vendredi 30 septembre 2011

Victoires de la Beauté : les lauréats qui m'ont tapé dans l'oeil

Lundi soir avait lieu la cérémonie des Victoires de la Beauté et grâce à une adorable petite (enfin plutôt grande) Poulette j’étais dans la place. J’ai ainsi pu découvrir les nouveaux produits de beauté lauréats. En tant que « pro de la beauté » (je le mets entre guillemet parce que 1/c’est quand même un peu pompeux comme terme et puis 2/même si je travaille dans la beauté depuis plus de 5 ans, j’ai encore beaucoup de choses à apprendre)… Enfin, je disais donc, en tant que « pro » qui a ses propres coups de cœurs sur divers critères, c’est toujours intéressant de découvrir ce qu’a aimé la consommatrice lambda. Sachant en plus que les testeuses, elles, n’ont pas pu être influencées par les marques puisque les flacons avaient été rendues anonymes (j’avoue que c’est un peu mon petit péché ça, j’ai tendance à pardonner des trucs à mes marques chouchoutes, pas forcément des marques de luxe je précise, et à être plus dure avec des marques pour lesquelles je n’ai pas d’affect ou que je n’aime carrément pas).
Et parce qu’on est vraiment des chanceuses parfois, on a également pu repartir avec un ENORME goodie bag. Je le mets en majuscule parce qu’il était tellement lourd que j’ai failli y rester dans le métro (je suis une faible femme) et que j’ai ensuite eu mal à l’épaule pendant plus de deux jours. Mais on ne se plaint pas hein, on est même très contente ! Il n’y a pas tous les lauréats à l’intérieur mais c’est bien assez, on a été très bien dotées (j’ai en plus apparemment été dans les plus chanceuses). Je ne vais pas vous faire le listing de tous ce qu’il y a dans ce merveilleux sac (je ne le sais pas encore moi-même totalement car c’est un peu comme le sac de Mary Poppins, il y a toujours un truc nouveau qui en sort). Mais j’y ai repéré quelques petits trucs qui me plaisent bien et que vous allez sûrement retrouver sur ce blog après tests donc autant faire un petit teasing.

Alors déjà celui qui m’a fait pousser un cri d’hystérie quand je l’ai découvert, c’est le Instyler. Oui, cet appareil pour les cheveux star du téléshopping qu’on a pu apercevoir sur quelques blogs. Il fait lisseur, boucleur, donne du volume, défrise ! J’adore les trucs comme ça. Et surtout tous les appareils qui bouclent. Après une période de cheveux lisses baguette, en ce moment je suis très boucles mais j’ai envie de varier de mon fer à boucler habituel. Là, je vais enfin pouvoir ! Lors de la soirée, je me suis d’ailleurs fait coiffer avec et c’était très joli. Ca avait aussi l’air super facile et rapide. Bon, au premier essai, chez moi, ça a été un peu plus galère, j’ai un peu sué. Mais je pense que ça tient au coup de main. Je ne l’ai pas encore. Mais je vais y arriver !

Deuxième produit à m’avoir tapé dans l’œil : la Brosse démêlante Michel Mercier. Cette brosse pas comme les autres est censée démêler sans t’arracher les cheveux. Et si vous suivez, vous savez que j’ai de nouveau des problèmes de nœuds qui me prennent bien la tête. A chaque fois que je démêle mes cheveux, j’en laisse dans ma douche des poignées. Forcément, elle a donc déjà rejoint mon bac de douche. Et si sur cheveux secs, elle m’a pas emballé, sur cheveux mouillés, elle a l’air vraiment bien. Mais je vous en reparlerais après des tests plus approfondis.

J’ai aussi eu le Shorty Minceur de Mixa. Mais en version L/XL, dommage. Je ne l’ai pas encore ouvert mais je pense que ça ne va pas le faire. En ce moment, j’ai la fesse fuselée et à mon avis on pourrait en mettre deux comme moi dedans. Trop bête, j’aurais bien aimé le tester. Ou alors je lance une nouvelle mode, la culotte qui tombe. En même temps, si on y réfléchit bien, on comprend la logique de nous donner du L. Ils doivent se dire que si on fait du S, on doit pas en avoir besoin. Mais même les minces ont de la cellulite ! (je précise que je ne parle absolument pas de moi of course)

J’au aussi eu la chance d’être l’une des seules à avoir un kit BareMinerals (qui sont quand même lauréats pour la deuxième année de suite). Comme la poudre et moi, on est pas hyper copines, même si j’ai eu plusieurs kits en main, je n’ai encore jamais testé. Mais je vais peut-être m’y mettre.

Côté maquillage, j’ai également eu la Agnès b. b. Cream, c’est-à-dire la BB Crème d’Agnès B. Je doit être une des seules beauty addicts au monde à ne pas être fan des Blemish Balm (fond de teint for ever !) mais j’avais quand même bien envie d’en tester une autre que la Erborian que j’ai déjà. Ce sera l’occasion.

J’ai aussi eu un vernis Rimmel Pro. Bon, là je vais faire ma blogueuse qui abuse. Je suis vraiment une poissarde car j’ai eu un marron taupe qui est quand même une des seules teintes de vernis que je déteste. J’ai vu que les copines avaient eu d’autres teintes. Donc j’en profite pour lancer un appel. Si vous voulez échanger, je suis open.

Question malchance, j’ai même été servie deux fois puisque j’avais totalement craqué sur la gamme de gels douches macaron Les Douceurs Parfumées par Christophe Felder et surtout sur le parfum griotte qui sentait troooooop bon. Mais j’ai eu la menthe, un peu moins à mon goût. Le hasard fait parfois mal les choses. Alors, oui, j’avoue, c’est mal mais je suis limite jalouse des copines qui ont eu la griotte elles. Je sais, je ne suis qu’une blogueuse pourrie gâtée, fouettez-moi.

Enfin, je ne me plains pas vraiment car je suis bien contente. J’ai par exemple eu la Lotion Démaquillante Visage & Yeux de Corinne de Farme. Et le truc qui me plait bien, c’est qu’elle est en dosettes. Si elle est vraiment efficace (c’est ce que me laissent penser les retours que j’ai eu), elle pourra m’accompagner à New York et ça allègerait pas mal ma valise.

Et ce n’est pas tout (on est bien loin du compte même). Mais vous faire une liste exhaustive, ce serait long et chiant (pour vous et pour moi) donc je vous laisse-là. Ca ne veut pas dire que ce sont les meilleurs produits des lauréats. Juste ceux qui m’ont tapé dans l’œil a priori. Après tests, des petits nouveaux viendront sûrement s’ajouter à cette liste donc on n’a pas fini d’en parler.

Il y a un produit qui vous intéresse particulièrement dans ceux que je viens de citer et par lequel vous aimeriez que je commence mes tests ?
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jeudi 29 septembre 2011

Je garde ou je jette ? Bilan beauté de septembre

Quand je pense que ça fait déjà un mois que je suis rentrée de vacances, c’est légèrement déprimant (heureusement le soleil fait passer la pilule). Ca veut aussi dire que le dernier « je garde, je jette » était il y a un mois et qu’il est donc temps de vous révéler le nouvel épisode que vous attendiez toutes avec impatience. Ai-je besoin de rappeler les règles ? Allez, vite fait pour les petites nouvelles et les cerveaux de mémé comme moi. A la fin du mois, je fais le bilan beauté des produits finis et vous dit s’ils valent la peine d’être rachetés ou pas.
Et ce mois-ci a été plutôt prolifique. Il faut dire qu’entre les produits finis avant les vacances mais pas mis dans la revue précédente (oui, je triche un peu, ok), les restes des vacances aussi dans lesquels il ne restait qu’un fond de bouteille au retour et qui ont rendu l’âme à Paris et l’usure générale des cosmétiques que j’utilise en ce moment, il y avait de quoi faire. Et la récolte du mois prochain s’annonce plutôt bonne aussi car je vois déjà le fond d’une autre demi-douzaine de produits. Mais restons sur ce mois-ci pour l’instant et sur nos 7 cadavres (oui, 7 ! Rien que ça). Alors je rachète ou pas ?

Teint Fraîcheur Effet Peau Nue Diorskin, Dior
NON
Non, vous ne rêvez pas, j’ai bien fini un produit de maquillage ! C’est tellement rare. Moi, aussi, je n’en croyais pas mes yeux. Il faut dire que celui-ci traînait un peu dans ma salle de bain depuis une éternité. Car je ne l’aimais pas. Trop épais, j’avais l’impression d’appliquer du mastic sur ma peau (ou du ciment, je ne connais pas les termes exacts du bricolo). Et forcément si on ne le travaillait pas bien et pendant longtemps, ça faisait un peu effet masque. En plus, j’y ai fait une réaction allergique une ou deux fois. Bon, faut dire que sur la fin, il ne devait plus être très frais. Mais le côté hyper épais, c’était depuis le début et c’est pour ça que je l’avais mis de côté. Ca ne faisait pas naturel, on voyait que j’avais du fond de teint, et ma peau avait l’impression d’étouffer dessous. Après, le bon côté, c’est que ça couvrait mieux les imperfections qu’un fond de teint plus fluide. Et le teint n’était pas si moche après (enfin pas toujours). Mais c’était trop quand même. De toute façon, j’ai remarqué que je n’étais pas fan des produits Dior pour le teint. Et quitte à payer un fond de teint 40 €, je préfère que ce soit un Bobbi Brown.

Après-Soleil Sublimateur de Bronzage Corps, Bio Beauté By Nuxe
NON
J’ai profité de ces derniers jours de soleil pour finir mon deuxième après-soleil (vu que c’est du bio, il n’aurait pas pu attendre jusque l’an prochain). J’ai commencé à utiliser ce produit en avril dernier, je vous en avais d’ailleurs parlé à l’époque, car j’en avais une opinion plutôt positive. A part son parfum, avec lequel j’avais du mal, il m’avait assez séduite. Depuis, mon opinion a totalement changé et je ne l’aime plus du tout. Déjà, le parfum, je ne pouvais plus et j’ai fini par ne l’utiliser que sur des zones loin de mon nez. Sinon, ok il hydrate et sublime bien avec plein de paillettes (elles sont micro et ne se voient pas forcément en intérieur mais au soleil elles pètent. A noter, certaines persistent aussi après la douche). Mon problème en fait, c’est qu’il est hyper difficile à étaler. Je n’avais pas remarqué ça la première fois parce qu’en avril, je l’appliquais dans une salle de bain à la lumière pourrie. Cet été, je l’ai appliqué dans ma chambre avec une bonne lumière et ça m’a sauté aux yeux. Ca fait des grosses traces blanches que tu dois masser (trop) longtemps pour que la crème pénètre. Le problème n’est même pas que ça colle ou pas après application c’est que si tu ne la tritures pas pendant des heures, le crème ne s’étale pas. Ma sœur l’aime bien quand même mais moi je préfère des produits plus rapides et faciles (puisqu’il y en a des pelletées pourquoi se priver) donc c’est non.

Douche Tonifiante Goyave, Lovea
OUI
Mais la version monoï et cacao, la goyave étant un parfum un peu trop frais pour mes goûts de gourmande. Encore un rescapé des vacances finalement tombé au champ d’honneur. Je ne m’appesantirais pas dessus car j’en ai parlé il y a peu mais ce gel douche bio est top et a toutes les qualités d’un gel douche normal (mais en bio)


Spray Définition et Légèreté Cheveux Bouclés Curl Contour Hydra Cell, L’Oréal Professionnel
NON
Pareil, je ne m’appesantirais pas dessus car j’en ai parlé dimanche dernier donc vous savez que mon non ce n’est pas parce que le produit n’est pas bien (au contraire, j’ai senti du potentiel) mais parce qu’il ne convient pas à mes cheveux qui sont ondulés plutôt que bouclés. Dommage car j’aimais le principe du pschitt tellement plus simple et rapide a utiliser.

Après-Shampooing Boucles et Tenue, Timotei
OUI
Depuis que mes cheveux ont re-poussé (il est bien loin mon petit carré), ils ont recommencé à faire des nœuds géants. Victimes collatérales : les après-shampooings que j’utilise de nouveau comme une forcenée. Il y a deux écoles pour les après-shampooings : ceux qui font soin et qui limite ne démêlent pas et ceux qui démêlent et peuvent aussi faire soin (mais parfois tu ne voies pas la différence). Moi, vu mes cheveux, je fais forcément partie de la deuxième école. Un après-shampooing qui ne démêle pas pour moi, ce n’est même pas la peine. A la limite, s’il n’a pas d’action soin, je m’en fous complètement, de toute façon j’utilise un masque. Et comme celui-ci est plutôt bon niveau démêlage, il a ma totale approbation. Pour l’action soin, je ne peux pas vraiment te dire car comme je l’ai dit j’utilise toujours un masque donc va savoir qui fait quoi. Il est censé être pour les cheveux secs mais il me convenait très bien (les miens sont plutôt normaux, en même temps un chouïa secs quand même puisque ondulés). Et petit bonus : il sent super bon (c’est important vu que l’odeur de l’après-shampooing est souvent celle qui reste).

Shampoo Frizz, anti-humidité hydratant sans alourdir, Living Proof
NON
Il n’y a pas que les après-shampooings qui descendent plus vite avec le retour des cheveux longs, les shampooings aussi. Et certains t’es bien contente de les terminer, comme celui-ci. Ce n’est pas que c’était la cata, pas du tout, je dirais plutôt qu’il n’y a rien à signaler. Mes cheveux n’étaient pas plus moches après (quoique) mais pas plus beau non plus. Bon, il lave, mais il est aussi censé être anti-frisottis (c’est un peu le claim commercial de la marque) mais je n’ai vu aucune différence. Mes frisottis étaient toujours là après. Donc je ne vois pas l’intérêt d’acheter ce produit (un peu plus cher que la moyenne des shampooings en plus si mes souvenirs sont bons). Ok, il est sans sulfate (mais pas forcément sans silicones) mais depuis peu les shampooings sans sulfate se multiplient.

Doux Nettoyant Moussant au Beurre de Karité, Clarins
OUI
J’adore les Doux Nettoyant Moussant de Clarins. Ce sont pour l’instant mes nettoyants visage préférés. J’ai testé les 3 (peaux normales, mixtes à grasses et sèches) et approuvé les 3 même si, finalement (c’est logique), j’opterais pour celui pour peaux normales (mon type de peau). Celui-ci est pour peaux sèches et sensibles et est enrichi en beurre de karité. Effectivement, il est tout doux et ma peau ne tiraillait pas après (elle ne tiraillait après l’utilisation d’aucun des trois il faut dire). Alors vous pourrez me rétorquer que niveau prix, c’est pas non plus le nettoyant le moins cher du marché. C’est vrai mais je le trouve quand même hyper économiques car on n’a besoin que d’une mini noix à chaque utilisation, il mousse super bien et super vite. Celui-ci m’a duré un an par exemple, pour 125 ml, c’est pas rien.

Et voilà pour ce « je garde, je jette », rendez-vous le mois prochain avec de nouvelles victimes tombées au champ d’honneur (et peut-être encore du maquillage).
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mercredi 28 septembre 2011

Caprice Beauté : J'ai cédé à l'appel du Bain Dissolvant Express de Sephora

En général, lorsqu’on lui donne moins 20% chez Sephora, la beauty addict libère ses vils instincts et fait des folies. Moi, je t’avoue que ça ne me fait ni chaud ni froid. Il faut dire que j’ai de la chance, chez moi c’est un peu Sephora justement. Donc j’essaie de limiter mes craquages pour ma santé mentale et physique aussi. Hier, j’étais invitée à une soirée dans un Sephora avec moins 20% pour tout le monde. Forcément, un des sujets principaux de conversation c’était : « Et toi, tu vas acheter quoi ? » Et ma réponse, pas hyper digne d’une beauty addict : « Ben rien ». Ca casse un peu l’image mais bon… Après une agréable soirée de papotage, je repars donc les mains vides lorsque j’aperçois dans le sac de ma voisine le Bain Dissolvant Express de Sephora. Ni une, ni deux, après avoir poussé mon cri d’hystérie habituel, je rebrousse chemin et fonce vers la caisse. Oui, parce que je ne sais pas si t’as remarqué, ils sont toujours en rangs serrés près des caisses.
Et là, je finis par craquer pour ce caprice beauté que je me refusais pourtant depuis longtemps. Faut dire qu’on était un peu fâchés car lors de soldes il y a quelques temps, je le voyais sur tous les blogs, shoppé à environ 2 € au lieu de 7, mais j’avais eu beau faire une demi-douzaine de Sephora je n’avais jamais mis la main dessus. Alors, par principe (parce qu’il m’avait vraiment énervé), je ne voulais pas lui faire l’honneur de le payer plein pot. Même si ça ne change pas grand-chose au prix, 20 % c’est déjà ça, donc j’ai cédé. Vous allez me dire que je craque à contre-courant et que ce dissolvant est désormais la bête noire de la blogosphère car il a ruiné les ongles de nombreuses utilisatrices. Mais don’t worry, je suis paresseuse et pas bécasse. La lectrice assidue de beauty blogs que je suis est parfaitement au courant de ses effets secondaires grâce à vous. D’ailleurs à chaque fois qu’une copine ou une collègue journaliste me dit qu’elle l’utilise régulièrement ou qu’elle l’adore (sans forcément l’avoir), je lui dit de se méfier et de ne pas l’utiliser trop souvent car vous avez été nombreuses à avoir des problèmes à cause de lui.

Pourtant, je le considère quand même comme indispensable. Car je ne vais l’utiliser que d’une manière précise. Je ne vais pas du tout m’en servir comme mon dissolvant de tous les jours (enfin de toutes les semaines). Je vais continuer à utiliser mon produit habituel, qui n’a pas l’air d’attaquer mes ongles lui. Alors pourquoi shopper celui-là ? Parce qu’il permet tout simplement de dissolver un doigt sans abîmer le vernis qui est sur les autres. Et franchement, pour la paresseuse que je suis, c’est le pied, ça sauve limite la vie. Le nombre de fois où j’ai dû refaire ma manucure entière parce que j’avais juste un énorme accroc à un doigt ! Le truc qui te mets bien les nerfs. Ma spécialité aussi, comme je parle avec les mains, c’est de commencer à les bouger dans tous les sens alors que le vernis n’est pas sec et de me cogner les ongles quelque part, me retrouvant alors avec un ou deux gros cacas. Avant, je devais tout refaire (alors que je venais juste de finir). Maintenant, plus besoin. J’aurais juste à enlever le vernis de l’ongle fautif et à refaire juste celui-là. Rien que de le dire, j’en suis toute émoustillée. Ca va prolonger la durée de vie de mes manucures défaillantes. Et ce n’est pas rien ! Trop contente ! C’est un caprice pas si capricieux finalement.
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mardi 27 septembre 2011

Pourquoi certaines teintes de vernis nous en font-elles voir de toutes les couleurs ?

Je ne sais pas si vous avez remarqué, certaines teintes en maquillage, que ce soit en vernis ou en ombres à paupières, nous donnent souvent du fil à retordre. Quelles que soit les marques, petit prix ou luxe, on se retrouve confronté aux même problèmes. En fards, c’est le bleu mat qui m’a joué des tours dernièrement. Et en vernis, ça fait des années que le rouge foncé me fait limite voir rouge justement. Dernier en date dans ma longue liste : Chinatown de Nars. Je m’explique.
Fan de vernis rouge, je les collectionne légèrement. Et si j’aime les rouges sang ou tomate, j’ai longtemps cherché un rouge un peu plus foncé. Le vif c’est sympa mais j’avais aussi envie de quelque chose d’un peu plus low profile. Toujours chic mais moins fashy. Ma quête a d’ailleurs été pavée de nombreuses rencontres : des So Laque de Bourjois (dont Cerise Noire et Dangereusement Rouge), une pelletée de OPI (dont Can You Tapas This et bien d’autres), sans compter tous ceux que j’oublie et que je n’ai pas gardés (car je n’ai pas non plus besoin d’avoir 10 rouges foncés). Mais à chaque fois, le même constat : difficile d’avoir une opacité uniforme à deux couches, une tenue plutôt faible et souvent des vernis très liquides.

Avec ce Nars, ça a été rebelote. Comme toujours la première couche est très moche et assez transparente. A la deuxième, ça va mieux mais ce n’est pas parfait, la texture liquide (presque de l’eau) étant difficile à manier. Et rapidement, il m’a fait quelques accrocs. Pourtant, la couleur est superbe. Mais je ne lui jetterais pour autant pas la pierre puisque j’ai eu les mêmes soucis avec tous les rouges testés jusqu’ici. Faiblesses que je n’ai pas avec les teintes de rouges vifs (mais que je retrouve dans les rouges/roses foncés). Le rouge foncé serait-il une teinte impossible ? Ca vous fait ça aussi à vous avec ce genre de teintes ? Ou vous avez réussi à trouver l’exception qui confirme la règle (que j’ai décrété moi-même mais la règle quand même) ?
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lundi 26 septembre 2011

Oui ou non au rouge à lèvres fuchsia après la fin de l'été ?

Il était temps, l’été est enfin là ! Le mois de juillet ensoleillé que l’on n’a pas eu débarque enfin fin septembre. Un été indien qui fait du bien. J’ai donc ressorti mes petites robes à fleurs et re-rangé mes jeans (le rêve même si je sais que ça ne va pas durer) et côté maquillage même si ce n’est plus de saison j’ai refait une petite place aux couleurs qui flashent. J’ai osé le fuchsia sur les lèvres que je n’avais pas pu me permettre durant l’été vu le peu de soleil qu’on avait eu. Alors oui, ça claque, ça fait même mal aux yeux mais avant de sombrer dans la grisaille hivernale et les teintes parfois sans saveur qui vont avec, ce petit éclat de couleur met finalement de bonne humeur.
J’ai opté pour le Rouge Terrybly 301 Pink Party de By Terry. Je l’avais depuis le printemps mais n’avait jamais trouvé l’occasion de le porter. Quand il a fait beau vers mai/juin, je n’arrivais pas à remettre la main dessus et dès que je l’ai retrouvé le soleil s’était envolé. Pourtant, pour moi, cette jolie teinte de rose était l’un des rouges de l’été. C’est un très beau fuchsia, très lumineux, qui était pile dans la tendance colorblock de l’été dernier. Mais en même temps, il peu aussi illuminer l’hiver.

Comme souvent chez By Terry, le packaging est hyper classe (en plus le rouge est aimanté, très pratique finalement pour que le capuchon ne se fasse pas la malle dans le sac). Il est même accompagné d’un mini pochon. Bon, après le prix suit aussi, puisqu’il est à 35 €. Son petit plus, c’est qu’il est à la fois maquillage et soin. En fait, sa formule est enrichie d’un complexe anti-âge (pas que j’en ai besoin hein) qui redonne volume et fermeté aux lèvres. Parallèlement à cet effet repulpant (dont je ne pourrais vraiment vous parler parce qu’à ce niveau-là ça va bien pour moi merci), il protège et nourrit également les lèvres.

Souvent en effet les rouges très pigmentés (comme c’est le cas ici) ont tendance à dessécher les lèvres. Mais pas celui-ci. Pour l’effet nourrissant, vous savez ce que j’en pense, pour moi seuls les vrais baumes nourrissent. Mais c’est vrai qu’il glisse bien et qu’il est très confortable à porter. Le soir, on n’a pas les lèvres en vrac parce qu’on a porté un rouge à lèvres intense toute la journée. Car niveau intensité, c’est vrai qu’il ne joue pas dans la demi-mesure ! Au premier passage, on a déjà une bonne couleur. Comme je n’ai pas de crayon à lèvres de cette couleur, je l’ai appliqué direct au raisin et ça a été assez facile (même si je préfère quand même utiliser un pinceau). J’ai un peu débordé, on ne se refait pas, mais on peut arriver à une jolie pose assez rapidement tout de même. Le seul hic, c’est que comme avec tous les rouges très foncés, difficile d’éviter les transferts et t’en mets partout (surtout que comme tu ne le sens pas, tu oublies que tu as du rose fuchsia sur les lèvres).

Alors le fuchsia en automne, pour ou contre ? (Enfin, en automne/été).
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dimanche 25 septembre 2011

Ce n'est pas tous les jours facile d'avoir les cheveux ondulés (et d'avoir de jolies boucles)

Je dis souvent que j’ai les cheveux bouclés. Mais ce n’est pas tout à fait vrai. J’ai les cheveux ondulés. Mes boucles, celles qui me valent des compliments, c’est grâce à mon fer à boucler. Pourquoi cette précision ? Cette petite différence n’est-elle pas finalement un détail ? Eh bien pas du tout (et celles qui ont les cheveux ondulés comme moi me comprennent car elles doivent être confrontées aux mêmes galères que moi). Alors que quand t’as les cheveux bouclés tes boucles tiennent la route quoiqu’il arrive, avec des cheveux ondulés, au moindre petit truc, tes ondulations disparaissent et tu te retrouves avec une masse informe. Surtout ne jamais se coiffer entre deux lavages de cheveux par exemple sinon c’est la cata. Je ne sais pas si vous avez déjà eu ça, mais j’ai eu droit à de nombreux regards d’horreur de filles aux cheveux lisses quand je leur disais que je ne m’étais pas coiffée ce matin. Pff ! (oui, mais au moins moi j’ai des boucles, na !). Pas non plus de passage de main dans les cheveux. Mais parfois, tu ne peux rien y faire. Par exemple, moi, maintenant, mes ondulations ne résistent pas à une nuit de sommeil. Le premier jour après le lavage, ça va à peu près (et encore) puis je dors et je me réveille avec une coiffure de merde. Et autant je peux faire une croix sans problème sur le coiffage (même si c’est l’enfer car mon nœud géant derrière la tête est revenu et ça fait hyper négligé) autant il m’est impossible de ne plus dormir (ou de dormir debout).

Pourtant, je n’avais pas ce genre de problèmes avant. J’ai l’impression que mes cheveux ont changé et mes ondulations sont presque toujours moches. Avant, elles étaient juste moches en hiver, par temps pluvieux. Maintenant, même lorsqu’il fait super beau, ce n’est pas ça. J’ai eu un petit répit pendant les vacances où ça allait la plupart du temps mais depuis mon retour mes cheveux refont la gueule. Alors je sais qu’un des facteurs important pour avoir de belles boucles, c’est de trouver le bon coiffant, celui qui saura les maintenir sans les alourdir (ou salir les cheveux). Simple a priori mais pas du tout. D’abord parce que la plupart des coiffants sont faits pour les cheveux bouclés et non ondulés et ne sont souvent pas assez forts pour moi. Et puis il y a tellement de choix de texture (mousse, lait, spray) qu’on s’y perd souvent. J’avais trouvé mon coiffant parfait à une époque mais il a été retiré de la vente. Désespoir. Depuis, je lui cherche désespérément un remplaçant, en vain pour l’instant. En ce moment, je teste ainsi 3 nouveautés L’Oréal Professionnel, pour cheveux bouclés forcément. Malheureusement ce n’est pas encore la perle rare mais ils ont du potentiel et pourraient convenir à de vrais cheveux bouclés donc je me suis dit que ça méritait bien des minis reviews. C’est parti.

Spray Définition et Légèreté Cheveux Bouclés Curl Contour, L’Oréal Professionnel
C’est celui en lequel je plaçais le plus d’espoir. Parce que c’est un spray. L’idéal pour une paresseuse. Oui, je suis flemmarde au point de trouver qu’une mousse ou un lait, c’est chiant à mettre. Un spray, tu pschittes deux/trois fois, c’est vite fait. Tellement plus rapide et simple. Oui, mais voilà, si en vacances, par 30° (et donc grand soleil), il a plutôt bien fait son boulot, à Paris, à chaque fois que je le mettais, je me retrouvais avec une crinière horrible.
En fait, j’ai deux problèmes de cheveux. Des ondulations qui si elles ne sont pas assez fixées par le coiffant ne tiennent pas et je me retrouve avec une masse informe. Mais aussi des frisottis, et pas qu’un peu ! Pas toujours en revanche. Juste si mes cheveux sèchent mal ou pas assez vite. Avec le bon coiffant, j’arrive à mater les frisottis. Mais s’il n’arrive pas à les protéger de la chaleur (naturelle ou du sèche cheveux), c’est la cata. Après, c’est limite comme si j’avais les cheveux toujours sales. Ne me reste plus qu’à passer le fer ou le lisseur pour sortir de cette spirale de mocheté.

Le hic, c’est que ce spray n’était pas assez fort. Ok, j’aurais dû m’en douter, c’était noté sur le packaging qu’il était léger. En été, quand il faisait hyper chaud et que mes cheveux séchait dans l’instant (et en plus avec l’air marin) j’avais de jolies boucles et pas de frisottis. Mais à Paris, quand je n’en mets pas assez, ça me fait de moches boucles et je frisottes (et le lendemain c’est encore plus moche). J’ai essayé d’en mettre plus. Alors oui, ça dompte à peu près les frisottis mais ça cartonne un peu sur le coup.

Un peu léger donc pour les cheveux ondulés même s’il peut faire l’affaire en spray de vacances si vous partez au soleil. Pour certains cheveux bouclés au contraire, il peut peut-être convenir. Si vous ne frisottez pas et que vous avez juste besoin d’un coiffant léger.

Aqua-mousse dynamisante Curl Curset Texture Expert, L’Oréal Professionnel
Le spray n’étant pas assez costaud, je me suis résolue à tester une mousse. C’est une texture que je n’aime pas car en général elle cartonne mais c’est souvent la seule capable de maintenir mes ondulations. Bonne nouvelle, cette mousse-ci est hyper légère donc elle ne cartonne pas justement (à part si t’en mets trois tonnes). Mais forcément, ça veut aussi dire qu’elle perd un peu en tenue.

Pourquoi ça n’a pas marché entre nous : J’ai commencé à utiliser cette mousse alors qu’il faisait encore frais dehors donc je séchais mes cheveux au sèche-cheveux. Et là, ça allait à peu près. Pas de frisottis et boucles fixées. Ce qui était bizarre en revanche, c’est que contrairement au spray qui me faisait des ondulations moyennes (des normales en fait, comme les miennes à la base), celui-ci m’en faisait des toutes petites (et donc plus nombreuses). Un peu genre les vagues que tu te fais avec des nattes mais pas tout à fait. Etrange mais je me suis dit que c’était pas mal aussi, ça me permettait d’avoir un autre fini (j’aime varier les boucles). Malheureusement, dès le lendemain ces petites ondulations avaient presque disparues et le surlendemain c’est comme si ne je n’avais plus rien. Ma crinière était entre deux : ni lisse, ni bouclée. Pas assez costaud niveau fixation donc, en tout cas pour des cheveux ondulés. Pour des cheveux bouclés qui n’ont pas besoin d’une fixation forte et dont les boucles sont déjà définies pourquoi pas. En revanche, à toujours utiliser en se séchant les cheveux au sèche-cheveux après. Le peu de fois où j’en ai mis et que mes cheveux ont séché à l’air libre, c’était pas beau à voir. Comme les cheveux mettent plus longtemps à sécher, la matière ne s’évapore pas vraiment et ça devient comme collant. Les cheveux finissent ternes, avec un aspect sale et les frisottis ont tendance à revenir.

Crème Définition Action anti-frizz cheveux bouclés, Hydra Cell Curl Contour, L’Oréal Définition
Finalement, c’est le produit dont j’en attendais le moins qui m’a le plus séduite. En général, je n’aime ni les crèmes, ni les laits. Si je les trouve parfaits pour les cheveux bouclés, pour mes cheveux ondulés ils ne sont pas assez costauds donc ne maintiennent pas mes boucles et en plus je finis avec les cheveux poisseux après. D’où une très bonne surprise avec ce produit. Vu que les autres ne mataient qu’occasionnellement mes frisottis, j’ai fini par ouvrir cette crème que j’avais pourtant l’intention de donner à une copine vraiment bouclée à la base. Eh bien, j’ai bien fait de m’abstenir. Alors, ce n’est pas encore la panacée. Certains jours, il n’y a rien à faire, mes boucles ne veulent pas et donc elle ne marche pas mais des trois c’est celle qui me satisfait le plus.

Pourquoi je l’aime : Niveau maintien, elle est tout a fait correcte, mes ondulations tiennent. Certes, au bout des 3 jours (et donc de deux nuits à dormir sur elles), elles se sont bien estompées mais ce n’est pas non plus le grand n’importe quoi niveau crinière. Et puis niveau matage de frisottis, j’ai effectivement vu une différence (même plus grande que celle que j’avais avec un produit qui était pourtant dédié à ça). Alors là encore, ça ne marche pas à tout les coups (des fois mes frisottis sont hyper résistants) mais elle est quand même très efficace. Résultat, j’en applique même sur cheveux secs, ce que je n’avais jamais fait avec mes autres coiffants pour cheveux bouclés par peur de les salir et de les rendre poisseux. Mais ici, ce n’est pas du tout le cas, bien au contraire. Pourtant, la première fois que j’ai mis cette crème dans mes mains, j’étais persuadée qu’elle allait salir mes cheveux dans l’instant (la texture étant finalement un peu collante). Mais pas du tout, une fois les cheveux secs, elle s’est comme envolée (mais les boucles sont restées).

En fait, cette crème rend mes cheveux hyper doux même. Ce que je trouve assez hallucinant. Pareil, ça ne m’avait jamais fait ça avec un coiffant avant. Ils étaient toujours un peu cartonnés ou asséchés (donc un peu ternes). Pas là. Et c’est pour ça que je l’aime avant tout même si au niveau de la fixation elle n’est peut-être pas assez forte pour des cheveux ondulés (même si ça passe tout de même). Mais si vous avez des cheveux bouclés, je vous la conseille sans problème, je pense que vous pourriez l’aimer. Après, c’est comme avec tout autre produit, il faut mettre la juste dose (donc pas trop) sinon effectivement on sent un peu plus le produit, il n’y a pas l’effet invisible qu’on a normalement. Mais là, c’est de notre faute pas de la sienne.
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vendredi 23 septembre 2011

Ma découverte des vernis Artdeco avec un superbe vert : une réussite !

Avant que Teddy ne me fasse découvrir la marque, Artdeco n’était qu’un nom parmi tant d’autres sur la planète beauté. Je n’avais jamais testé leur maquillage et ça ne me serait même pas venu à l’esprit de le faire. Aujourd’hui, il ne s’occupe plus de ce bébé mais il avait quand même piqué ma curiosité (surtout en me montrant des photos de fards à paupières et de vernis turquoises). Et puis en passant dans ses anciens bureaux, j’ai découvert la marque en chair et en os (ou plutôt en palettes et en crayons). Les fards et les vernis étaient là aussi. Et même s’il n’y avait aucun turquoise à l’horizon, il y avait un vernis vert qui me faisait de l’œil et qui a fini dans mon panier (son trop chous chez Links, je les en remercie d’ailleurs).
Comme il faisait moche en début de semaine, j’avais envie de délaisser les couleurs flashy de cet été et de passer à quelque chose de plus discret (mais pas non plus ennuyeux). Ce vert me semblait donc parfait. Il fait partie de la collection automnale de la marque. Il n’a pas vraiment de nom, c’est juste le Ceramic Nail Lacquer 121. Il est accompagné de trois autres teintes (un rouge et un nude notamment), mais pour moi, c’est vraiment lui la star, le plus beau et le plus marquant. Certes, je n’ai pas testé les autres mais sa couleur m’a tellement conquise que j’ai décrété que c’était lui le mieux. Après, évidemment, tout dépend des goûts. Ce que j’aime c’est qu’il est foncé mais pas trop, c’est-à-dire que tu vois quand même que c’est un vert alors que chez certains vernis, on a l’impression qu’ils sont noirs sauf par grand soleil. Là, pas d’ambiguïté. Au début, j’ai eu un peu peur qu’il soit trop irisé. Mais là encore pas du tout. Certes, il brille mais ça lui va bien et ce n’est pas too much. Ca lui donne juste un truc en plus.




Mais si je suis fan de la couleur, je suis encore plus admirative de sa tenue. Pour l’instant j’en suis à 4 jours sans aucun accroc (c’est beaucoup pour moi) et il a même résisté au shampooing. Je peux donc dire sans mentir que c’est un crack niveau durée de vie. Même sur l’index que j’ai essayé de ronger toute la journée, il est intact (oui, quand je suis stressée, je me ronge les ongles par-dessus le vernis, une vraie cata). En fait, il commence juste à s’user sur le bout de quelques doigts mais ça reste léger, limite invisible. Et tout ça, sans avoir mis de top coat par-dessus. Pour la pose, je dirais que c’est dans la moyenne, une fois que j’ai pris le coup de main, je n’ai pas rencontré de grandes difficultés, l’opacité étant parfaite et uniforme à deux couches. Il sèche également assez vite. Mention spéciale aussi à la contenance : 6 ml. Finalement quand tu as une dizaine de vernis (hum, hum, ou 10 fois plus), ça ne sert à rien de cumuler les 15 ml que tu ne finiras jamais. Bon, là aussi peu de chance de le finir mais au moins il y aura moins de gâchis. Et pour le prix, ils sont à 7,50 € donc bon point également. Euh, rectif : certains sont à 7,50 € chez Douglas mais sur d'autres sites ils sont à 13 €. J'essaie de retrouver le dossier de presse et je vous dis ça vite (parce que 13 €, c'est quand même un peu le prix d'un OPI en France et pour 15 ml justement). Je m'en vais enquêter.

Avec cette très belle teinte et la qualité du loustic, les vernis Artdeco sont donc en bonne place pour rejoindre ma liste des marques de très bons vernis. Mais il faudra en tester d'autres d'abord pour être sûre. Et vous, vous aviez déjà testé cette marque ?
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jeudi 22 septembre 2011

Maquillage bleu avec le fard Outremer de Nars

Vous l’attendiez avec impatience (bon, ok, j’enjolive), voici mon maquillage avec le très bleu fard Outremer de Nars. Alors, certaines vont être déçues, d’autres qui commencent à me connaître ne seront pas étonnées, mais j’ai fait un basique mono (limite un halo d’ailleurs). Pour plusieurs raisons : d’abord, je suis et resterai une grosse paresseuse (et puis j’étais pressée et fatiguée), j’aime bien aussi pour une première utilisation voir le fard tout seul, c’est mieux pour juger, et puis une couleur forte comme ça, pour moi, c’est souvent mieux de la porter seule, sinon gare aux beauty faux pas et au make-up perroquet. Mais je ne voulais pas pour autant faire quelque chose de discret donc comme d’habitude j’y suis allée à fond.
D’ailleurs, vous allez dire qu’il me manque une case mais justement j’ai limite trouvé le bleu de ce fard Outremer trop discret. Si, si, je te jure. Au début, j’ai été hyper désappointée (ça existe ce mot en français ? faut que j’arrête les séries américaines, ça commence à embrouiller mon cerveau). Enfin, j’étais déçue quoi. Dans mes plus beaux rêves, je le voyais beaucoup plus flashy et là, une fois appliqué, il se révélait quand même très foncé. Un peu ce que je m’étais dit en le voyant en vrai pour la première fois. Mais en fait, il cache un peu son jeu, il ne donne pas tout, tout de suite. Car en y regardant de plus près, il a une profondeur qui fait qu’il est presque changeant. De loin, tu vois un bleu basique. Et puis selon les positions et la lumière aussi, il se révèle beaucoup plus original, foncé certes mais flashy. Il a définitivement quelque chose et est au final plus portable qu’un bleu Klein ou un turquoise dans la vie de tous les jours. Alors certes je suis accro à ces couleurs mais je vis aussi dans un monde où le colorblock n’est pas mal vu, contrairement à la plupart d’entre nous, donc je peux me le permettre. A noter, sur les photos, il est encore une fois plus clair qu’en vrai.



Pour l’instant, je suis quand même mi-figue, mi-raisin. Le fard est certes sublime mais il y a quelques bémols. En gros, contrairement à d’autres, ça n’a pas été le coup de foudre à la première application. J’avais déjà lu un avis mitigé chez Fressine et je suis assez d’accord avec elle. Peut-être parce qu’il est mat, le fard est assez poudreux et pose quelques problèmes à l’application. Sur ce coup-là, il m’a beaucoup rappelé les ombres flashy Color Infaillible que L’Oréal Paris avait lancées cet été et dont je vous avait parlé. Leur couleur était top mais la pose assez galère (surtout avec le bleu). C’est pareil ici. Certains fards, magiques, déposent toute l’intensité de leur couleur au premier coup de pinceau. Là non, j’ai dû trimer pour arriver à ce résultat intense. Alors certes si vous voulez un fini tout en transparence, pas de problème, mais moi je n’aime pas ce genre de couleurs pour ensuite jouer la demi-mesure. J’ai donc appliqué et ré-appliqué encore et encore de la matière. Mais bon, ça, à la limite, ça arrive. J’ai quelques fards que j’aime beaucoup qui sont aussi durs au labeur (expression qui ne veut rien dire en fait).



Le truc, c’est que comme avec le bleu L’Oréal (qui était d’ailleurs mat lui aussi, hasard ?), la couleur ne se dépose pas uniformément. Quand tu tapotes ton pinceau sur la paupière, ça va déposer une grosse couche de fard à un endroit et juste à côté rien ou presque, et t’auras beau repasser, le fard refusera d’adhérer. J’ai fini par en avoir ma claque de tapoter et d’avoir limite un damier sur la paupière alors j’ai balayé tout ça. Au bout d’un moment, j’ai fini par avoir une belle intensité et une opacité presque uniforme mais voilà quoi, il a fallu se battre. En plus, j’ai l’impression que pendant la journée le fard s’est un peu estompé par endroit, je me suis retrouvée avec des mini spots un chouïa plus clairs. Après, il a aussi des circonstances atténuantes. Je crois que ma Primer Potion est en train de sécher (ce qui a pu jouer sur l’adhésion du fard) car elle me fait des mini « croutes » sur la paupière tout de suite après que je l’ai posé. Ca n’a pas dû aider. Je vais le pratiquer plus longuement (en changeant de Primer Potion par exemple, ou en appliquant un crayon gras en dessous), voir si ça va tout de même un petit peu mieux. De toute façon, vu sa couleur, il sera forcément un de mes fards fétiches pendant un bon bout de temps.
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mercredi 21 septembre 2011

Maquillage qui change de couleur : mon nouveau joujou, un rouge à lèvres Topicrem

La source des rouges à lèvres qui changent de couleur selon le pH, l’humidité ou la chaleur de la peau n’est pas prête de se tarir. Depuis quelques temps, j’ai ainsi un nouveau joujou qui ne me quitte plus : le rouge à lèvres Phantom de Topicrem. Après quelques mésaventures, il a trouvé sa place dans ma collection de maquillage magique, pourtant déjà pléthorique.
En fait, la première fois que je l’ai vu, ça n’a pas du tout été le coup de foudre au premier regard. Bien au contraire. Déjà à cause de mon esprit qui peut être assez étriqué parfois. Topicrem étant pour moi synonyme de soin, je ne lui ai d’abord pas jeté un regard. Puis quand je me suis quand même décidée à l’ouvrir, j’ai été refroidie par les paillettes. Et le raisin transparent n’étant pas non plus une nouveauté, je ne voyais pas ce qu’il pouvait apporter de plus par rapport à mes autres rouges à lèvres. Enfin, un jour, j’ai réalisé qu’en fait c’était un rouge à lèvres qui changeait de couleur : en gros, une de mes beauty obsessions, un vice carrément. Ca a été le déclic. Il n’a pas fallu longtemps avant de le retrouver sur mes lèvres. Et même si là encore nos débuts n’ont pas été tout roses (quoique ;)), maintenant je suis conquise. En fait, les premières fois que je l’ai utilisé, je l’ai trouvé bizarre. Je ne sais comment vous décrire ça mais il était comme sec, j’avais beau passer le raisin sur les lèvres, il ne déposait pas de matière. Alors certes les lèvres se coloraient légèrement mais c’était hyper laborieux, il fallait repasser vingt fois. Et puis j’avais peur que comme il n’y avait pas de matière justement, cela finisse pas dessécher les lèvres.

Et puis finalement, au bout de quelques utilisations le raisin a dû se faire, je ne sais pas, mais ça y est, au premier passage c’est bon. Il n’y a plus cet effet sec, le rouge se dépose, ça glisse bien. C’est bizarre, c’est la première fois que ça me fait ça avec un rouge à lèvres mais ça tient peut-être à la texture du raisin transparent qui est forcément assez particulière. Mais maintenant, ça va, c’est redevenu un rouge normal et un que j’aime assez. Voilà ce que nous en dit la marque : « Sa formule high-tech, riche en pigments « phantom », s’adapte au pH de vos lèvres pour créer votre teinte, celle qui vous correspond le mieux. Il dépose sa transparence subtilement pailletée sur vos lèvres, tout en sublimant leur couleur. Huiles émollientes et extraits anti-oxydants apportent hydratation et brillance et sa texture dépose sur vos lèvres un effet miroir au parfum fruité. Confort et tenue longue durée, action protectrice hydratante, sans paraben. »

Moi, ce que j’aime surtout, c’est sa couleur sur mes lèvres. Effectivement, sur moi, il sublime bien la couleur naturelle de mes lèvres. En fait, ils les fonce un peu pour un effet bouche mordue/bonne mine très sympa. En plus, comme il y a un effet no matière je trouve (on a l’impression qu’on ne porte rien, en tout cas comparé aux rouges à lèvres classiques), ça fait assez naturel. C’est comme si c’était la vraie couleur de mes lèvres. En fait, ce qui me plait dans ces rouges à lèvres qui s’adaptent à chacune, c’est que oui tu as une couleur unique mais surtout la teinte que j’obtiens toujours, je ne l’ai jamais retrouvé non plus sur un rouge à lèvres basique. Or, à chaque fois ce sont des teintes hyper sympas et qui me vont effectivement bien au teint.

Bon point également ici, même si le raisin est constellé de paillettes, ce qui me faisait craindre un fini disco queen, une fois sur les lèvres, elles ne se voient plus. Ce n’est pas subtil, c’est carrément invisible. Enfin, en vrai, à l’échelle humaine, car là sur les photos donc bouche agrandie je les vois un peu mais même comme ça, c’est discret. Mais je préfère, je n’ai plus l’âge pour le glitter. Pour toute l’action hydratante, difficile de juger, en ce moment mes lèvres se portent bien et n’ont pas réclamé de baume depuis un bail, mais il n’est effectivement pas du tout desséchant comme je le craignais au début. Côté tenue, il est pas mal aussi. Si la légère brillance disparaît petit à petit, la couleur elle tient bien au corps et reste longtemps. Même si ce n’est pas une nouveauté (il est sorti avant les vacances), ce rouge est donc devenu un des mes basiques de la rentrée.
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mardi 20 septembre 2011

New York, New York ! Here I come !

Je suis rentrée de vacances hier (enfin, en vrai, ça fait trois semaines et j’ai plutôt l’impression que ça fait une éternité) et je ne pense déjà qu’à repartir. Car je sais que je vais repartir, très bientôt même, et je sais aussi où. Comme je l’ai rapidement évoqué hier pour expliquer la zone aride qu’est devenue mon compte en banque : je pars à New York ! Oui, Big Apple me voilà ! Je suis trop excitée. Bon, je ne pars pas non plus demain, c’est même dans longtemps (début novembre) mais je n’arrive pas à penser à autre chose. J’ai d’ailleurs un mal fou à me concentrer sur le boulot, j’ai la tête totalement ailleurs… De l’autre côté de l’Atlantique en fait. Ce mois et demi va être long je pense ! Il faut dire que ça fait des années que je rêve de visiter cette ville, sans jamais oser ou pouvoir sauter le pas. Et puis, là, enfin, toutes les conditions sont réunies ! Je pars (hystérie intérieure) !
Je ne sais pas si c’est parce que j’ai trop abusé de certaines séries qui s’y déroulent (d’abord Sex & The City, puis Gossip Girl, Ugly Betty, 30Rock) et même de films (love Woody Allen) mais en plus d’être ma ville rêvée, j’ai un peu comme le feeling (oui, je me mets à l’english, faut que je m’entraîne) que c’est la ville où j’aurais dû vivre (enfin, si je n’étais pas une incorrigible parisienne). J’ai un fantasme de ville dans ma tête dans laquelle un moi imaginaire aurait totalement sa place. Dans une autre vie, j’aurais vraiment adoré être une New Yorkaise (ça me fait un peu la même chose avec Londres mais là c’est en démultiplié). Je me verrais bien, forcément, en peste de l’upper east side (love you Blair) mais je ne dirais pas non à une vie de bobo à Greenwich Village ou même hipster à Brooklin. Alors forcément, savoir que je vais fouler le pavé pendant deux semaines de la ville qui ne dort jamais ça me met dans un huge état d’excitation.

Oui, tu as bien lu, 2 semaines ! Ca va nous laisser le temps de faire pas mal de choses (oui, parce que je ne pars pas seule, j’emmène une copine en vadrouille. Enfin là, c’est plutôt la copine qui m’emmène même). J’ai déjà quelques petites idées (enfin, non, j’ai même tout plein d’idées, il va falloir mettre tout ça en place d’ailleurs). Il y a forcément les classiques : Empire State Building, Statue de la Liberté, Time Square, etc. Je ne vous fais pas la liste, vous la connaissez. J’ai aussi envie de me faire des visites à thèmes inspirées par mes séries ou mes films chouchous : j’ai vu qu’il y avait des « tours » Gossip Girl & Sex & The City. Et puis, j’irais bien faire de petits tours hors de la ville (ou plutôt de Manhattan), pourquoi pas même jusqu’à Atlantic City.


Et c’est là que vous entrez en jeu mes chères lectriçounettes. Pour l’instant, nous n’avons établi aucun itinéraire ou emploi du temps, voire liste des trucs à visiter. Donc si vous êtes aussi new yorkaises dans l’âme et que vous connaissez the big apple comme votre poche, je suis open pour tous vos bons conseils : les trucs à visiter absolument (monuments ou autre), les cafés/restos/pâtisseries/etc. ou s’arrêter pour s’en mettre plein la panse, les beauty spots où dénicher des trucs impossible à trouver ici et surtout les bons plans shopping (mode ou beauté d’ailleurs). On m’a par exemple parlé d’un outlet à une heure de la ville à ne pas manquer. Je sens d’ailleurs que je vais laisser ma chemise dans ce voyage. Et s’il y a des spots à voir absolument aux abords de la ville, je suis preneuse aussi, on ne sait jamais, en deux semaines, on aura bien le temps d’aller un peu voir ailleurs.

Allez je vous laisse, je retourne rêvassez à ma future vie de New Yorkaise. Ah et je suis tellement dérangée dans ma tête que je pense aussi déjà à comment je vais m’habiller et me maquiller là-bas. Faudrait pas décevoir leur image du chic à la française ;)
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lundi 19 septembre 2011

Le fard Outremer de Nars est mien (cri d'hystérie) !

Ô joie, ô bonheur, ô copines vraiment trop sympas ! Ah la la, je suis trop excitée ! Mon côté superficiel de beauty addict est totalement en émoi. Alors une personne lambda ne comprendrait sûrement pas cet état second mais comme vous êtes comme moi, je peux vous en parler.
Souvenez-vous (là, je fais ma voix off de téléréalité), en juillet dernier je vous présentais les futurs it produits de la rentrée et surtout mon gros chouchou : le fard Outremer de Nars. Un ô combien sublime fard bleu. Et moi, tu sais que le bleu je ne peux y résister. D’ailleurs, tu as vu que finalement le monde avait fini par se ranger de mon côté puisque the blue justement est la tendance de l’automne. Pfff, bande de copiteurs, moi ça fait des années que j’ai viré Schtroumpfette (je ne dirais pas combien, ça risquerait de donner des indices sur mon âge).

Ce bleu donc, en fait, j’en rêvais depuis ma rencontre avec le bras droit de Monsieur Nars justement car il m’avait alors annoncé en exclu la sortie d’un bleu roi pour l’automne. Tout de suite j’en avais eu des palpitations. Et puis, j’avais vu les photos et là j’avais eu le coup de foudre (le bleu c’est une drogue pour moi, j’ai beau en avoir une pelletée, j’en veux toujours plus). Il est donc enfin sorti début août mais je suis partie en vacances et quand je suis revenue il était limite sold out (et moi fauchée de toute façon, merci le futur voyage à New York dont je vous reparlerais bientôt).


Alors bien évidemment quand j’ai commencé à le voir partout sur les blogs en vrai (enfin en virtuel mais le vrai produit, pas des photos), j’étais dégoûtée, trop triste et aussi un peu jalouse j’avoue. Et puis un jour, on discute de nos coups de cœur make-up de la rentrée avec une coupine journaliste et forcément j’y vais de ma tirade sur ce magnifique bleu (oui, même si jusqu’ici je ne l’avais vu qu’en photo, c’était quand même l’amour fou). Et là, elle me dit, ben qu’elle, elle l’a (ô rage, ô désespoir) et que si je veux ben elle me le donne. A ce moment, j’ai failli en tomber à la renverse mais comme à mon habitude j’ai préféré crier de joie et d’excitation comme une hystérique. Vraiment, il y a des personnes qui ont des cœurs en or. D’ailleurs, si vous suivez mes aventures, vous connaissez même cette fée bienfaitrice puisque c’est ma partner in crime, ma coupine de délire qu’il faut plus en fait qu’on aille quelque part ensemble car on se paie trop la honte à force de rigoler comme des gnous.


Donc une semaine plus tard, elle me ramène dans sa besace THE fard. Et donc je l’ai, le fard Outremer a rejoint mon beauty temple ! Bon, je ne l’ai pas encore testé (oui, je sais, vu mon état d’excitation, ça peut paraître étrange mais je ne me suis pas maquillée depuis) mais je le garde à portée de main et de vue. J’aime le regarder de temps en temps que veux-tu. Je l’imaginais un peu moins foncé, plus Klein et donc flashy, mais finalement c’est peut-être mieux comme ça (d’ailleurs en vrai, il est aussi plus foncé que sur les photos, maudit flash !). Là, c’est un bleu royal et je n’ai justement pas de bleu de cette nuance-là (oui, c’est possible malgré ma collection pléthorique), alors que un Klein, j’en ai déjà un que j’adore. Je vous fais bien évidemment très vite un maquillage avec. J’ai hâte !
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dimanche 18 septembre 2011

Le maquillage Karl Lagerfeld pour Sephora, la poupée Karl et moi

Il règne sur le monde de la mode, relooke des bouteilles de coca, porte un magnifique gilet jaune, fait de Martine Aubry sa best friend et a pris en photo tout ce que le monde compte de branchés (sauf moi, là, ça va pas du tout, il te manque le best). Il est partout, omniprésent et presque omniscient. D’ailleurs, j’aime à l’appeler Dieu parce que j’avoue mon côté fashion addict le vénère quand même un peu. A ce stade-là, je pense que vous aurez deviné de qui je parle : Karl of course. Et bien Mister Lagerfeld n’en a pas fini d’explorer sa fibre artistique et a une nouvelle fois fait parler sa créativité pour nous déposer de jolis cadeaux sous le sapin (il faut dire que noël, c’est un peu God’s time). Monsieur s’est en effet associé à Sephora pour lancer des produits de beauté griffés ! Oui, rien que ça.
Quand j’ai découvert ça la semaine dernière à la présentation des nouveautés Sephora pour Noël, je suis carrément devenue hystérique. Au risque de me payer la honte devant mes très chères consoeurs. Oui, je sais les petits cris d’excitation et de joie, ça fait pas très professionnel mais je n’ai pas pu m’en empêcher en découvrant l’énorme corner qui lui était consacré et surtout ce qu’il nous réservait : un mini ligne de produits de beauté et d’objets collectors en association avec Sephora (qui sortira en novembre). Alors je sais que Karl ne fait pas forcément l’unanimité car il est un peu trop partout en ce moment, un peu trop touche-à-tout, mais moi il me fait toujours le même effet. Alors, forcément, je n’ai pas pu m’empêcher de me prendre en photos, dans des poses totalement ridicules of course, avec l’aide de ma fidèle complice de délire. Bon, évidemment, comme on n’avait pas prévu de rencontrer un famous people, on n’était pas équipées donc excusez la piètre qualité de ces oeuvres d’arts photographiques prises avec un téléphone.

En fait, à la base, Karl Lagerfeld lance surtout un nouveau parfum, Karleidoscope (j’aime assez le nom). Mais j’avoue que j’ai un peu zappé le truc et ne l’ai pas vraiment senti. Tu connais mon amour pour le parfum en plus. De toute façon, j’étais totalement absorbée par les goodies. Car l’intelligence du monsieur a été d’imaginer une série de goodies qui seront lancés en même temps que le parfum mais qui seront eux en édition limitée. Et si vous êtes Karl gaga comme moi, vous allez pouvoir assouvir votre obsession. Il y a d’abord du maquillage (oui, oui, tu as bien lu du make up Karl Lagerfeld) : un petit lot de vernis (un noir et un or) pour se faire une Karl Manucure (une version bicolore fashion de la French) mais aussi une palette de fards à paupières dans laquelle les ombres ont la forme de Karl himself (j’adore, ça m’a trop fait rire). Il y aura également deux trousses et surtout deux it objets qui pour moi sont déjà cultissimes avant même d’être sortis : une boule de neige (ou plutôt une boule à paillettes) avec une figurine de Karl à l’intérieur et une poupée Karl Lagerfeld !

Là, j’ai totalement craqué. Certains diront peut-être que c’est kitchouille, moi j’adore. Je trouve les produits à la fois chic et plein d’humour. Le packaging est vraiment soigné (noir et or avec une photo en noir et blanc de Karl Lagerfeld), ça ne fait pas du tout cheap je trouve, mais en même temps il y a un vrai second degré (en tout cas pour moi). Sur tous les produits, il y a la signature mais aussi une citation du créateur, qui a d’ailleurs tout pour devenir une phrase culte : « La mode n’est ni morale, ni amorale, même si elle est faite pour remonter le moral » ou « Mon grand luxe est de n’avoir à me justifier auprès de personne ». J’ai un faible pour la palette, trop rigolote, la boule à paillettes parfaite en déco pour frimer devant les copines et la poupée of course, totalement décalée. Chaque noël, Sephora invite un designer ou une marque avec laquelle ils lancent une gamme de produits de beauté. Eh bien, je n’ai pas honte de dire que, pour moi, celle-ci est l’association la plus réussie depuis celle avec Ladurée. Mais c’était dans un tout autre genre. Oui, mon cerveau a été totalement Karlisé et j’en suis fière. D’ailleurs, j’ai eu la chance de repartir avec la poupée (je te raconte pas la joie) et je crois que je vais vous faire un petit feuilleton des aventures de Karl pour noël justement. La suite au prochain épisode…


Et si tu veux en savoir un peu plus sur cette nouvelle ligne (sans trop en révéler non plus), tu peux aller voir l'article de ma partner in crime ICI.
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