n’aurais pas le temps de tirer au sort les gagnantes mais à partir de dimanche prochain ce sera plus calme, donc je vais essayer de le faire à ce moment-là. Et je reprendrais également le cours des concours, n’ayant pas eu le temps non plus de m’en occuper cette semaine.
Rendez-vous sur Hellocoton !

vendredi 28 janvier 2011

Je garde ou je jette ? Bilan beauté de mes derniers produits utilisés

Même si je passe ma vie à blablater sur les cosmétiques que je teste, je ne vous parle pas forcément de tous les produits que j’utilise. Entre ceux que je n’aime pas, ceux qui n’ont pas grand intérêt ou dont je ne vois pas l’action et le résultat, et ceux que j’aime mais qui ne méritent pour autant pas une note à eux tous seuls, je zappe de nombreux trucs. Et puis, il y a les produits dont je vous parle pour lesquels j’ai parfois envie de vous faire une deuxième revue car j’ai changé d’opinion sur eux. J’ai donc eu envie de créer cette nouvelle rubrique : « je garde ou je jette ? » A chaque fois que je finirais un produit, ce sera l’occasion de faire un petit bilan et de vous dire si, pour moi, il mérite d’être racheté ou s’il est plutôt à jeter à la poubelle et à oublier. Comme je mets une éternité à finir mes produits, je vais essayer d’en faire une rubrique mensuelle mais ce sera sûrement plus à mon avis. Parce que je n’ai pas non plus envie de vous faire un post juste pour un produit. C’est un peu pourri.

Pour ce mois de janvier, la moisson est plutôt bonne. Nous avons six victimes, surtout des produits d’hygiène. J’aurais dû commencer ce bilan beauté plus tôt vu qu’il y a un ou deux mois, c’est tous mes produits de mes routines jour et nuit qui rendaient l’âme. Là, il y aurait eu des trucs à dire. Mais bon, six, c’est déjà pas mal. Ca libère de l’espace dans la salle de bains. Et alors je rachète ?
La Douche Crème nourrissante Huile d’Abricot & Fleur d’Amandier, Le Petit Marseillais
OUI (et je dirais même trois fois oui)
Je suis en pleine redécouverte de la marque pour les produits pour le corps et, pour l’instant, je suis séduite à chaque fois. A la base, l’odeur d’un gel douche n’était pas primordiale pour moi. Bien sûr, je préférais des produits dont j’aimais le parfum mais bon, si je n’étais pas fan, je m’y habituais et je faisais avec jusqu’au prochain flacon (ben oui, des fois, c’est pas toujours nous qui décidons quels produits d’hygiène on utilise, parfois quand on partage, on n’a pas le dernier mot). Jusqu’au jour où j’ai failli mourir d’étouffement dans ma salle de bains à cause d’un parfum trop fort. Dans ma mini douche, quand l’eau qui coule est très chaude, les parfums puissants bouffent tout l’air. Ca devient un sauna mortel. Et comme j’ai pas vraiment envie de prendre ma douche rideau ouvert (même si je suis toute seule, il n’y a donc aucun risque d’une entrée surprise, mais je n’ai juste pas envie d’attraper froid aux fesses), j’opte maintenant pour des gels douches dont j’aime la fragrance. Et celui-là sent trop trop bon. Je ne saurais vous le décrire car je suis nulle en parfum, mais c’est un plaisir pour l’odorat. Donc, je dis oui.
Exfoliant Doux Végétal, B Com Bio
NON
Alors, cet exfoliant est très bien, ses petits grains faits d’écorces d’amandes pilées ont juste la bonne taille pour gommer la peau du visage sans pour autant l’agresser. En fait, je n’ai absolument rien à lui reprocher. Mais comme c’est un produit bio, il est à finir dans les 3 mois après son ouverture. Et moi, désolée, mais je mets beaucoup plus de 3 mois à finir un gommage visage, même en l’utilisant 2 fois par semaine (ce qui est le maximum recommandé si on ne veut pas agresser la peau et donc booster la production de sébum). Alors, j’avoue, je l’ai utilisé bien après les 3 mois recommandé (je sais c’est mal) et ça n’a pas abîmé ma peau. Mais je préfère quand même ne pas en faire une habitude.

Bain Douche Cerise Bigarreau, Les Plaisirs Nature, Yves Rocher
OUI
Toujours au rayon gel douche, j’en ai profité pour finir ce mini format ouvert lors d’un week end estival. Le parfum cerise n’est pas forcément mon préféré dans la ligne Les Plaisirs Nature, donc je pense que je choisirais une autre fragrance la prochaine fois. Mais ce format riquiqui (50 ml) est vraiment pratique quand on part en week end et qu’on veut alléger sa valise. Moi, il m’a fait 2/3 jours je crois (j’ai la mémoire qui flanche un peu) et on était deux à l’utiliser.

Après-shampooing non frisant anti-humidité, Frizz
NON
Frizz est une marque vendue en exclu chez Sephora depuis environ deux ans et qui est arrivée sur le marché français avec la promesse de dompter nos frisottis. Depuis quelques temps, j’utilise le duo shampooing/conditioner, et je peux te dire que ça n’a rien dompté du tout. Quand le temps est humide, j’ai toujours le cheveu mousseux et, quand il pleut, eh bien, je ressemble aussi toujours à Michael Jackson. Donc, même s’il démêle assez bien les cheveux (sauf mon gros nœud de derrière la tête où là, il a fait chou blanc à chaque fois), je ne le rachèterai pas. Car je crois qu’il est plus cher qu’un après-shampooing basique. Donc, puisque l’action annoncée et qui justifie le prix, n’est pas là, je ne vois pas l’intérêt de sortir le porte-monnaie.

Gelée Démaquillante Yeux, Kibio
NON
Je vous avais déjà parlé de cette gelée dans une review. Ma conclusion était qu’elle n’était pas faite pour moi car elle avait du mal à démaquiller le waterproof ou les fards très pigmentés et que je n’utilise que ça. Eh bien, mon avis n’a absolument pas changé. Plus ça allait, moins je l’aimais, car il me fallait des heures pour avoir enfin l’œil propre (et encore). Donc non. En plus, désormais, je ne veux que des démaquillants au flacon transparent pour savoir quand ils sont sur le point de rendre l’âme. La prochaine fois, ça m’évitera ainsi de me mettre à retourner mon appart de fond en comble pour trouver un remplaçant, tout ça à deux heures du matin, et alors que j’ai déjà enlevé mes lentilles et que je ne vois plus rien.

Base Fixante Yeux Eclat Minute, Clarins
OUI
Je ne vous ai jamais parlé de cette base à paupières, tout simplement parce que face à la Urban Decay, elle ne fait pas le poids. Elle est pourtant très bien, mais les fards ne tiennent pas aussi bien sur elle que sur la Primer Potion. Au bout d’un (long) moment, ils s’estompent un peu, sans pour autant forcément filer dans les plis. Alors pourquoi je ne la classe pas dans la catégorie « à jeter » ? Parce que je l’aime bien quand même. Surtout depuis que j’ai des problèmes avec la PP. Au moins, je peux travailler les fards tant que je veux avec elle, rater, effacer, recommencer. Ils ne sont pas comme tatoués, ce qui m’arrive avec la PP. Et pour une maladroite comme moi qui se rate une fois sur deux, c’est quand même essentiel. En plus, comme je travaille de chez moi, j’ai souvent des petites journées : des rendez-vous à l’extérieur mais juste pour deux ou trois heures ou alors la soirée. Donc, je n’ai pas toujours besoin d’une super base à paupière. Celle-ci fait bien le boulot : les fards accrochent bien, leur couleur est plus intense et comme elle est couleur chair, elle gomme un peu les défauts aussi. Parfois, on n’a pas besoin du super produit de la mort qui tue, juste de celui adapté à nos besoins.

Un bilan mitigé donc, on a eu du bon, du moins bon et du mauvais. Février sera-t-il meilleur ? En tout cas, j’ai déjà deux soins quasi prêts à rejoindre le champ d’honneur.
Rendez-vous sur Hellocoton !

jeudi 27 janvier 2011

Beauty addict : les risques du métier quand on est une Gaston Lagaffe au féminin

Je ne sais pas si vous avez remarqué mais beauty addict, c’est quand même une activité dangereuse. Déjà, il y a les risques de beauty faux pas qui peuvent être fatal pour notre amour propre. Mais ce n’est pas tout. La dangerosité peut être aussi physique, avec blessés et tout le tintouin. Surtout quand on est une miss catastrophe comme moi. Oui, car en plus d’être paresseuse, et accessoirement tête en l’air, je suis aussi un (ou plutôt une) Gaston Lagaffe ambulant. La grâce et moi, on n’est pas vraiment copines. Je trébuche sur tout et n’importe quoi, je titube et manque de tomber même quand je suis à plat et je laisse tomber les choses, beaucoup. Alors forcément, il y a des victimes.

D’abord parmi mes produits de beauté. Ma spécialité : casser des trucs dans les chambres d’hôtels (m’enfin, ils ont qu’à pas mettre du carrelage partout). Sont ainsi morts au combat deux de mes vernis préférés et un fond de teint Givenchy à peine entamé (j’ai failli en faire des dépressions). En ce moment, mon running gag, c’est de faire tomber des trucs dans mes toilettes. Dans ma mini salle de bain, mon armoire est juste au dessus de la cuvette et, ça n’y manque pas, à chaque fois que je l’ouvre ou que je cherche un truc dedans, j’ai des produits qui font le grand plongeon. Mascara, touche lumière, crayon, etc. Brrr, ça me fait froid dans le dos rien que d’y penser. Mais ce n’est pas pour ça que je me souviens de rabattre le couvercle. Malgré mon amour du rouge à lèvres, suis un vrai mec parfois. Résultat, je jette des produits encore bons.

Si c’était que ces minis catas, je pense que je m’en remettrais quand même. Mais, des fois, ça va plus loin. Jusqu’au meurtre. Un soir, j’ai ainsi mis fin aux jours de mon magnifique styler Ghd. Oui, cette superbe machine tout droit venue d’Angleterre qui permet de lisser ET de boucler les cheveux. Ô rage, ô désespoir, ô idiote que je suis. Comment, j’ai fait mon compte ? Ben, en marchant dessus, comme une bécasse. Et comment, j’ai bien pu marcher dessus ? Euh, ben, il traînassait peut-être un peu par terre. Je m’explique, j’ai pris l’habitude de me lisser les cheveux assise par terre dans ma chambre, c’est plus simple et confortable que dans la salle de bain. Et comme certains jours (quand il pleut par exemple), il peut m’arriver de faire des retouches à mon lissage plusieurs fois et bien je le laisse par terre, pour gagner du temps (ok, et par paresse aussi). D’où ce drame dont je ne me suis toujours par remise. D’ailleurs, je ne me suis pas résolue à me débarrasser du cadavre que je garde depuis plus d’un an. Le pire ? Ce n’est pas la première fois que ça m’arrivait. J’avais perdu mon précédent lisseur dans les mêmes circonstances. Le pire du pire ? Ca ne m’a évidemment pas servi de leçon, mon nouveau lisseur étant lui aussi bien rangé sur le sol.

Ah, fatale soirée ! Ce n’était pourtant pas la première fois que je lui marchais dessus non plus. Mais la dernière fois, il s’en était sorti indemne car j’étais pieds nus. En revanche, pas moi, j’avais fini avec l’orteil brûlé parce que bien évidemment, je venais juste de m’en servir. J’avais même dû dormir avec une poche de glace sur le pied ce soir-là. Eh oui, la plupart des gens se brûlent occasionnellement le crâne, les oreilles ou les doigts avec leur lisseur, moi, c’est la papatte. Enfin, je n’ai pas non plus échappé aux autres zones. On est une gaffeuse ou on ne l’est pas. D’ailleurs, si j’avais un conseil à vous donner, c’est de ne pas décider de vous boucler les cheveux à 1h du matin, alors que vous êtes à moitié endormie et sans vos lentilles. Sinon, vous risqueriez comme moi hier soir de ne pas attraper le fer à friser par le manche mais par la partie qui chauffe. Et à pleine mains en plus. Oui, ça fait mal. Heureusement, j’ai tout de suite lâché donc j’ai juste un mini bobo au doigt mais j’ai frôlé la blessure grave à la main. Vous comprendrez bien pourquoi, jamais au grand jamais, je n’utiliserais le recourbe cils chauffant qui traîne au fond de mes tiroirs. Beaucoup trop dangereux pour la beauty catastrophe que je suis.
Et n'oubliez pas que vous pouvez toujours jouer pour gagner tout plein de produits Clarins qui déchirent de la mort qui tue : ICI.
Rendez-vous sur Hellocoton !

mercredi 26 janvier 2011

Maquillage orange avec la collection Naïvement Couture de Givenchy

Même s’il fait toujours un froid de canard dehors et que l’hiver est loin d’être terminé, les collections printanières de make-up sont en train d’arriver. Ce qui fait qu’on se retrouve en train de shopper et de tester des couleurs flashy alors que la nuit tombe toujours à 15 heures (en tout cas, c’est l’impression que j’ai vu de chez moi). C’est assez paradoxal. Mais, en même temps, cet avant-goût de printemps fait un bien fou alors qu’on attend désespéremment le soleil et le beau temps. De mon côté, je continue donc tranquillement mon exploration des collections printemps 2011. Après le Néo Pastel de Clarins, j’ai voulu aller totalement à l’opposé en allant tâter le orange flashy de la collection Naïvement Couture de Givenchy.

Etant en mode aventureuse en ce moment, j’ai voulu voir ce que donnait la palette pour les yeux. Oui, le orange sur les lèvres, même si je n’en mets pas souvent, je suis quand même une adepte et j’y cède depuis quelques années occasionnellement en été. En revanche, le orange sur les yeux, j’avais jusqu’ici toujours dit non. Je trouve ça joli sur photo mais ça ne me va pas. J’avais testé l’aquacream corail par exemple car j’avais craqué sur les make-up fait avec sur la blogo beauté mais j’avais, une fois encore, détesté. En fait, je me suis rendue compte qu’une autre de mes lubies beauté débiles (je sais, j’en ai beaucoup), c’est que je suis contre le maquillage des yeux à base de couleurs qui se portent surtout sur les lèvres (enfin, sur moi). J’ai testé et j’ai détesté utiliser des fards roses, clairs ou fuchsias, oranges donc, mais aussi rouges. Ces teintes-là, je me les garde en rouge à lèvres. Je sais, je suis une coincée du make-up. Mais comme en ce moment, je suis en pleine révision de nombre de mes interdits, je me suis dit que j’allais quand même tenter le coup. Et voilà comment une palette que j’allais illico ranger au placard sans même daigner lui jeter un pinceau me fera sûrement le printemps.

Si il fait partie de la collection Naïvement Couture de Givenchy, ce Quatuor Yeux Le Prisme s’appelle en fait Candide Garden et c’est le numéro 78. Côté qualité, je savais à quoi m’attendre, les fards de la marque étant dans ma liste de chouchous (enfin les quatuors, pas les monos qui sont, eux, à jeter). Et, effectivement, je n’ai pas été déçue, comme toujours, c’est du bon. Peu de chutes, une couleur intense après quelques passages et des fards faciles à travailler et à blender entre eux. Côté couleur, j’étais prête à détester. D’ailleurs, je détestais encore alors que mon make-up était quasi fini. Mais finalement, après avoir peaufiné mon teint et posé mon eyeliner, j’étais beaucoup plus satisfaite. C’était plutôt pas mal. Alors oui, ce ne sera pas ma palette préférée ce printemps. Forcément, je suis conditionnée et quoiqu’il arrive, je retournerais toujours vers mes teintes de prédilection. Mais le résultat n’est pas si mal et, surtout, il fait très estival. C’est un peu un make-up rayon de soleil, qui donne la pêche (mouhahah, ce mauvais jeu de mot, because c’est couleur pêche hein, je précise tellement c’était nul). D’ailleurs, je pense que ça m’allait plutôt bien, j’ai cru apercevoir quelques regards en biais. Ouh le melon qu’elle a (mouhahaha, deuxième jeu de mot de merde en moins de 5 lignes, je suis en forme). Sérieusement, les regards, je pense que c’était plus le mini short (because j’ai aussi cru entendre un commentaire limite graveleux) mais ça n’empêche, vu dans sa globalité, ce maquillage m’a surprise par le fait que ce n’était pas la cata que j’attendais, bien au contraire, c’était assez joli.

Alors la palette est composée d’un marron brun légèrement irisé pailleté, d’un orange foncé assez flashy, d’un orange clair un peu pêche et d’un jaune, également un peu pailleté. Pour ce premier make-up, je n’ai pas eu envie d’utiliser le marron, je voulais quelque chose de vraiment flashy et pêchu (autant jouer le jeu à fond). J’ai posé le orange foncé sur toute la paupière mobile puis je l’ai estompé avec le plus clair appliqué du creux de la paupière au dessous de l’arcade. A noter, en vrai, il est quand même un peu plus clair que sur la photo où il est bien orange. Sur moi, la couleur se voyait moins, mais c’est peut-être parce que j’ai la paupière déjà foncée. Ensuite, j’ai mis du jaune dans le coin interne de l’œil pour illuminer. Juste comme ça, c’était pas hyper glamour, voire un peu bizarre, on frôlait les yeux de lapin. Donc j’ai rajouté beaucoup de noir sur le contour des yeux. Eyeliner au ras des cils supérieurs, crayon dans les muqueuses en débordant bien surtout au ras des cils inférieurs, où j’ai ensuite un peu flouté. C’était beaucoup mieux. Et puis je me dis que je suis peut-être coincée du make-up mais pas vous donc autant vous montrer le résultat pour que vous puissiez voir ce que donne cette palette en vrai, utilisé en mode de tous les jours et pas version artiste comme sur le visuel de la campagne, certes très beau mais pas hyper portable (ICI).



Je pense qu’avec ce genre de make-up orange en aplat sur la paupière, il est indispensable de mettre du foncé au ras des cils sinon ça fait de tout petits yeux qui ont l’air malade. Attention également au teint, s’il n’est pas parfaitement fait, le orange aura tendance à plomber. Donc on camoufle bien cernes et petits défauts. Je pense avoir compris d’ailleurs pourquoi le orange et moi on n’était pas copains. Même si je suis blanche comme un cadavre, j’ai les paupières naturellement colorées, les cernes aussi. Et ce contour de l’œil plus foncé ne se mariait pas avec cette couleur. Alors que, sur d’autres, le orange est très joli. En égalisant tout ça avec fond de teint, anti-cernes, correcteur et illuminateur, ça allait beaucoup mieux.

Et vous, vous allez succomber à la orange mania ce printemps ?
Pour Make Up For Ever, vous ne pouvez plus participez mais vous pouvez encore jouer pour gagner tout plein de produits Clarins qui déchirent de la mort qui tue : ICI.
Rendez-vous sur Hellocoton !