lundi 4 mars 2013

Collection Euro Centrale d'OPI : in love du vernis parme You're Such a Budapest


Dans le genre fille paradoxale, je pense que je me pose là. Alors qu’en véritable blue addict j’ai forcément flashé sur les trois vernis à ongles bleus de la collection Euro Centrale d’OPI, ce n’est pas par eux que j’ai commencé ma véritable exploration de ces nouveautés printanières mais par un violet. Oui, un violet en plus, qui est juste l’une des couleurs que je passe mon temps à descendre, vous rabâchant qu’elle n’est pas pour moi. Sauf que ce violet-là m’a tout de suite tapé dans l’œil. Et puis c’est pas un vrai violet, c’est un lilas, ou un lavande. Non, plutôt un parme (bref, c’est une couleur un peu compliquée pour mes yeux de semi daltonienne).


 Le vernis coup de cœur en question est le You’re Such a Budapest. Dès les swatchs, je suis tombée raide dingue de lui. Je l’aimais sur un ongle et j’avais envie de le voir sur le reste de la main (ou plutôt des deux mains). Donc j’ai logiquement commencé par lui. En plus, je lui trouvais un petit côté printanier, je me disais qu’il serait parfait pour mettre un peu de soleil dans cette fin d’hiver grisâtre et ce mois de février qui n’en finissait pas (enfin, ça c’était pour la première fois où je l’ai porté, je l’ai posé de nouveau ce week-end et en ai profité pour faire des photos souuuuuuuuuuuus le soleiiiiiiiiiiiiiil).  Et il n’y a pas à lésiner, j’aime vraiment sa couleur, un superbe parme. Il est à la fois pastel et flashy, j’adore. J’aime bien les couleurs pastel mais je bloque sur leur côté hyper clair, presque délavé. Ok, c’est romantique, mais c’est mou du genou. Là, c’est un pastel intense si on peu dire, on profite donc de la couleur poudrée (qui fait un peu boîte de macaron Ladurée) mais on a aussi un côté flashy. Il n’est pas niais quoi.


Après, c’est une couleur qui ne plaira pas forcément à tout le monde. D’ailleurs si j’ai eu des compliments dessus quand je le portais, j’ai aussi eu des « j’aime pas du tout ton vernis ». Je pense que ce n’était pas la couleur du vernis en lui-même qui posait problème mais peut-être l’association couleur du vernis + carnation. C’est une de ces couleurs qui sont belles mais qui sont plus flatteuses sur certaines carnations ou couleurs de peaux que sur d’autres. Peut-être va-t-il mieux à une peau vraiment blanche ou alors une peau bien bronzée ? D’ailleurs, côté couleur, il me rappelle un peu un vernis de la collection Candy de L’Oréal Paris du printemps dernier et que j’avais porté pendant les vacances sur peau hâlée justement. Un violet lavande lui aussi pastel et flashy à la fois. Enfin, quoiqu’il en soi, qu’il aille ou pas à ma carnation, je m’en fous, je l’adore. Je le trouve doux  (presque reposant) mais avec du caractère. Tu le sais, j’aime bien avoir des ongles qui claquent un peu sinon je me sens nue. Et je m’ennuie aussi. Celui-ci peut être considéré comme discret et pourtant il en jette.


Mais parlons bien, parlons peu, parlons technique. Parce que la couleur, pour moi, ça fait 80 % du vernis, mais les 20 % techniques sont quand même très importants. Comme souvent pour les pastels chez OPI, pour arriver à avoir une opacité parfaite, il faut trois couches. En effet, le vernis est assez liquide. Mais cette fluidité fait qu’avec trois couches t’as pas l’effet matière que tu peux avoir avec certains et ça sèche relativement vite. Peut-être que quand t’as pas deux mains gauches, tu peux y arriver à deux mais moi non. Pour vous montrer la différence entre 2 et 3 couches, je n’en ai mis que deux sur le pouce et l’annulaire de la main prise en photo et 3 sur le reste des doigts. Tu peux voir qu’avec 2 couches, c’est un peu transparent par endroit, la couleur est aussi plus claire et plus délavée. Avec 3, c’est totalement opaque et plus punchy. En général, mettre 3 couches ça me saoule un peu mais là comme ça ne met pas 3 heures à sécher, je lui pardonne. En revanche, veille à bien mettre du top coat en plus par-dessus pour arriver à une bonne tenue de 5 jours. Sinon, il ne fait pas d’accroc mais il s’use un peu au bout, c’est moins élégant quand même. Pour le pinceau, ça ne compte pas pour moi puisque je fais ma manucure à la brésilienne en débordant de partout (ça se voit un peu d’ailleurs sur les photos, oups), mais c’est le classique pinceau fin d’OPI.

Et voilà, une première expérience totalement réussie avec la collection Euro Centrale d’OPI. Tellement que je le porte donc en ce moment pour la deuxième fois (fait assez rare pour être signalé). Mais cette fois, j’ai bien envie de le pimper avec quelques paillettes (le seul nail art dont je suis capable). Stay tuned, vous risquez de le revoir bientôt.
Rendez-vous sur Hellocoton !

1 commentaire:

  1. Le pastel et ma peau mat, on est pas copain, pourtant suis quand même tenter de voir ce qu'il donne.... Et avec de la pailleette ça, je suis sûre daimer!

    RépondreSupprimer