vendredi 30 novembre 2012

Je craque pour les crackers beauté de noël chez Jo Malone et Sephora

Et voilà, le compte à rebours avant noël a déjà commencé (en tout cas, c’est ce que j’en ai déduit au vu du monde que je me suis coltinée samedi dernier à la FNAC). Alors qu’en général, je m’y prends au dernier moment, les gens plus raisonnables ont eux déjà commencé à acheter leurs cadeaux. Si vous faites partie des Pères Noël prévoyants, je me suis dit que ça pourrait peut-être vous plaire que je vous parle de mes coups de cœur beauté comme possibles cadeaux de noël. Et commençons tout de suite par une mini tendance bien sympathique.


Mon premier craquage de noël cette année, c’est pour les crackers de noël (enfin craquage n’est pas vraiment le mot puisqu’ils sont arrivés jusque chez moi par eux-mêmes, disons coup de cœur, mais craquage c’était plus fun, because craquage/crackers). Nan, pas les crackers que tu manges (ça, je craque toute l’année), des crackers beauté inspirés des beauty crackers anglais. J’avoue qu’inculte que je suis, jusqu’à l’année dernière je ne connaissais pas du tout cette tradition britannique. En fait, chaque noël, sous le sapin ou dans les chaussettes, sais plus, ils mettent des petits crackers (ou papillotes) qui contiennent un cadeau surprise (souvent un truc petit prix mais ce ne sont pas des vraies cadeaux, le but est de s’amuser). Ce sont des crackers à partager avec quelqu’un. Chacun attrape un bout du cracker, les deux tirent en même temps jusqu’à ce que celui-ci se déchire et celui ou celle qui reste avec le plus gros morceau de la papillote dans la main gagne la petite surprise. 100 % fun donc.


Bref, l’année dernière, Jo Malone, marque anglaise que j’adore car elle est à la fois originale, pointue et chic, a décidé d’importer et surtout d’adapter le concept en créant des crackers beauté pour noël. Ca a tellement marché qu’ils recommencent cette année. Dans une élégante papillote sont donc cachées des miniatures beauté de la marque. Je t’avoue que je la trouve trop belle donc je ne l’ai pas encore déchirée et celle-ci c’est clair que je ne vais pas la partager. Mais si tu connais la marque et que tu veux faire un beau cadeau ou si tu as envie de tout simplement la découvrir (car elle vaut le détour), c’est une très bonne idée cadeau. A seulement 34 €. Attention spoiler : pour celles qui ne veulent pas se lancer à l’aveuglette, sachez que ce Christmas Cracker contient un Gel Moussant Pomegranate Noir 15 ml, une Eau de Toilette Lime Basil & Mandarin 9 ml et une Crème pour le Corps Orange Blossom 15 ml.


Mais cette année, Jo Malone n’est pas la seule marque à nous proposer des crackers beauté pour noël, on peut aussi en trouver chez Sephora. L’enseigne propose ainsi un coffret au look psychédélique contenant 4 crackers beauté, chacun cachant une surprise différente. Pour la surprise, Sephora est resté un peu plus fidèle à la tradition avec une petite mignardise beauté pour chaque cracker plutôt que de gros cadeaux. Attention SPOILER bis : nous avons donc dans le premier un polissoir 4 étapes pour les ongles, dans le deuxième une capsule contenant une crème de douche, dans le troisième, une ombre à paupières et dans le dernier, trois petites barrettes pour les cheveux.




Ca tombe bien, j’avais égaré toutes les miennes et ça faisait un mois que j’en cherchais sans tomber sur des tailles/formes qui me convenaient. Or celles-ci me semblaient parfaites. Je me suis donc fait le dernier cracker toute seule (j’attendrais les copines pour les autres). Surprise, en plus des barrettes, il est rempli de grosses étoiles argentées que je vais me garder pour les recycler dans une déco de noël. Les barrettes, elles, sont déjà sur mes cheveux. Alors, certes, on peut trouver que les cadeaux ne sont pas ouf mais c’est un peu le concept. Ce sont des petites surprises à partager avec les copines pour le fun. Sachant que le coffret est à 15,90 €. 


Moi, j’avoue, j’aime beaucoup le concept que ce soit son côté chic chez Jo Malone ou cheap chez Sephora (mais là au moins, on n’a pas peur de s’acharner sur sa papillote). Sinon, je précise, bon Sephora, vous savez où les trouver mais Jo Malone n’est vendu que dans ses boutiques propres normalement et sur son site officiel (je précise cette fois parce qu’une copine me parlait justement de la marque qu’elle avait découverte grâce à moi il y a peu et n’arrivait pas à la retrouver parce qu’elle cherchait en parfumerie ou aux Galeries).


Rendez-vous sur Hellocoton !

jeudi 29 novembre 2012

J’ai aussi succombé au fluo en hiver avec les vernis Poppy Razzi d’Essie

Un peu comme tout le monde finalement. Car cette collection très punchy d’Essie, ça fait un bon bout de temps qu’on en entend parler sur la blogosphère beauté. On l’a vue pour la première fois cet été, au moment où elle sortait un peu partout dans le monde, mais pas en France. Non, en France, elle est arrivée bien plus tard, à la rentrée, alors que l’été avait déjà rendu son dernier souffle, et elle est encore en vente en exclusivité chez Monoprix jusqu’à la fin du mois de novembre normalement (comme toujours, j’arrive après la tempête).
 

Du fluo alors que le soleil est aux abonnés absents, quelle drôle d’idée ? La majorité des gens te répondront oui. Mais, pour moi, pas tant que ça finalement. Comme chaque automne-hiver, si je cède aux couleurs de la saison – gris, noir, violet foncé, rouge -, certaines semaines où le temps est vraiment maussade j’aime aussi oser le rose Barbie ou autre couleur bien flashy pour booster mon humeur. Le temps est moche, on n’a pas vu un rayon de soleil depuis des lustres, la déprime menace. Poser un vernis punchy est pour moi une manière de mettre un peu de bonne humeur dans mon quotidien. C’est un de mes petits rituels pour survivre à l’hiver (je suis une fille du soleil) chaque année.


Sauf que jusqu’ici je choisissais certes des teintes flashy mais je n’avais jamais poussé jusqu’au vernis carrément fluo. J’en rêvais dans un coin de ma tête, l’idée d’avoir un vernis phosphorescent me plaisant bien, mais jusqu’ici les nouveautés fluos arrivées jusqu’à moi n’en étaient pas vraiment. Flashy oui mais pas fluo. J’avais donc rangé cette petite envie dans un coin de ma tête. Et puis la collection Poppy Razzi d’Essie est arrivée, dans les magasins et jusque chez moi. Et elle avait le détail qui change tout pour un vrai vernis fluo. Elle est en effet composée de 4 très belles teintes bien punchy mais aussi d’un blanc. Car on ne le sait pas forcément (je ne le savais pas moi-même il y a quelques années) mais une base blanche posée sous le vernis fait poper les couleurs. C’est aussi elle qui rend les vernis fluo vraiment fluo.


En plus du blanc nommé Blanc (pourquoi se compliquer la vie), la collection est composée de 4 couleurs. J’ai eu la chance d’en recevoir 3 (je n’ai pas eu Action, un orange tirant un peu trop vers le jaune et tant mieux, c’est la seule dont je ne suis pas fan) : il y a Bazooka, un joli orange foncé, Camera, un beau corail (qui selon les photos tire plus sur le rose ou le orange, moi dans la vraie vie je le vois plus rose), et Lights, un rose super punchy. En Barbie girl dans l’âme, c’est bien évidemment lui que je vais vous présenter en premier. Même si ça n’a pas été le premier que j’ai essayé. Je ne sais pas si vous vous rappelez mais il y a quelques temps, je vous parlais d’une manucure ratée que j’avais dû enlever le soir même. Eh bien, le ratage était avec Bazooka.


C’est que si les couleurs de la collection sont sublimes, elles ne sont pas vraiment faciles à appliquer. Surtout quand on est paresseuse et qu’on a deux mains gauches. Résultat, la manucure que je vous présente, celle faite par moi, une fille lambda, est forcément moins « jolie » et bien faite que celles vues sur d’autres blogs et réalisées par des pros de la pose de vernis. Mais je me dis que vous ne m’en tiendrez pas rigueur car, dans la vraie vie, on est quand même beaucoup plus nombreuses à être comme moi (c’est-à-dire des handicapées du pinceau de vernis) que des « artistes ongulaires ». Au moins, comme ça vous avez la vraie expérience et le vrai résultat potentiel sur vous.


Alors justement, cette pose, ça donne quoi. C’est donc un vernis fluo, ce qui signifie base blanche sous les deux couches de vernis. La première fois, avec Bazooka, quand je me suis ratée, je n’avais appliqué qu’une couche de blanc et au final après la pose du vernis la couleur n’était pas opaque et uniforme partout. J’avais aussi posé toutes les couches à la suite, résultat 30 minutes plus tard, ce n’était toujours pas sec d’où un gros accident. Pour ma deuxième manucure fluo, j’ai donc retenu la leçon. J’ai d’abord posé ma base classique, laissé sécher un peu, appliqué une première couche de blanc, laissé de nouveau sécher, et appliqué une deuxième couche de blanc afin que la couleur de celui-ci soit complètement uniforme. Je me suis dit que si c’était le cas, j’aurais plus de chance que celle du rose le soit aussi. Là, j’ai fait une grosse pause pour laisser cette première manucure bien sécher.


Une demi-heure plus tard, j’y suis revenue et là j’ai posé deux couches de rose (à une, j’étais pas satisfaite du résultat), en laissant bien évidemment sécher entre. J’ai de nouveau laissé ma manucure tranquille une petite demi-heure puis j’ai posé mon top coat. Car pour moi, le top coat était indispensable. Si vous avez déjà essayé un vernis fluo vous avez dû remarquer qu’il perdait sa brillance en séchant. Mais il ne devient pas non plus mat. Il est dans un entre-deux que je ne trouve pas beau. Il était donc essentiel pour moi de finir avec du top coat, ajoutant donc une 6 è couche à ma manucure ! Oui, 6 couches rien que ça ! Ca met du temps à poser mais ça met aussi du temps à sécher. Prévoyante vu la cata de la dernière fois, je n’avais donc pas commencé ma manucure à minuit mais à 22 h pour me donner le temps de faire toutes les étapes puis que tout sèche bien avant d’aller me coucher (à 2 h du matin). Donc en gros, ça m’a pris environ 4 h.


Pour passer en mode Poppy Razzi, il faut donc être prête à réserver sa soirée (en tout cas quand on est une fille lambda). Ma grande peur en plus est qu’après 2 h à sécher, il ne soit pas vraiment sec à l’intérieur et que je me retrouve avec des traces de draps. Mais ouf, non, il a bien séché. Le hic, c’est que ma base est une base de merde, mais grave ! Déjà avec une manucure normale, elle me fait des bulles à chaque fois. Mais là, comme il y avait beaucoup d’épaisseur, ça a été encore pire. Il y a des bulles mais ça gondole aussi. Sur certains ongles, c’est pas net, on dirait que mon vernis est vérolé. J’étais verte, tout ce travail bousillé par une maudite base (qui n’est pas une Essie, je précise, la petite vérole n’a rien à voir avec les deux vernis posés, je sais que c’est ma base). Je sais qu’il faut que je m’en débarrasse mais dernièrement, toutes les bases, quelle que soit leur marque, font des bulles sur moi.
 

Heureusement la couleur est superbe, ce qui a fait passer la pilule. Mais il en faut du travail pour arriver à ce résultat. A un moment, je me suis même demandé si la base blanche était indispensable. Je me disais que si je pouvais zapper 2 couches, ce serait le pied. Mais oui elle l’est. En fait, j’ai eu un petit problème à l’annulaire que j’ai raté donc j’ai refait une pose après, juste sur celui-là. Et comme j’avais la paresse, cette fois, je n’ai pas posé de base blanche. Au début, tu te dis que le fini est exactement le même mais non. Certes, sans base blanche, c’est aussi un joli rose mais il est clairement éteint. Il est même moins punchy que les simples roses flashy. Alors qu’avec la base blanche la couleur pope vraiment. Avec on a bien une teinte néon, sans c’est un vernis comme un autre. Donc finalement, ça vaut le coup de suer autant.


Après, ça a aussi des inconvénients. Il y a pas exemple forcément une épaisseur sur l’ongle, surtout sur les ongles où la fille lambda que je suis n’a pas réussi à doser le vernis et a mis parfois de trop grosses couches. Là, vous voyez la main gauche, forcément la plus réussie. La main droite, sur certains ongles, c’est un peu le n’importe quoi. Surtout, cette épaisseur se voit pas mal à la naissance des ongles, particulièrement au moment de la repousse, encore plus quand, comme moi, tu fais des manucures à la Brésilienne qui débordent de partout. Sans compter que le blanc se distingue parfois sous le rose au niveau du bord des ongles. Au début, ce n’était pas autant le cas, j’ai l’impression que le rose se rétracte en fait laissant deviner le blanc.


Pourquoi alors craquer pour ce vernis s’il donne autant de travail à l’application et a quelques petits défauts ? Parce que la couleur. Certes, il n’est pas parfait mais ce rose est quand même waouh. Après, il faut pouvoir assumer cette teinte néon en hiver, car parmi toute la grisaille, elle se fait forcément plus remarquer. Mais ça a aussi son charme. Et puis il faut se dire que ce travail de titan n’est pas fait en vain. Je pensais qu’avec toute cette épaisseur, le vernis me lâcherait le lendemain de la pose mais que nenni ! J’ai fait ma manucure vendredi dernier pendant Koh Lanta et aujourd’hui, jeudi soir, donc presque une semaine plus tard, il est toujours impec’ (pour preuve, les photos ont été prises hier et aujourd’hui) ! Pas le moindre accroc et bizarrement presque pas d’usure aux bouts des ongles. Alors qu’avec certains vernis, même d’autres Essie, au bout de 2 jours j’ai souvent des signes de faiblesse sur ce front-là. Même la repousse se voit à peine vu que j’avais bien peint jusqu’aux cuticules (à part pour le problème de l’épaisseur en bord de certains ongles).

Bref, t’y passes peut-être plus de temps que la normale mais au moins t’es tranquille pour une semaine, donc finalement t’y gagnes quand même un peu. Dommage tout de même que les photos ne lui rendent pas tout à fait hommage, on ne voit pas le côté néon exactement tel qu’il est dans la vraie vie et surtout la différence entre les ongles fluo et celui pas fluo. Ironiquement, si ce vernis s’appelle Lights, depuis une semaine, je manque clairement de lumière pour faire de belles photos. C’est désespérant. Les aléas de la blogueuse beauté qui comme chaque hiver a envie de s’arracher les cheveux car la lumière est tellement merdique qu’elle ne peut plus prendre de photos depuis un bout de temps…
Rendez-vous sur Hellocoton !

mercredi 28 novembre 2012

Le maquillage de paresseuse, ça ne marche pas à tous les coups

On ne change pas une formule qui gagne… ou presque pas. Depuis un mois, côté maquillage, je mise tout sur les lèvres et, pour le regard, je reste fidèle à mon maquillage de paresseuse. Je vous en ai déjà parlé, la feignasse que je suis pose juste du fard doré en aplat sur la paupière mobile puis entoure le regard de crayon pour les yeux, que je dégrade au niveau du ras de cil supérieur mais pas forcément inférieur, tout dépend de la couleur. Et puis de toute façon, en général, sous l’œil, il se dégrade tout seul au fil de la journée. J’applique aussi du crayon dans la waterline car je trouve toujours bizarre une waterline nue, en tout cas sur moi.


Bref, je ne me foule pas. Mais pour ne pas afficher le même maquillage tous les jours, et pour ne pas sombrer dans l’ennui non plus, je varie les couleurs des crayons. Je vous ai déjà montré du gris et du bleu, mais je me suis aussi essayé au violet, au marron ou au plus classique noir. Je varie aussi les teintes de fards. Je reste toujours dans des harmonies dorées - avec d’autres couleurs, je trouve que ça ne passe pas – mais j’alterne entre du champagne, de l’or pur, du cuivré… J’ai tellement de nuances de doré en stock (après le bleu, ça doit être ma deuxième couleur de fard à paupières fétiche) que j’ai de quoi faire. Mais ce duo de choc ombre dorée et crayon de couleur est-il l’assurance d’un maquillage réussi à tous les coups ?       


Je le pensais mais au fil des tests des crayons pour les yeux L’Oréal Paris (ce sont eux que j’utilise en majorité pour ces make-up car je les ai sous la main), je me aperçue que non. Je me suis ainsi offert quelques ratés. Parfois à cause de la qualité du crayon, parfois de la teinte choisie et parfois de l’association de couleurs pas forcément réussie entre crayon et fard. Nous avons ainsi eu le dérapage en violet. Contrairement à ce que tu dois penser, le problème ne vient pas de la couleur. Oui, je fais un blocage sur le violet mais ce n’est pas ce qui m’a posé problème sur ce make-up. La couleur en elle-même est très jolie, un peu flashy tout de même donc elle se fait un peu remarquer. Je n’ai plus l’habitude mais on peut considérer que ça fait poper le regard.
Avec flash

Non, le hic en fait c’était le crayon. C’est donc une des nouveautés L’Oréal Paris : Color Riche Le Khôl 114 Breezy Lavander. Mais contrairement à tous ses frères et sœurs testés (que ce soit les smoky, les kajal ou les khôl), il n’est pas crémeux. Il est même plutôt sec, ce qui fait qu’il ne glisse pas super sur la paupière, il accroche même parfois, et surtout la couleur n’imprime pas aussi facilement qu’avec les autres (même presque pas sur la waterline). Il faut donc appuyer pas mal, repasser dessus pour avoir de l’intensité. Mais quand t’estompes, ça estompe trop donc tu perds toute la couleur. On peut s’en contenter mais moi je n’aimais pas donc je repassais un coup avec le crayon pour regagner de la couleur et alors je perdais l’estompe. Finalement, à chaque fois, je le porte pas vraiment flouté (donc je trahis mon maquillage de paresseuse) sinon je trouve ça trop « effacé », trop insipide. Même si comme ça, il est presque trop flashy, surtout pour l’hiver. Mais avec lui, j’ai du mal à avoir le juste milieu, contrairement aux autres.


Deuxième petit raté avec  du vert. Cette fois la couleur et la qualité du crayon ne sont pas en cause. C’est un Color Riche Le Smoky, teinte 209 Antique Green. Niveau texture, il est top, glisse bien et marque bien la couleur, même sur la waterline (même si à ce niveau, la tenue varie ensuite). Il est très agréable à appliquer et assez facile à estomper surtout que les crayons de la gamme smoky sont munis d’un embout mousse, ça simplifie le geste. La couleur est également très belle. Pas trop flashy mais pas éteinte non plus, foncée juste ce qu’il faut et avec un petit côté original. Bref tout aurait pu être pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Avec flash

Qu’est-ce qui a mal tourné alors ? Eh bien je trouve que l’association avec le doré n’est pas forcément jolie. Non, jolie n’est pas le mot car pas jolie voudrait dire que c’est moche, alors que ce n’est pas le cas. Disons que ce vert ne va pas avec le doré choisi. Enfin, j’ai cette impression. Le fard or posé ce jour-là est peut-être trop foncé ou tire trop vers le rose. En tout cas, mon instinct me dit que quelque chose cloche et que ce vert aurait été mieux associé à une autre harmonie de doré. Le fard en lui-même est beau, la teinte du crayon aussi, mais ensemble c’est bof. C’est un détail mais en make-up parfois tout est dans le détail. La prochaine fois, faudrait que j’essaie avec un autre or juste pour voir.


Comme quoi, mon maquillage de paresseuse demande un peu plus de réflexion que je ne le pensais au début. Finalement, on ne peut pas se lancer à l’aveuglette et même si la technique en elle-même reste assez simple, il faut faire attention aux produits sélectionnés et aux teintes choisies. Car, oui, on peut faire ce qu’on veut en make-up mais il faut aussi réaliser que certaines couleurs ne sont pas flatteuses associées entre elles.


Et n'oubliez pas que vous pouvez toujours tenter de gagner un style Ghd ICI.
Rendez-vous sur Hellocoton !

mardi 27 novembre 2012

Maquillage bleu sur le pouce avec le kit Colour To Go Front Cover

J’ai honte mais depuis que j’ai trouvé mon maquillage de paresseuse, j’ai totalement laissé tomber mes pinceaux. De toute façon, ils sont sales et j’ai la paresse (et pas forcément le temps) de les laver. Ca doit bien faire un mois que je n’ai touché aucun nouveau fard à paupières (à part mes ombres dorées) ou même étrenné les palettes de maquillage sorties pour les fêtes. Seule petite exception, l’autre jour. En fait, à la base, je voulais juste tester si mon maquillage de paresseuse pouvait être réalisé avec d’autres teintes que des dorés.


 Pour cette expérience, j’ai été faire un tour du côté de la palette Colour To Go de Front Cover (vue ICI). Kit de la marque anglaise petit prix, vendue en exclu chez Sephora, qui squatte ma salle de bains depuis que je l’ai reçu. Il faut dire qu’avec ses 20 fards cuits, il y a de quoi faire. Ainsi, comme elle contient pas mal de dorés, je l’ai toujours à portée de main pour mes maquillages de paresseuse. Bref, ce jour-là, une mouche devait m’avoir piquée car je me suis dit « ça suffit le doré et si on essayait l’argenté ! ». J’ai donc jeté mon dévolu sur le fard Silver Fish, le premier à gauche sur la 3è rangée en partant du haut.


Sauf qu’une fois appliqué, je me suis rendue compte que ça ne pouvait pas marcher ou plutôt que je n’allais pas aimer le résultat. Le fard en lui-même était sympa et bien pigmenté mais je trouvais que sa teinte, en fait un gris argenté tirant sur le bleu, n’irait pas avec mon duo gagnant fard à paupières/crayon estompé. Pour que ce duo marche, il me faut la luminosité du doré. Alors je me suis adaptée et ai improvisé un maquillage sur le pouce. N’ayant pas de pinceau propre, j’ai utilisé celui fourni dans la palette du kit, pas le top du top quoi donc excusez moi d’avance pour les finitions.

Avec flash

Bref, avec ce pinceau, j’ai appliqué le bleu vert Depth, à droite du Silver Fish dans le kit, dans le coin externe du regard et dans le pli de la paupière pour apporter un peu de profondeur au maquillage. J’ai ensuite entouré mon regard de khôl bleu sinon c’était fadasse. Eh ben, je te dis pas comment ça m’a fait bizarre. Ca fait tellement longtemps que je me maquille a minima que sur le coup j’avais l’impression d’être un clown. Tout ce bleu, ça m’a choqué. Alors que bon, c’est quand même ma couleur. On perd aussi les gestes basiques à force de ne plus les pratiquer. Moi qui pêchais déjà en estompage, disons que ça n’aide pas de s’astreindre ainsi au chômage technique. Moralité, il faut absolument que je me remette aux pinceaux.

Car même si j’ai eu l’impression sur le coup que c’était too much (alors que non), ça m’a redonné envie de jouer avec les couleurs. Les teintes de cette palette étant quand même bien sympathiques et les fards testés jusqu’ici plutôt de qualité, ceux-ci inclus. Sauf que la prochaine fois, je laisserai Silver Fish de côté (je me suis en fait aperçu que je n’étais pas fan de l’argenté, le gris simple oui, mais l’argenté ne me va pas) et donnerai plus de place à Depth dont la couleur est vraiment superbe ! Dommage que cela ne se voit pas dans ce make-up vu qu’il m’a juste servi de teinte de rattrapage. Mais la prochaine fois, ce sera lui le héros de l’histoire. Sans compter les autres couleurs de la palette qui me plaisent bien aussi.

Rendez-vous sur Hellocoton !

lundi 26 novembre 2012

Gagnez un Styler GHD Pink Cherry Blossom


Au tout début du blog (il y a une éternité, j’ai l’impression), je t’avais parlé de mon styler chéri Ghd. Ou plutôt de feu mon styler chéri puisque celui-ci avait rendu l’âme dû à ma stupidité/maladresse/débilité/paresse (ne rayez aucune mention inutile, elles sont toutes justes). En fait, je me lissais (et je me lisse toujours d’ailleurs) les cheveux assise sur le sol de ma chambre devant un grand miroir (je trouve ça plus pratique et mieux éclairé que la salle de bains). Et la paresseuse/imbécile que je suis ne rangeait pas son styler après le lissage (ne le fait toujours pas). Au début, je le laissais juste par terre le temps qu’il refroidisse. Et puis mes cheveux rebelles faisant des leurs, je finissais par leur repasser un petit coup tous les jours.


Mon côté feignasse s’est donc dit qu’il était plus simple de le laisser dehors (et donc sur le sol). Et puis un jour, ce fut le drame, le Gaston Lagaffe qui est en moi a pris le dessus et j’ai marché sur lui. Je te dis pas mon état quand j’ai entendu le gros craaaaaaaaaaaac. J’ai d’abord prié le dieu de la beauté, immobile, sans oser bouger le pied. Et puis j’ai dû me rendre à l’évidence. Il était mort. J’ai bien essayé de continuer à l’utiliser un peu après mais c’était compliqué, l’une des plaques étant cassée à la base. Et voilà, c’était la fin de l’histoire d’amour entre Ghd et moi. Dire qu’avant de le connaître, j’acceptais le sort de mes cheveux qui n’étaient jamais vraiment lisses. Mais y avoir goûté et devoir s’en passer, ce fut dur.


Sur le coup, j’ai failli redemander à ma sœur celui que je lui avais donné. Mais je me suis retenue (ç’aurait peut-être été pousser le bouchon un peu loin). Alors bien sûr, avec l’évolution des lisseurs et autres appareils pour les cheveux, on peut arriver à avoir des cheveux bien lisses ou de jolies boucles sans problème, mais ce n’est jamais tout à fait la même chose. Après ce jour maudit, pour le lissage, je l’ai ainsi remplacé par un appareil classique et mon brushing était très bien. Mais il fallait que je pousse la température beaucoup plus haut (le ghd chauffe à 180 °, là je devais monter jusque 200/220), ce qui n’est jamais bon pour le cheveu. Et lui, ne faisait que lisseur. Le styler ghd permet aussi de se faire de jolies ondulations. Certes, avec mes deux mains gauches, je n’y suis jamais vraiment arrivé, mais j’avais l’espoir. Surtout que l’accro aux boucles que je suis aime varier les formes et donc alterner entre les appareils : fers à boucler, à friser ou styler.


Bref, ces dernières années, j’étais orpheline. Moi qui aime tellement jouer avec mes cheveux, changer de tête avec des coiffures différentes (mais toujours les cheveux lâchés d’où l’importance des appareils coiffants), le styler ghd était vraiment un outil indispensable dans ma panoplie d’apprentie coiffeuse. Et là, ô joie et bonheur, le mois dernier, à l’occasion d’octobre rose, la marque a lancé un styler en édition limitée pour soutenir la lutte contre le cancer du sein et j’ai eu la chance d’en recevoir un. Je te dis pas l’hystérie. C’était la fête à la maison. Et, bonne nouvelle, je vous propose aujourd’hui d’en gagner un pour vous aussi !  Pour que ce soit aussi joie et bonheur de votre côté de l’écran.


Je vous rassure, ce n’est pas mon styler rose tout cassé que je vous propose de gagner hein, mais bien une édition Pink Cherry Blossom toute neuve et rien que pour vous. Elle n’est aujourd’hui plus disponible à la vente (on est passé à une version métallique pour les fêtes) mais je pense que cela ne vous posera aucun problème (c’est collector en plus), surtout que ce styler noir à plaques roses avec sa pochette ornée de fleurs de cerisiers est tout beau. Alors comment participer devez-vous être en train de vous dire en trépignant devant vos ordis ? Eh bien, c’est tout simple, il suffit de me laisser un commentaire en me disant pourquoi vous aimeriez avoir ce styler. Vous pouvez jouer jusque samedi prochain midi (le 1er décembre donc), je tirerais au sort dans la foulée et annoncerais la gagnante le même jour (et comme d’hab’, elle aura ensuite une semaine pour se manifester avant un retirage au sort).

PS : j'oublie à chaque fois de le préciser : réservé aux habitantes (ou habitants) de la France Métropolitaine (malheureusement). Et bien évidemment, une seule participation par personne.

EDIT : je précise bis (c'est clair pour moi mais peut-être pas forcément en fait donc mieux vaut le dire), seules les participations sous ce post (et donc pas sur Hellocoton) seront prises en compte.
Rendez-vous sur Hellocoton !

dimanche 25 novembre 2012

Ma routine soin anti-soif pour peau déshydratée

Je sais pas vous mais je trouve ça difficile de trouver un soin qui convienne vraiment à notre peau. Surtout si celle-ci est à la fois normale, grasse ou sèche selon les zones. Mais alors en plus, si elle change, ça ne nous aide vraiment pas ! Pendant longtemps, j’ai eu la peau normale avec quelques petites zones sèches, surtout en hiver (les joues surtout mais aussi le front, les ailes du nez ou les sourcils). C’est aussi ce que me disaient les spécialistes que je rencontrais sur mon chemin. Je choisissais donc des crèmes de jour en conséquence : pour peau normale avec une texture classique en été et un peu plus riche en hiver. Si besoin, j’en appliquais un peu plus sur les joues. Pour les sérums, je choisissais des soin anti vieillesse (anti-oxydant, réparateurs voire, oui, je l’avoue, anti-rides).


Et puis depuis quelques mois ma routine soin ne me convenait plus. Après avoir appliqué mes soins, ma peau continuait à tirailler. Pourtant, je pensais lui fournir tout ce dont elle avait besoin : un peu d’eau et beaucoup de gras. En fait, je ne sais pas pourquoi (l’âge, trop d’agressions extérieures, une routine soin inadaptée, des nettoyants visages trop décapants, les hormones ?) mais ma peau avait changé. En l’observant bien, je me suis demandé si elle n’était pas en train de virer déshydratée. Mais n’en étant pas sûre, j’ai continué ma routine classique. Puis un jour, lors d’un event soin, ça m’a été confirmé par un pro. Comme j’arrivais pile à la fin de ma routine soin, j’ai décidé de tout révolutionner et d’aller faire un tour du côté des soins désaltérants pour peaux déshydratées.


Pour mon sérum, j’ai opté pour une nouveauté Caudalie (enfin sortie en début d’année) : le Sérum SOS Désaltérant Vinosource ou Thirst Relief en anglais. Parce que c’est exactement ce dont j’avais besoin : soulager la soif de ma peau. Sa formule associe eau de raisin bio, acide hyaluronique et polyphénols anti-oxydants (il est en revanche oil free, ce qui est bien pour les peaux grasses). La marque nous dit que cette « bulle d’hydratation… capte et diffuse l’eau en continu et en profondeur pour rétablir l’équilibre hydrique de la peau, qui retrouve souplesse et fraîcheur ». Concrètement, ma peau adore. Je l’applique matin et soir avant mon soin en couches épaisses tellement ma peau l’aime.

Normalement, un sérum tu n’as besoin d’en mettre qu’un petit peu. Mais ma peau est tellement assoiffée que j’y vais franco (conséquence mon flacon se vide hyper vite, snif). Il faut dire aussi qu’il n’est absolument pas collant et est très agréable sur la peau (il y a effectivement un petit côté frais), qui le boit hyper rapidement, malgré la couche épaisse. Je peux en général appliquer ma crème après sans attendre une plombe (pas tout de suite mais avec tous les sérums, je laisse un peu le temps d’absorber). Bref, j’en suis fan et ma peau tiraille beaucoup moins (voire plus du tout certains jours) depuis que je l’utilise.

Le soir, je l’associe au gel crème désaltérant intense peau déshydratées Moisture Surge de Clinique. Lui n’est absolument pas une nouveauté. D’ailleurs, je lui avais déjà donné sa chance il y a un bon bout de temps (l’hiver dernier je crois) mais là il ne convenait pas à ma peau. Comme le sérum Caudalie, il ne contient pas du tout de gras et ça manquait à mon épiderme qui continuait donc à tirailler et à redemander à manger après l’application. Je l’avais logiquement abandonné. Et puis, quand j’ai découvert que ma peau avait changé, j’ai décidé de lui redonner ça chance. Et là, ça a été le pied.


La marque nous dit de « profiter d’un rapide rafraîchissement et de 12 h complètes d’hydratation apaisante… Des activateurs d’hydratation et un nouveau mélange d’extraits de plantes préservent l’équilibre hydrique de la peau ». Elle nous dit aussi qu’on peut l’utiliser comme une crème classique, sur le maquillage en journée, ou à laisser poser pendant 5 minutes pour un effet masque. Moi, je l’utilise en effet presque en masque, mais de nuit. Je l’applique tous les soirs en couches épaisses avant de me coucher et je laisse ma peau l’absorber pendant la nuit. C’est mon utilisation préférée. Le matin, je ne suis pas fan de sa texture gel. Sur ma peau je préfère une texture crème car j’ai besoin aussi de nutrition. Mais le soir, ma peau adore ce duo de choc et ce shoot d’hydratation. Résultat, ça fait un mois que j’ai commencé cette routine et j’ai bientôt fini mes deux pots/flacons (alors qu’en général, il me faut plutôt 6 mois pour finir un soin).


Il faut dire que depuis que j’ai adopté ce nouveau duo de choc, je sens que me peau va mieux. Pourquoi ne pas m’y être mise avant alors ? Parce que ma peau a changé et aussi parce qu’il n’est pas forcément facile de différencier peau sèche et déshydratée. On les confond d’ailleurs souvent car les signes se ressemblent : ça tiraille notamment. Pourtant, elles ne réclament pas les mêmes actifs soins et l’épiderme ne se sentira pas mieux si on se trompe de routine. En fait, une peau déshydratée a besoin d’hydratation (logique) c’est-à-dire d’eau (par exemple une peau grasse peut être déshydratée surtout si elle a été beaucoup décapée) alors qu’une peau sèche a besoin de nutrition c’est-à-dire de gras. Ainsi les crèmes pour peaux déshydratées ont une texture légère souvent en gel et les crèmes nourrissantes sont plus riches et souvent plus épaisses.


 Mais comment reconnaître une peau déshydratée ? Je ne vous fais pas un cours sur la peau sinon vous allez toutes fuir en courant mais disons que si elles se manifestent toutes les deux par des inconforts, elles ont bien des signes distinctifs. Quand on a la peau déshydratée des petites ridules se forment sur certaines zones, ce ne sont pas des vraies rides, elles sont souvent toutes petites voire à peine visibles mais il y a un côté parchemin. Une peau sèche, elle, va plutôt peler (il y aura des zones de desquamation). En outre, une peau sèche ne sera jamais grasse (puisqu’elle ne produit pas assez de sébum) mais une peau déshydratée peut l’être. Le hic ? On peut avoir la peau déshydratée ET sèche (c’est pourquoi, le matin, je n’ai pas changé de routine). Chez moi, c’est un vrai puzzle, selon les zones elle est déshydratée, sèche, normale, voire grasse à la fin de la journée. Le pied ! Mais là, ce dont elle a le plus besoin, c’est d’eau donc c’est ce que je lui donne.
Rendez-vous sur Hellocoton !

vendredi 23 novembre 2012

Etre obsédée par des savons pour les mains, c'est grave docteur ?

Quand tu es une beauty addict, tu finis par t’habituer aux regards un peu de travers des gens « normaux », parfois même de tes copines. Etre passionnée par les rouges à lèvres ou les vernis à ongles, quelle superficialité ! Pfffff, moi, j’avoue ça ne me touche même plus, limite j’aime bien être regardée de travers car je sais que la beauté ne se résume pas à cette fausse image. Pour la peine, je surjoue souvent le côté beauty addict, je pousse à fond l’excentricité pour choquer. Ca me fait marrer.


Et puis parfois, je me tais. Parce que je comprends que certains esprits étriqués puissent bloquer sur quelques unes de mes beauty fixettes. Par exemple, depuis 6 mois, je suis obsédée par une nouvelle gamme de savons pour les mains ! Oui, tu as bien lu ! Moi aussi quand j’y pense, j’en tombe un peu de ma chaise mais c’est ainsi. Je sais, ce n’est pas un truc ultra glamour comme le maquillage et ça ne va pas changer ta peau comme le soin, mais j’attendais sa sortie avec impatience. En rentrant le soir, je guettais la vitrine de la boutique qui me garde mes colis devant chez moi voir si je n’apercevais pas le précieux sac. Mais rien depuis des mois… Jusqu’à la semaine dernière. Et là, ô joie, ces nouveautés tant désirées sont enfin là !


Mais reprenons depuis le début. En avril dernier, j’avais assisté aux présentations des nouveautés Mixa/Dop/Ushuaïa pour le second semestre 2012. Et là, une nouvelle gamme de produits m’avait particulièrement tapé dans l’œil. Ushuaïa allait agrandir sa déjà très sympa ligne Hammam avec 4 Gels Lavants pour les Mains. Moi qui suis toujours à la recherche de nouveaux Pousse-Mousse car je déteste me laver au savon (pour te dire, ces derniers temps, je n’en avais plus et j’ai préféré utiliser du gel douche que du savon), j’ai tout de suite été emballée. Emballement qui s’est confirmé de retour à la maison puisque nous étions reparties avec l’un d’entre eux (dont je n’ai jamais pu vous en parler puisqu’ils n’étaient pas sortie mais surtout qu’il était dans un packaging non définitif qu’il nous était interdit de prendre en photo).


Echantillon qui s’est vite terminé mais que je pensais rapidement remplacer par ses frères et sœurs dans leur packaging normal. Car ils étaient censés sortir en mai/juin. Je te dis pas ma hâte. Puis mai et juin sont venus et les savons ne sont jamais parus, un mail nous annonçant le report de leur sortie en septembre. Donc à la rentrée, je guette chaque soir de plus belle en rentrant, m’excitant comme une puce quand j’aperçois un sac Ushuaïa. Mais je m’emballe à chaque fois pour rien, ces nouveaux savons sont aux abonnés absents. Je finis par me résigner, comme de nombreux produits présentés à la presse, peut-être n’arriveront-ils finalement pas jusqu’à l’étape vente. Mais ouf, mes mains sont sauves, ils sont enfin arrivés. Chez moi mais normalement aussi en grandes surfaces puisqu’ils ont finalement été lancés en novembre. On doit donc pouvoir déjà les trouver.

Et si vous utilisez vous aussi des Pousse-Mousse, je vous conseille d’aller faire un tour du côté de cette nouvelle gamme de savons pour les mains. Elle est composée de 4 produits, 4 senteurs différentes qui reprennent des parfums déjà existants des gels douches de la gamme Hammam d’Ushuaïa : Huile d’Onagre & Fleur d’Oranger (c’est marrant parce que c’est justement ce gel douche là qui m’a servi de savon pour les mains pendant ma pénurie), Thé Vert & Feuille de Mente, Savon d’Alep & Miel d’Acacia et surtout Savon Noir & Eclats de Noix d’Argan. Ce dernier est mon préféré et n’est pas un savon pour les mains classique car il fait aussi gommage. La texture de ce gel exfoliant est en effet constellée de micro grains. Ca peut faire peur, vu qu’on utilise un savon pour les mains plusieurs fois par jour, gommer autant ne va-t-il pas abîmer la peau ? Moi, je n’ai eu aucun problème, car ça reste hyper doux. Je l’ai utilisé quotidiennement tout seul (sans alterner avec d’autres savons) et ma peau ne s’est pas sentie agressée (pourtant je me lave pas mal les mains). Après, on peut aussi alterner avec un des autres savons, sachant qu’ils se déclinent en deux textures : les crèmes, qui sont plus riches et onctueuses, et les gels, plus classiques.


Ce qui est assez drôle, c’est que je ne suis pas la seule à avoir craqué pour ces gels lavants après la présentation presse. Il y a eu un véritable engouement et quand j’en parlais aux copines blogueuses par exemple, nombreuses étaient celles qui avaient craqué pour celui au savon noir. Et qui ne trouvait pas du tout bizarre mon obsession.

EDIT : tiens, comme toujours je m'aperçois que j'ai oublié de vous mettre les prix, même si là c'est Ushuaïa donc on ne risque pas l'explosion de budget. mais comme pour une fois, je n'ai pas égaré les infos, je vais faire la bonne élève : ils sont à environ 2,69 € pour 300 ml chacun (sachant que c'est le prix conseillé par la marque après les distributeurs y mettent parfois leur grain de sel).
Rendez-vous sur Hellocoton !