mardi 29 avril 2014

Dans la peau de Carrie Bradshaw : une modeuse à New York (look)


En bonne modeuse, j’ai évidemment choisi les tenues mises dans ma valise pour New York avec attention. Rien de bien extravagant (je me suis retenue de mettre mes jupes/robes Castelbajac car elles prenaient trop de place), non, juste des tenues sympas et féminines, casual et confortables mais élégantes en même temps. J’avais envie d’être bien habillée pour déambuler dans les rues de la ville. Pour moi, New York est une ville stylée, c’est donc l’occasion ou jamais de l’être aussi. D’abord pour faire honneur au chic à la française (il faut bien entretenir cette image même si parfois tu te demandes d’où elle peut bien venir) et aussi pour être à la hauteur du chic à la new yorkaise (autre cliché dont tu te demandes d’où il sort). En gros, je ne voulais pas passer pour une pouilleuse du look tout en lançant un nananère vestimentaire (genre, prends ça la New Yorkaise, les Parisiennes ont quand même plus de style que vous).


Et puis, j’avais aussi juste envie de vivre dans un épisode de Sex & The City. En vrai, dans la vrai ville, les vraies rues. Je crois que j’ai été trop bercée par la série, ça m’est un peu monté au cerveau. Mais oui, j’avais envie de me prendre un peu pour Carrie Bradshaw (avouez, ça vous arrive aussi). Donc j’ai embarqué dans ma valise toutes mes tenues préférées. Je me voyais d’ailleurs déjà faire tout plein de photos de looks au quatre coins de la ville, dans tous les quartiers sympas. Ca aurait été la classe n’est-ce pas ? En vrai, comme la vie n’est absolument pas un film romantique où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, ça ne s’est absolument pas passé comme ça. La plupart du temps, il a fait vraiment très très très froid et la frileuse que je suis a alors empilé les couches pour survivre. Je ne ressemblais donc plus à rien. Enfin, si, à Bibendum. Bye bye l’éventualité de prendre toutes mes jolies tenues en photo. Les quartiers auraient bien changé, le look lui un peu moins : la plupart du temps, mon uniforme ça a été gros manteaux rose, bottes et bonnet.

Perry Street, West Village
66 Perry Street, Carrie's place

Heureusement, on a eu quelques jours de répit. Et parce que c’est quand même plus sympa de découvrir un quartier quand il fait soleil, on a profité d’un jour où on savait qu’il allait faire beau pour aller se promener dans le West Village (mon quartier favori de la ville, mais on en reparlera). Et là, j’ai pu me glisser dans la peau de Carrie Bradshaw le temps de quelques minutes (et quelques clichés). Attention, interlude grosse fan : dans la série, Carrie habite dans l’Upper East Side. Pour être exacte entre la 72ème rue et la troisième avenue dans le premier épisode puis au 245 de la 73ème rue, entre Park Avenue et Madison. Oui, elle change d’adresse entre le pilote et le reste de la série ni vu ni connu. Ils l’ont upgradé et lui ont donné une adresse plus chic. Elle change aussi d’appartement, dans le pilote de la série elle n’est pas du tout dans son célèbre appart’ avec son dressing star. En tout cas, je me souviens qu’en 2011, lors de mon premier séjour, j’étais allée faire un pèlerinage à son adresse exacte (j’en avais profité aussi pour aller rendre visite à l’immeuble d’Audrey Hepburn dans Breakfast at Tiffany’s pas loin de là, et à Blair de Gossip Girl, une autre girl from the block, comme quoi toutes mes idoles mode viennent de l’Upper East Side. Mais je m’égare).


Dans l’Upper East Side, pas de trace du mythique fronton. Tout simplement parce que c’est celui d’un immeuble du West Village, qui existe bien lui. A l’époque, je me souvenais avoir lu quelque chose sur le sujet mais c’était flou. Alors cette fois, j’ai fait my homework comme ils disent et j’ai découvert que le célèbre perron se situait au 66 Perry Street. Une fois à New York, j’ai alors fait ma fan de base et ai traîné ma sœur dans cette très jolie rue du Village pour prendre une photo de ces marches et de cette porte vus tant de fois dans la série. Notez, je ne suis pas la seule. Pour contenir les fans hystériques et les empêcher de gravir le petit escalier, il y a même une chaîne. Une fois sur place et puisque par chance, il ne faisait pas si froid, je me suis dit que c’était le moment où jamais de prendre une photo de mon look façon Carrie. Ce n’était pas ma tenue la plus sympa du séjour, mais l’occasion a fait le larron. L’immeuble étant un peu trop famous et donc fréquenté, je me suis quand même éloignée et ai pris pour décor une autre brownstone avec des marches encore plus jolies je trouve.


Et là, j’ai fait ma Carrie, genre je rentre chez moi après un rendez-vous avec Mister Big. Bon, je suis quand même beaucoup plus underdressed qu’elle. Ce jour-là, j’avais opté pour une association toute simple t-shirt/jupe. Comme je vous en parlais sur mon séjour à Cuba, j’ai redécouvert cette combo et je trouve ça sympa. D’ailleurs, on retrouve l’une des jupes de mes looks cubains justement, ma petite jupe noire fleurie H&M. Vous allez croire que je n’ai qu’elle. Mais en même temps, cette pure coïncidence montre qu’elle marche parfaitement en mode tenue été ou tenue automne/hiver. Il suffit de changer le reste des éléments du look et elle s’adapte. Puisqu’il faisait un peu frisquet ce jour-là, pas de débardeur cette fois, mais un t-shirt manches longues. J’aime bien ce petit haut gris acheté chez Stradivarius à Madrid cet hiver. Il est tout simple à un détail près : un empiècement de dentelle au niveau des épaules. Et ça change tout. Ca le rend plus chic, plus féminin et plus sexy. J’aime bien aussi son tissu, un coton fin et tout doux. Je l’ai d’ailleurs shoppé aussi d’une autre couleur. Enfin, froid oblige, je suis restée fidèle aux collants noirs. Et pas de talons pour moi. Oui, je sais, c’est une Carrie trahison. J’admire sa capacité à déambuler sur des stilettos mais j’en suis bien incapable. Encore moins pour arpenter les rues new yorkaises. Je n’ai toutefois quand même pas cédé à l’appel des baskets. Ok, c’est super fashion, c’est les chaussures du moment mais sur moi, je ne peux pas, surtout avec une jupe ou une robe. J’ai donc opté pour mes bottes Aldo ou mes bottes de Francis Lalanne comme on les appelle avec ma sœur. Des chaussures qu’en fait je n’aime pas du tout (elles sont trop hautes, trop larges) mais que j’ai achetées quand même (va comprendre !) donc je suis désormais obligée de les porter. Et puis c’était la seule paire qui allait avec le reste de ma tenue.  

Là, tu peux voir que du côté droit mon "ombré hair" est beaucoup moins nuancé. on distingue bien la barre !

Côté accessoires, j’ai fait assez simple mais gai quand même pour réveiller ce look un peu trop black que certains pourraient penser tristoune. J’ai apporté une touche de couleur avec un sautoir associant des croix et des têtes de mort bleues, turquoises et blanches et une bague en argent avec une pierre turquoise (là encore achetées à Madrid, il faut dire que j’y ai trouvé pas mal de jolies choses). Et puis pour me protéger des rayons du soleil qui était de sorti tout de même malgré les températures fraîches, je suis restée fidèle à mes Wayfarer de Rayban. Je les avais acheté en 2011 à New York justement et je trouvais poétique de les ramener à la maison. Et puis je les adore aussi… Voilà, pour ce petit look new-yorkais façon Carrie Bradshaw. Moi je dis, de loin, de dos et si on ferme les yeux, Carrie et moi, on est quasi des jumelles (je n’ai pas les vêtements de créateurs, je n’ai pas la silhouette mais j’ai un peu les cheveux quand même… ;p).


Lunettes de soleil Wayfarer de Rayban
T-Shirt Stradivarius (collection hiver, acheté à Madrid)
Jupe noire fleurie H&M (collection actuelle, je l'ai même retrouvée à New York)
Bottes Aldo (collection hiver dernier)
Collier Forever 21 ou Claire's (mais on retrouve ces crânes partout)
Bague en argent : marché El Rastro, Madrid

PS : moi aussi je veux habiter dans une brownstone, dans le West Village si possible. #ilovenewyork

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lundi 28 avril 2014

Epilation : petit banc d’essai de bandes de cire froide Monoprix et Laurence Dumont


Et voilà, c’est le retour de la période de l’année où on se remet à parler épilation. Genre, tu sais, c’est bien connu, on ne s’épile pas le reste du temps. Mais c’est vrai qu’avec le printemps et le retour du soleil, on est supposé ressortir les gambettes donc le sujet est tout d’un coup pas mal d’actualités. Avant on pouvait cacher nos jambes velues sous nos jeans, là, avoir des poils n’est plus au poil (comment ça bouh, c’est pas drôle, ok, d’accord, je m’échauffe juste). De mon côté, je n’ai pas attendu que ce soit la saison pour m’en occuper. C’est qu’en mars, avec le voyage à Cuba et le retour des jupes d’été et des maillots de bain avant l’heure, il a bien fallu y penser. Pour être tranquille pendant deux semaines sans avoir à faire de constantes retouches, j’ai adopté ma stratégie habituelle : d’abord laisser repousser (faut accepter alors de ne ressembler à rien pendant un certain temps), puis tout éradiquer avec des bandes de cires froides. C’est ma méthode fétiche (l’épilateur me laisse des séquelles sur la peau, j’ai la phobie de la cire chaude, je ne supporte pas la sensation collante de la cire orientale et vacances signifie souvent rush pré-départ donc je n’ai en général pas le temps de prévoir un passage en institut). Et évidemment, en bonne blogueuse beauté qui se respecte (même si elle n’écrit plus que sporadiquement), j’en ai profité pour tester des nouveautés. Voici mon petit bilan.


20 Bandes de Cire Froide Jambes & Corps, Laurence Dumont
Ce qu’en dit la marque : elles sont dotées de la technologie Perfect Peel System qui permet aux bandes d’être plus adhérentes, donc de mieux saisir les poils et de mieux les arracher, même les poils les plus courts. Elles laissent ainsi la peau lisse et douce pendant 4 semaines. La formule de ces bandes est également enrichie en huile d’argan et aloe vera pour qu’elles puissent être utilisées même par les peaux sensibles.


Ce que j’en pense : Gros fail. L’année dernière, j’avais utilisé les bandes de cire froide de voyage de la marque et les avais beaucoup aimées. Efficacité, facilité d’utilisation : rien à redire. Là, on en est loin. Après arrachage de la bande, j’avais plus de poils intacts toujours sur ma jambe que sur elle. C’est comme si la bande collait mal. D’ailleurs en général, je réutilise une même bande trois fois avant qu’elle n’épile plus et là, après la première, elle jetait l’éponge. Elle ne collait plus bien et donc n’arrachait aucun poil au deuxième passage. En temps normal également, après avoir fini les deux demi-jambes, il me reste toujours des bandes. Mais là, j’étais arrivé à la fin du paquet et il me manquait presque la moitié (et j’avais limite toujours autant de poil). En plus, sur ceux dont je m’étais débarrassé, certains n’avaient pas été épilés mais coupés. Donc je n’en avais pas pour 4 semaines de liberté ; même pas pour 4 jours. Dépitée, après une heure à épiler pour presque rien, j’ai fini au rasoir. J’en ai testé des bandes de cires froides et j’ai l’impression que c’est la première fois que ça marche aussi peu. Je me demande si ce n’est pas la nouvelle technologie censée faire mieux adhérer la bande qui est en cause. Et si elle avait plutôt un effet contraire ? Elle n’était en effet pas présente dans mes bandes voyage de l’année dernière qui elles m’ont laissé un très bon souvenir. Ni dans les bandes maillot utilisées ensuite que je valide aussi.


16 Bandes de Cires Froides Epilation Brésilienne Maillot Echancré
Parlons-en justement de ces bandes de cires froides pour le maillot.
Ce qu’en dit la marque : Laurence Dumont nous propose une innovation avec un format de bandes inédit imaginé spécialement pour l’épilation brésilienne. Elles sont plus longues et plus fines que les bandes maillot classiques, ce qui facilite une épilation échancrée.


Ce que j’en pense : Autant, je suis fan de l’épilation à la cire froide sur les jambes, autant j’ai du mal sur le maillot. Car j’ai mal tout simplement. Je suis une douillette, une chochotte (même les cuisses, je douille). Parfois, j’essaie de me motiver, j’y vais, mais je jette la bande très rapidement. Je pourrais passer outre la douleur (avec difficulté quand même) si c’était efficace. Mais en général, la cire froide ne marche pas sur moi. J’arrache un poil sur 10. S’il n’y avait pas eu le gros flash de douleur (et le gros cri qui va avec) pour prouver que j’étais en pleine épilation, ce serait presque comme si de rien n’était. Ma philosophie jusqu’ici était donc : pourquoi m’infliger ça pour rien. Mais là, je n’avais pas trop le choix. J’avais rendez-vous une heure plus tard pour le grand départ, il fallait faire quelque chose. Je me suis donc résignée à utiliser ces bandes. Et j’ai été agréablement surprise. J’étais persuadée que ça allait être un désastre vu le fiasco précédent avec celles pour les jambes. Mais non. Elles ont été super efficaces. Plus efficaces j’ai l’impression que toutes celles testées avant. Et puis leur forme fine et très longue est en fait assez pratique. Ca permet d’épiler de plus grandes zones d’un coup et donc de gagner pas mal de temps. Bien quand t’es pressée. Ca n’enlève pas pur autant la précision pour les petites zones : à ce moment-là, je n’utilisais qu’un morceau de la bande, ça marchait très bien. Conquise en somme, j’ai été. Si j’avais la jambe toujours velue, je partais au moins avec le maillot fait. Je précise, ces bandes-là n’ont pas la technologie Perfect Peel System. Est-ce lié ? On ne dit donc pas non à Laurence Dumont, on choisit juste ses références car il y a du (très) bon et du moins bon (comme partout).


20 Bandes de Cire Froide Jambes, Monoprix
Après mon retour de Cuba et l’usage intensif du rasoir, j’ai fait une petite pause pour le bien de mes jambes puis ai de nouveau fait appel à la cire froide pour être impec’ pour New York. Cette fois, j’ai jeté mon dévolu sur les bandes Monoprix. L’enseigne développe de plus en plus de produits de beauté et d’hygiène en nom propre et on y trouve pas mal de pépites à petit prix.
Ce qu’en dit la marque : Le classique, épilation simple, rapide et efficace même sur les poils courts. On est tranquille jusqu’à quatre semaines…


Ce que j’en pense : Comme ça fait du bien de retrouver des bandes efficaces, qui collent bien et qui arrachent bien. Evidemment, on retrouve les défauts de toutes les bandes de cire froide : ça laisse quand même quelques poils derrière (mais totalement raisonnable, dans la moyenne de ce que j’ai rencontré lors de mes autres tests), ça en casse aussi certains (là encore pas plus, pas moins, rien ne m’a choqué/repoussé), et il y a les inévitables traces de cire qui restent sur la jambe et qui collent. Mais elles partent très facilement avec les lingettes post-épilation fournies. Donc rien à redire. Bon, moi, sur les poils courts, ça ne marche pas mais ça ne marche jamais. Et j’ai aussi la repousse rapide. Je ne peux en général jamais apprécier 4 semaines de tranquillité. Mais là quand même, on atteint les trois semaines, ça repousse bien sûr mais juste un poil (mouahahaha. Non ? Toujours pas ?). Bref, je valide. Sont-ce les meilleures bandes de cires froides testées ? Peut-être pas mais elles sont très bien et font le boulot. Leur gros plus quand même : sur les demi-jambes, en général, j’épile assez facilement devant mais j’ai plus de mal derrière. Les poils y poussent en effet dans plusieurs sens, ce qui fait que la bande n’enlève jamais tout car elle n’est pas forcément posée dans le sens de la pousse (puisqu’il y en a plusieurs). Eh bien là, ça a marché quand même. Applause pour ce détail qui m’a bluffée je le concède. En plus, j’ai pu réemployer les bandes jusqu’à trois fois donc il m’en restait encore après avoir fini les demi-jambes. Je dis donc oui à Monoprix.
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dimanche 27 avril 2014

Pourquoi les coiffeurs n’écoutent jamais ce qu’on leur demande ? Pourquoi ?


Ca fait longtemps qu’on n’avait pas parlé cheveux par ici. Enfin surtout de mes cheveux ! Deux mois et demi quand même. Pour la très légèrement obsessive capillaire que je suis, ça fait une éternité. Surtout que cette année, ils en ont quand même vu de toutes les couleurs.  Littéralement. Je vous avais laissées mi-février avec une chevelure dans tous ses états : j’avais du brun, du blond, des reflets roux, du bleu aussi à cause d’un hairchalk et mes cheveux blancs étaient revenus. En soi, le mélange des différentes couleurs ne me dérangeait pas forcément. Ca avait son charme. Et puis surtout j’aimais beaucoup l’ombré hair qu’on m’avait fait début décembre (et dont il faut vraiment que je vous parle) donc je ne voulais pas y toucher. D’un autre côté, je ne pouvais plus supporter mes cheveux blancs qui sont vraiment de plus en plus visibles. A chaque fois que je me regardais dans le miroir, j’avais envie de m’arracher les cheveux pour m’en débarrasser. Mais vu que j’en ai désormais beaucoup (ô rage, ô désespoir), j’aurais alors fini limite chauve. Autant opter pour une solution plus simple, le passage chez le coiffeur.

Cette fois, je n’étais pas du tout stressée comme souvent quand je mets les pieds dans un salon de coiffure (car on ne sait jamais comment on en ressortira) parce que je savais exactement ce que je voulais. Et comme c’était quand même hyper simple, je me disais qu’il n’y avait aucun risque de se tromper et de tomber à côté. Hum, hum, l’excès de confiance… Quelle erreur. J’y allais pour me faire colorer les racines afin de camoufler ces affreux cheveux blancs et pour me faire couper la frange qui n’était plus qu’une vilaine mèche. Je ne voulais ni me couper les cheveux, ni colorer mes longueurs tout simplement parce que je ne voulais pas toucher à mon ombré hair. J’explique donc tout ça au coiffeur. Enfin, plutôt au coloriste (on s’est d’abord occupé de ma couleur, après de ma frange). Je lui explique que je ne veux pas toucher à mes longueurs, que j’aime bien ma couleur car elle est bien fondue et qu’il n’y a pas de transition nette entre le blond et le brun (pas de barre bien visible quoi, le blond ne part jamais de la même longueur selon les mèches). Il me répond qu’effectivement mon balayage est très bien fait :  que par exemple ma coiffeuse n’a pas décoloré les cheveux du dessous ce qui lui donne de la profondeur. Je m’assois donc confiante, me disant qu’on s’est compris, et commence à papoter avec une copine. Puis là je l’entends dire qu’il va faire un truc au blond, le réveiller, je ne sais plus trop quoi. Interloquée, je lui demande donc : « mais on touche aux longueurs finalement ? ». Apparemment oui, on touchait. Ok, d’accord.


Bon, c’est vrai qu’à un moment, j’avais peut-être opiné de la tête quand il avait dit qu’il fallait travailler toute la chevelure pour mieux fondre. Mais c’était dans la conversation, pas forcément une acceptation du truc. M’enfin une partie de moi se dit alors que mon blond ayant viré un peu roux et semble de plusieurs couleurs, c’est effectivement peut-être mieux de repartir de zéro. Alors je ne dis mot (donc consent). Mais là, je le vois se diriger avec son pinceau vers mes racines. Je refoule un cri d’horreur et à la place dis clairement et calmement que je ne veux pas que le blond monte trop haut, je veux garder mes racines foncées. Je veux que le blond parte grand maximum du milieu des oreilles. Je lui explique que pour mon dernier ombré hair, elle était montée trop haut et que ça m’avait un peu traumatisée. Les deux mèches entourant mon visage étaient complètement blondes donc, de face, en sortant de chez le coiffeur, je me voyais blonde et je l’avais très mal vécu. Je reste une brune dans l’âme et selon moi le 100% blond ne me va pas. Il semble comprendre et commence donc à poser son produit de décoloration. Pas à partir des racines. Mais quand même un peu haut… Hum, hum bis.

Pendant ce temps-là, on papote. Je lui raconte mon anarchie capillaire, que mes cheveux étaient un peu de toutes les couleurs : le blond, le brun utilisé pour colorer mes racines et mon brun à moi un peu différent au niveau de la repousse. Là, il me répond que pour ne plus avoir de démarcation au niveau des racines, il faut que j’arrête de me colorer les cheveux. Là, mon moi intérieur a fait un gros « What ?! » et une nouvelle tête interloquée. Mais bien élevée que je suis, j’ai plutôt exprimé mes sentiments par un : « mais je ne peux pas arrêter de me colorer les cheveux à cause de mes cheveux blancs ». Je lui explique que j’en ai plein, que je ne les supporte pas et que je veux absolument les camoufler. Raison première de ma venue ici d’ailleurs. Après avoir posé le produit de décoloration, il enchaîne donc en posant la couleur sur les racines pour faire disparaître la démarcation de la repousse (dixit himself), sans mentionner les cheveux blancs. Hop, hop, hop, il pose sa couleur super vite fait et pas beaucoup de produit en plus. Tout en mentionnant qu’effectivement j’ai pas mal de cheveux blancs, surtout devant (où ils sont bien visibles quoi, les salopiauds). Et justement, je les connais ces cheveux blancs. Déjà, mes cheveux dégorgent la couleur assez rapidement mais eux la gardent encore moins. Il faut donc mettre pas mal de produit et là, j’ai comme un doute. Je commence donc à stresser un peu sur mon fauteuil.


Je savais que ça n’allait pas le faire. Et effectivement, une fois mes cheveux rincés et sortis de leur serviette, mes cheveux blancs étaient toujours là. Je les voyais déjà alors que mes cheveux étaient encore mouillés. Alors une fois secs ! Je pense que ça aurait été à un autre moment, j’aurais été capable de lui demander de refaire la colo pour les camoufler vraiment. Le hic, c’est que comme on avait décoloré, ça avait pris beaucoup plus de temps que prévu et j’avais un dîner après pour lequel j’avais déjà une demi-heure de retard. Donc, j’ai laissé tombé, bien énervée. Mais je n’étais pas au bout de mes (mauvaises) surprises. J’ai aussi découvert mon nouveau blond… qui montait très très haut. Pas les racines mais bien au-dessus de l’oreille quand même. Deux bons centimètres au-dessus de ma limite quoi. Surtout, j’avais perdu toute la nuance de mon précédent ombré hair. Ma coiffeuse n’avait jamais fait partir le blond du même endroit, n’avait pas teint les cheveux du dessus au niveau de la nuque et surtout n’avait pas coloré non plus le dessous des mèches (recto j’étais blonde, verso, j’étais brune).

Eh bien là, je me retrouve avec un ombré hair beaucoup moins nuancé. C’est limite un tie & dye d’ailleurs puisque il y a une délimitation claire entre les deux couleurs. Sauf qu’au lieu d’avoir genre 2/3 de brun (racines/mi-longueurs) et 1/3 de blond (pointes), j’ai le contraire. Donc ce n'est absolument pas un ombré hair (mais bon, pour être juste et impartiale c'était déjà le cas de celui d'avant, il était juste moins appuyé). En fait, seules mes racines sont brunes, tout le teste est blond. Vraiment blond. Tout d’un bloc presque. Il n’y a plus de recto verso. Et avec une barre au-dessus de l’oreille au niveau du passage d’une couleur à l’autre. Barre qui se voit quand même beaucoup quand mes cheveux sont lisses. Défauts plus prononcés d’un côté d’ailleurs, le droit. Le côté gauche que je vous mets en photo est plus nuancé. M’enfin, moi qui préfère les transitions douces, j’étais choquée et encore plus énervée. En plus, il y avait un petit côté années 80 dans ce passage abrupt du brun aux racines au blond sur les longueurs, surtout sur la frange. Les deux blocs étaient particulièrement moches là. Alors j’ai fait couper ma frange bien courte pour faire disparaître le blond. C’était au moins ça de pris. Et je me suis cette fois montrée très directive (presque dictatoriale) avec le coiffeur pour avoir exactement ce que je voulais. Résultat, je n’ai rien à reprocher à la frange. Mais le blond… Car il y a plus. Pour que le passage d’une couleur à l’autre soit moins violent (je cite), il a décidé de me faire une patine caramel. Traduction, de donner des reflets caramel à mon blond. Alors le caramel, c’est joli sur un châtain, sur un blond beaucoup moins je trouve. Au lieu de ressortir avec un blond blond (scandinave, bébé, soleil), il tirait plutôt vers le marron voire le roux. En fait, je me suis retrouvée avec les reflets que je voulais neutraliser à la base, ceux que j’avais après que mon blond ait viré. Moi qui voulais retrouver un blond pur…


Bref, de plus en plus stressée/énervée/dégoûtée/déprimée, et surtout de plus en plus à la bourre, je n’ai rien dit. Il fallait que je me tire de là le plus vite possible donc j’ai mis ma poker face (je suis devenue très bonne à ça à force de passages ratés chez le coiffeur) et j’ai dit que j’aimais beaucoup avant de partir en courant et d’aller pester auprès de Teddy et So (qui m’attendaient donc depuis une heure) que ma colo était totalement raté. Ce qui les a beaucoup fait rire. Car j’avais aussi rendez-vous avec eux après mon premier ombré hair et j’étais là aussi arrivée très en retard et un chouïa choquée/énervée/déprimée parce que je me trouvais trop blonde. Certes, je suis peut-être une drama queen. Et quand je fais de grands changements, il m’arrive de ressortir de chez le coiffeur au bord de la dépression criant haut et fort qu’on a assassiné mes cheveux. Rappelons-nous le carré trop court de cet été aussi. J’avais aussitôt appelé une copine pour lui dire qu’on m’avait complètement raté. Alors que j’avais fini par l’aimer ce carré. Disons qu’il me faut souvent un peu de temps pour accepter (et aimer donc) ma nouvelle tête. Bon, parfois, j’en sors contente quand même. Mais c’est vrai que le dépit s’en mêle souvent. Il y a des fois où je peste parce que le changement n’est pas assez visible, d’autres parce qu’il est beaucoup trop radical. Mais ce qui m’énerve le plus, quand je n’ai pas du tout ce que j’avais demandé. Même si à la fin, ce n’est pas raté, on se sent quand même un peu floué non ?

C’est un peu le cas cette fois-ci. Oui, j’ai fini par me faire à ma nouvelle couleur. Mais pas non plus complètement. J’ai arrêté de me lisser les cheveux depuis et opte plutôt pour des boucles. On voit moins la barre comme ça, la transition est plus floue, ça va déjà mieux. Et puis mes cheveux repoussent vite donc le brun gagne du terrain. N’empêche, à chaque fois que je regarde mes cheveux totalement blonds sur les longueurs, ça me fait un choc. Le bon côté, c’est que j’ai réussi à annihiler les reflets caramel/roux dont je n’étais pas du tout fan et ai retrouvé un blond un peu plus pur et scandinave/bébé grâce au Soin Patine de Jean-Louis David (il faut vraiment que je vous en parle de celui-là, il est top). Donc déjà, je me suis un peu réconciliée avec la couleur qui me plaît plus comme ça, même si je regrette quand même un peu mon ancien blond plus nuancé. Mais je suis en phase d’acceptation. Le pire en fait, la pilule que j’ai du mal à avaler, c’est que mes cheveux blancs, eux, sont toujours là et toujours aussi visibles. Alors que j’y étais quand même allée pour ça. Donc j’ai l’impression d’y être allée pour rien. Normalement, j’ai minimum un mois de répit avant de devoir refaire mes racines (et déjà je trouve ça court) mais là au bout de deux semaines, c’est retour à la case départ. Et ça, ça m’énerve à un point. Je me dis qu’il va donc falloir que j’y retourne ! Moi qui ne voulais pas toucher à mon blond et juste colorer mes racines pour camoufler mes cheveux blancs, on peut dire que c’est raté…
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mardi 15 avril 2014

Ma cure anti-âge Imedeen à l'épreuve du soleil


Voilà maintenant quatre mois que je suis la cure anti-âge Imedeen ! Quatre mois ! Qui l’eût
cru ? Surtout que ces derniers mois ont été un peu dingues et pour le moins agités. Moi qui
n’ai souvent pas la patience justement de m’engager sur le long terme, j’aurais pu me trouver
plein d’excuses pour laisser tomber. Trop de voyages, trop de délocalisations temporaires,
trop de jetlag. Mais même si moi je ne tiens pas en place, ma cure elle je m’y tiens. C’est
devenu ma petite routine du soir : deux petites gélules Imedeen entre le fromage et le dessert
(en vrai entre le plat principal et les fruits, pas de fromage, trop gras et en dessert le soir les
fruits c’est mieux). Ce qui fait qu’elles en ont vu du pays, ces petites gélules. Je les ai bien
évidemment embarquées avec moi à Cuba. Sachant la dose de soleil que j’allais recevoir là-
bas et l’accélérateur de vieillissement qu’il peut être, je n’allais pas partir sans mon garde du
corps.

Mais ce n’était pas ma seule préoccupation. Je pense que je l’ai déjà dit à plusieurs reprises,
je suis un peu faite bizarrement. Contrairement à la plupart des femmes, ma peau du corps ne
souffre absolument pas en hiver (le visage, c’est différent, lui prend cher). Elle ne devient pas
plus sèche, n’est pas plus déshydratée, elle se porte même comme un charme. A tel point que
mon côté paresseuse en profite souvent pour arrêter de se crémer. Alors que toutes les beauty
addicts se convertissent aux baumes et aux soins anti-froid bien riches pour réparer leur
épiderme en souffrance, moi, il m’arrive de me limiter à une application de lait pour le corps
par semaine (et encore c’est les semaines où je suis motivée). Bon, j’exagère, dernièrement,
j’ai été plus assidue. Mais c’était plus pour finir des produits et libérer ainsi ma salle de
bains que parce que ma peau me le demandait. Surtout que depuis que j’avais commencé ma
cure Imedeen, je ressentais que ma peau allait encore mieux. Mes seules zones sèches (bien
rugueuses même), les coudes, ne l’étaient plus. Dans ces conditions – quand tout va bien
-, difficile de juger tout de même de l’efficacité profonde d’un produit. Comment voir une
véritable amélioration quand il n’y a rien à améliorer ?

Mais paradoxalement, si ma peau ne souffre pas en hiver, l’été c’est une autre histoire. C’est
comme si ma peau ne supportait pas d’être bronzée (alors que moi j’adore ça). Je n’avais pas
remarqué ça plus jeune mais depuis quelques années, dès qu’elle bronze, ma peau devient
extra sèche. Est-ce que c’est dû à l’âge ? En tout cas, je n’y coupe pas : chez moi, peau
caramel rime avec peau de crocodile. Et plus je suis hâlée, plus elle est sèche. Limite, je pèle.
Evidemment, ça m’horripile. Là, tu vas me dire : « mais si tu pèles, c’est que tu as bronzé
de façon inconsciente et que t’as pris des coups de soleil, protège-toi mieux et le problème
sera résolu ». Mais ça n’a rien à voir. Celles qui me connaissent bien le savent, je suis hyper
responsable quand il s’agit du soleil. Du genre à mettre de l’écran solaire en ville sur le visage
dès qu’il fait beau. Là pour Cuba, je suis par exemple partie avec un SPF 50. Certes, ça veut
dire que je bronze moins que ce que je pourrais mais ce n’est grave. Ca veut aussi dire que
je vieillis moins. J’ai ainsi l’air d’avoir 10 ans de moins que certaines de mes copines accro
au soleil. J’adore. Bon, comme je ne suis pas infaillible, je prends oui parfois des coups de
soleil. Mais sur des zones localisées, qui ne voient pas forcément les rayons du soleil en temps
normal, rarement sur le visage et surtout sur le haut du corps. Or c’est sur le visage et les
jambes en général que mes problèmes de sécheresse se manifestent le plus. Sur les jambes
surtout, c’est là que ma peau de croco devient vraiment critique, limite parcheminée.

Dans mes jeunes années, je me souviens que je ne terminais jamais mes après-soleil corps.
Là, je vide le tube assez rapidement. Si je pars un mois, j’en vide même deux. Pour limiter
les dégâts et la mocheté du truc, je dois me crémer matin et soir (forcément ça descend vite).
Parfois, quand je suis vraiment hâlée, il faut même que j’hydrate mes jambes trois fois par
jour pour réussir à ne plus avoir cet aspect desséché et parcheminé. Je me tartine le matin,
après la douche post plage et le soir avant d’aller me coucher. Sans compter la crème solaire
qui est déjà hydratante et les huiles sublimantes ou soins pailletés dont je m’enduis parfois
avant de sortir le soir. Mais c’est un peu Sisyphe et son rocher : j’ai beau crémer et gommer
pour améliorer la situation, il faut recommencer le lendemain. Voire quelques heures plus
tard quand la situation est vraiment critique. La peau marbrée continue à revenir. Une lourde
routine que je dois tenir tant que je suis bronzée, même lorsque l’exposition au soleil est
terminée. Après être rentrée de vacances, je dois continuer un temps à vider les tubes de soins
pour le corps. Moi qui adore être bronzée car ma peau est quand même plus belle en caramel
qu’en blanc bidet, c’est frustrant. Car si je n’en prends pas soin avec vigilance, elle n’est plus
du tout belle justement. Difficile de profiter de son bronzage comme ça.


Alors évidemment, une fois à Cuba, quand ma peau a commencé à dorer petit à petit, j’ai
commencé à craindre le retour de la peau de croco. J’étais mal d’ailleurs car pour alléger ma
valise, je n’étais partie qu’avec un seul flacon d’après-soleil qui s’était révélé pas forcément
très très plein. Si je virais croco, je n’avais pas de quoi lutter. Bien évidemment, ça ne m’a pas
empêché de profiter du soleil (trop bon pour s’en priver). Tant pis, je me disais que je finirais
en utilisant mon après-soleil visage sur le corps. Mais finalement, je n’en ai pas eu besoin.
Après deux jours de plage et une peau qui s’était bien caramélisée, j’ai réalisé qu’elle n’était
pas du tout sèche. Une seule application d’après-soleil après la douche post plage suffisait
en fait. Waouh. Là, je me suis interrogée et je me suis demandée si ce n’était pas l’effet
Imedeen. Mieux nourrie de l’intérieur, ma peau ne se dessèche plus autant de l’extérieur.
Depuis que je suis rentrée, je constate encore cette amélioration. Certes, ma peau est plus
sèche que d’habitude et nécessite d’être crémée (presque quotidiennement) mais je ne suis pas
confrontée à l’aspect parcheminé que m’ont valu tous mes derniers trips au soleil. Je ne pèle
pas (je me dis donc que je vais garder mon bronzage plus longtemps, yeah).

Sur le visage aussi, ça va mieux. Pas besoin de continuer l’après-soleil après mon retour
comme d’habitude. J’ai repris ma routine classique, ma peau demandant au contraire des
soins moins riches. En revanche, pour ce qui est de l’effet bonne mine de la cure, difficile
de juger. Oui, j’ai bonne mine et j’ai reçu des compliments depuis mon retour, mais c’est
parce que j’ai bronzé. Il faudra attendre que le hâle s’estompe un peu pour voir s’il y a eu
un effet sur ma grise mine. Mais je suis contente en tout cas. Mine de rien, ce problème de
sécheresse de la peau post soleil me minait justement. Je ne suis pas une obsédée du bronzage
mais j’aime tout de même avoir la peau hâlée. Moi qui me trouve toujours le teint gris, j’ai
alors enfin bonne mine. L’accro au fond de teint que je suis en profite même pour alléger
sa routine teint, car je n’ai enfin plus besoin de cache-misère. Et puis sur le corps, une peau
hâlée juste ce qu’il faut c’est tellement joli. Sans compter que ça efface les défauts. On voit
moins les petites cicatrices sur les jambes (mon gros problème), la petite peau d’orange. Et
puis moi qui adore les robes, je me sens quand même mieux dedans, avec plus d’assurance,
quand j’ai la gambette dorée et pas blanchâtre. Finalement, moi bronzée, c’est moi en mieux.
Enfin, théoriquement. Car cette peau de croco venait gâcher tout ça. Cette fois, je peux enfin
en profiter sans mauvais effet secondaire.

En partenariat avec Buzzparadise.



Et n'oubliez pas que vous pouvez toujours tenter de gagner un parfum Hugo Boss et une rencontre avec Olivier Giroud sur le blog ou sur mon Instagram.
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lundi 14 avril 2014

Gagnez une rencontre avec Olivier Giroud et un parfum Boss Bottled d'Hugo Boss

 Bon, les filles, je vous l'annonce tout de go. Je suis grave jalouse de vous. On m'a en effet proposé de vous faire gagner une rencontre avec Olivier Giroud, The beau gosse de l'équipe de France de football. Certes, j'aime les beaux gosses mais je suis surtout une grande fan de foot depuis très longtemps. Tu penses bien que je rêverais d'être à votre place. Ouh la la, j'en sens déjà qui trépignent également devant leur ordi donc je vous explique.


Olivier Giroud est le nouveau visage du parfum Boss Bottled d'Hugo Boss (très bon choix je dois dire) et Olivier Giroud sera justement en France cette semaine pour rencontrer ses fans à l'occasion du lancement du parfum au Marionnaud des Champs-Elysées le 17 avril, de 19h à 20 h. Et Hugo Boss a eu la très bonne idée de me proposer de vous faire gagner une rencontre avec le footballeur. J'ai dis oui, bien évidemment.

En fait, c'est simple, je vous propose de gagner un flacon du parfum Boss Bottled que vous pourrez vous faire dédicacer en rencontrant Olivier Giroud au Marionnaud des Champs-Elysées le jeudi 17 avril. Vous ne serez pas avec les autres fans mais dans un groupe à part avec accès à Olivier Giroud direct.Si vous ne pouvez pas venir ce jour-là (quel dommage), vous pourrez vous faire envoyer le flacon. Que vous pouvez faire dédicacer à vous, à votre homme ou votre papa. Pour participer, c'est simple, laissez-moi un commentaire avec votre mail. Vous avez jusque mercredi midi pour participer, j'annoncerai le nom de la gagnante le soir et la contacterai dans la foulée par mail.

Comme il y a peu de jours pour participer, je fais un deuxième volet du concours sur mon Instagram, si vous me suivez et que vous commentez, cette participation sera aussi prise en compte (en gros si vous participez ici et sur IG vous avez deux chances de plus de gagner).

Good luck !
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jeudi 10 avril 2014

Une blogueuse mode à Cuba : les journées de la jupe


Serait-ce en train de changer de bord ? De passer du côté obscur (c’est-à-dire mode) de la force ? Ce n’est un scoop pour personne, j’adore les vêtements, j’adore la mode. Et en ce moment, je l’avoue, je prends beaucoup plus de plaisir à m’habiller qu’à me maquiller. J’ai toujours aimé les fringues mais je vouais tout autant un culte au maquillage. Depuis quelques temps, j’ai comme l’impression que la balance commence à pencher plus d’un côté. Et pas du bon pour la blogueuse beauté que je suis. A force de ne plus choisir le maquillage du jour selon mes envies mais selon les reviews de nouveautés à faire pour le blog - même quand ces nouveautés ne sont pas dans des couleurs que j’apprécie en général -, je ressens parfois un côté contraignant et je crois que c’est pour ça que j’ai fait un petit rejet (même si je continue à être aux anges à chaque nouveau fard bleu). Alors qu’à l’opposé, je ne m’habille que pour moi. Je n’ai pas de comptes à rendre. C’est cette liberté qui fait pencher la balance.


Pour mon voyage à Cuba, j’ai ainsi fait ma trousse de maquillage en 5 minutes. Deux fards dorés, quelques crayons waterproof, un fard bleu quand même mais que je n’ai jamais porté en fait… et j étais bonne. Alors que j’ai choisi chacune de mes 16 tenues avec beaucoup d’attention. Oui 16 tenues - voire plus - pour 16 jours. J’aime bien avoir le choix (même si je le regrette parfois quand je dois porter ma valise géante dans des escaliers qui n’en finissent pas). J’aime être bien habillée (selon mes critères, pas selon la tendance du moment). Même à l’autre bout du monde, même si tout le monde s’en fout, même si je détonne parfois un peu parce que ben la robe Castelbajac avec des nuages ça fait pas très couleur locale. Je m’en fous, je le fais pour moi pas pour les autres (même si, par paresse, je suis aussi capable de mettre un t-shirt qui ne va clairement pas avec une jupe ou de sortir en mode clocharde, parce que bon, c’est pas non plus le drame). Cet amour des vêtements transformera-t-il la blogueuse que je suis en blogueuse mode ? Non.

Je ne suis pas assez tendance. Je n’ai pas non plus leur talent pour poser. Et je n’ai pas le bon vocabulaire. Quand pendant les vacances, So m’a proposé de faire ma BM un jour où je me baladais en robe longue et chapeau de paille, je n’ai pas compris. Pour moi, une BM c’est une voiture. J’aurais donc pu répondre vroum vroum mais étant toutefois un peu perplexe, j’ai juste dit « hein » (je n’ai même pas la classe et le raffinement de la blogueuse mode). J’ai donc eu droit à un petit décryptage BM = Blogueuse Mode (je ne suis décidément pas du tout 2.0). Finalement, l’idée a germé petit à petit dans nos deux ciboulots surchauffés par le soleil. Effectivement, ça pouvait être sympa de faire des photos de looks dans ces superbes décors. Sophie est donc devenue ma photographe officielle et j’ai joué les blogueuses mode à chaque fois que le décor en valait la chandelle. J’ai posé avec ma robe longue (photos absolument pas montrables même si très fun), dans ma tenue de randonneuse, avec mon mini short en jean et dans mes innombrables robes et jupettes. En vrai, je ne le faisais absolument pas pour les poster ici. Parce que vous le savez, moins je montre ma tête mieux je me porte. Et puis je n’ai vraiment pas le sens de la pose BM. Elles savent vraiment se mettre en scène, ça demande un sérieux que je n’ai pas (moi à la place, je pose en train de me faire rouler dessus par un char ou d’embrasser le Che, pas très BM tu en conviendras). On n’était donc pas du tout dans l’esprit photo pro hyper léchée. On voulait juste faire des photos de vacances fun.

Le regard au loin, ça fait BM non ?

 Et puis finalement, on en a fait quelques-unes de sympa. Certaines qu’on gardera pour nous et puis ces quatre là plus « montrables ». Pour la première tenue, j’ai pu remettre avec joie cette jolie jupe imprimée turquoise, blanche et bleue achetée il y a longtemps chez Pull & Bear mais laissée de côté parce que je ne rentrais plus dedans. Je l’ai associée avec un débardeur d’un très beau vert issu de la gamme thermique d’Uniqlo (tu sais cette gamme censée te tenir chaud l’hiver et te rafraîchir l’été). J’aime bien les hauts de cette gamme parce qu’ils sont assez longs donc en hiver, ils rentrent bien dans ton pantalon et ne sont pas tout le temps en train de remonter, laissant ton dos découvert et toi en proie au courant d’air. A la base, j’avais acheté ce top pour le glisser sous une blouse verte transparente. Mais avec cette jupe, il marche bien seul. Et j’aime bien l’association de couleurs, ce ne sont pas exactement les mêmes teintes, mais je trouve que ce mélange de bleus/vert marche bien et ça va en plus avec mon maillot de bain turquoise. Bon, le tissu du t-shirt a tout de même tendance à pelucher au fil des lavages (bizarrement juste sur ce débardeur, pas sur les autres hauts achetés dans la même gamme). En accessoires, j’ai fait dans la simplicité : mes Wayfarer de Ray-Ban, un très joli sac de plage Zecabas « Baigneuse» illustré par Sophie Griotto et des sandales H&M achetées l’année dernière et qui n’ont pas survécu au voyage. Et puis il y a mon superbe panama Borsalino. Qui n'est en fait pas fait en paille. A la base, le panama ne désigne pas une forme de chapeau mais la matière avec laquelle il est fait : des feuilles de palme qui fait que tu peux plier ton chapeau dans tous les sens, il reprendra toujours sa forme originale. Je ne sais pas si celui-ci est un vrai-vrai mais en tout cas, il est fin et souple et j'ai beau lui avoir fait vivre l'enfer, il a toujours repris forme humaine.

Sinon, le regard au sol, ça marche aussi

Pour la deuxième tenue, on est un peu moins plage et plus ville. Cette fois, j’ai associé une jolie jupe noire à fleurs trouvée chez H&M une semaine avant de partir (dont je suis absolument fan) avec un vieux débardeur blanc Pull & Bear (ou Berksha ?). J’ai craqué sur lui parce que je trouve qu’avec ses petits dessins de bonnes femmes, il fait très Lanvin. Le petit détail que j’aime encore plus (et qui fait lui aussi très Alber Elbaz) : certains vêtements des deux petites femmes sont en relief, ils sont faits en tissu de dentelle cousu sur le coton du t-shirt. J’aime. En accessoire, on retrouve mes Ray Ban, mes sandales (ruinées) et un sac noir H&M que je maudis de tout mon cœur. Cette grosse merde (excusez mon langage) avait une double fermeture qui m’a donné du fil à retordre tout le séjour, alors qu’il était neuf. Dès la première utilisation, il ne fermait plus. Quand j’arrivais enfin à le fermer, la fermeture restait coincée et donc il ne s’ouvrait plus ou au contraire s’ouvrait en deux. J’ai passé deux semaines à tirer dans tous les sens. Parfois, de dépit et d’énervement, je le laissais ouvert. Ou j’y attachais mon foulard tête de mort Primark pour le fermer un peu. Foulard non seulement beau mais pratique. Il est tellement grand qu’il me servait d’étole pour couvrir mes épaules quand il commençait à faire froid.

Et voilà pour ces deux petits looks cubains. Bon, clairement, on oublie la possible reconversion (j’ai beau essayer mais j’arrive pas à mettre les pieds en dedans, la pose BM officielle). Et le coup de se prendre 50 fois dans tous les angles, sans oublier les gros plans sur les accessoires toussa toussa, j’ai encore du mal aussi. Deux, c’est un max. Après je ne sais plus quoi faire, où regarder, où mettre mes bras, mes jambes, ma tête. Et les gens aussi commencent à te regarder bizarrement. J’admire les blogueuses qui se prennent en photo dans des rues pleines de monde en posant, je n’y arriverais jamais, j’aurais trop honte. C’est un métier !


Première tenue
Chapeau panama Borsalino
Lunettes de soleil Wayfarer de Ray Ban
T-Shirt vert Uniqlo
Jupe imprimée Pull&Bear (ancienne collection)
Sandales H&M (ancienne collection)
Sac Baigneuse Sophie Griotto ZeCabas

Deuxième tenue
Top blanc Pull&Bear (ancienne collection)
Jupe noire imprimés fleurs H&M (collection actuelle)
Sandales H&M (ancienne collection)
Sac H&M (collection actuelle mais à jeter)
Foulard Primark (ancienne collection)

Et en décor, nous avons une jolie rue de Trinidad et une vieille américaine des années 50 si typique de Cuba et le petit train (ancien train à vapeur) conduisant au Valle de los Ingenios, la vallée des moulins classée Patrimoin de l'Humanité par l'UNESCO.
Photographe : Sophie Richardson Leibovitz La Chapelle 
Témoin impuissant qui a dû supporter nos excentricités pendant deux semaines : Le
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samedi 5 avril 2014

La semaine de la Beauty Paresseuse sur Instagram #35


J’ai passé la semaine scotchée à mon ordinateur pour essayer de boucler tout le boulot que j’ai à faire avant le départ pour New York (mais c’est pas gagné, j’ai totalement l’esprit ailleurs et mon cerveau marche à deux à l’heure, je mets une plombe pour aligner deux phrases alors des articles entiers !). Ainsi confinée, je n’ai forcément pas vu grand-chose qui m’ait inspiré et que j’ai eu envie de partager avec vous. Ce résumé instagramien de la semaine sera donc très light. 


Même si j’ai manqué de temps, j’ai pris celui de poser du vernis. Impossible de renoncer à la manucure de la semaine, je suis toujours une blogueuse beauté après tout. Enfin, je dis ça, en ce moment, je n’ai qu’une main de peinte (ce qui finalement traduit bien mon statut de blogueuse par intermittence). Bref, le week-end dernier, je faisais honneur à ce très beau jaune pastel de Marionnaud dont je te parlais justement en début de semaine.


C'est aussi le week-end dernier que j'ai dû aller faire un tour dans un magasin de jouets (l'enfer sur terre quoi) à la recherche du cadeau idéal. Et là, c'est à moi que j'ai failli faire un cadeau car j'ai totalement craqué pour ce réveil Darth Vader, ou Dark Vador en français. Bon, n'ayant plus l'âge, je me suis retenue de faire chauffer la carte bleue mais il a quand même la classe.


Encore la semaine dernière (décidément, ce résumé Instagramien est en total décalage dans le temps), j'ai craqué pour le look fifties des deux superbes filles du duo musical The Buns rencontrées à une soirée Make Up For Ever. Ne sont-elles pas magnifiques ? J'adorerais pouvoir réussir à faire des coiffures comme ça. J'adore, j'adore.


 Sinon, j'ai retrouvé avec plaisir Paris et les jolies choses que la ville nous réserve à chaque coin de rue comme ce street art près de Beaubourg et du Centre Pompidou. Je regrette juste de n'avoir pas pu me balader plus cette semaine alors qu'il faisait un temps superbe. Tellement pas le temps. Arf, tristesse. Paris est tellement agréable sous le soleil.


Enfin, si je suis heureuse d'avoir retrouvé Paris, je suis encore plus heureuse (et excitée de la quitter). Dans une semaine, direction New York. En attendant, au lieu de travailler, je prépare mon voyage en notant les bons plans et bonnes adresses glanées sur les blogs dans ce petit calepin. Un Carnet de Tous les jours "Une semaine à Paris" transformé en 10 jours à New York. Yeah !

A samedi pour un nouveau résumé Instagramien. Et si vous voulez me suivre en direct, c'est par ici :
Facebook : Journal d'une Beauty Paresseuse
Instagram : LABEAUTYPARESSEUSE   
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mardi 1 avril 2014

Yellow is the new chic : le joli vernis jaune pastel de Marionnaud


Ca faisait une éternité qu’on n’avait pas parlé vernis par ici. Je n’avais pourtant pas renoncé aux manucures, je ne trouvais juste pas le temps de les prendre en photo, ou pas la bonne lumière, ou l’appareil était porté disparu ou quand les conditions étaient enfin réunies, la manucure ne ressemblait plus à rien (puisque j’avais aussi perdu mes top coat). Au début, d’ailleurs, je faisais ma blogueuse pleine de culpabilité et entêtée. J’y croyais que j’allais le prendre en photo ce foutu vernis, donc je reposais le même encore et encore. Mais toujours pas de clic clac. Sauf que poser trois fois de suite le même vernis, c’est trop pour la nailista que je suis. Mes ongles étaient au bord de la crise de nerfs, rêvant de nouveaux horizons. Finalement, j’ai jeté l’éponge et toute motivation pour tenter de capturer ma manucure et me suis de nouveau vautrée dans le plaisir d’alterner les couleurs. Et puisque je savais que je n’allais pas photographier mes ongles, j’ai même pris le temps de redécouvrir d’anciens vernis, faisant un break du test incessant de nouveautés. 


Mais testeuse en folie un jour, testeuse en folie toujours. Depuis mon retour de vacances, le goût de découvrir des nouveautés et de les immortaliser m’est revenu. D’avoir passé plus de deux semaines au soleil m’a donné envie de plonger dans l’été, ou du moins le printemps, en adoptant enfin les derniers lancements maquillage. Autant, avant de partir, alors qu’il faisait toujours froid, j’avais du mal à me projeter dans la belle saison et à utiliser les collections printemps 2014, autant à mon retour, je me suis jetée dessus. J’ai même commencé à lorgner sur celles de l’été. Il faut dire que les teintes proposées sont parfaites pour mettre en valeur ma peau hâlée et j’ai envie d’en profiter. Ca me met totalement de bonne humeur et me fait oublier qu’en fait l’été est encore loin.


Pour ma première manucure de « rentrée », j’avais envie d’une teinte estivale. Je suis bronzée autant en profiter et jouer le jeu à fond. Ma première pensée a bien évidemment été : « du flashy, du flashy » ! J’allais me diriger vers un des vernis de la superbe collection Brazil d’OPI que j’ai envie d’afficher à mes doigts depuis que je l’ai découverte. Mais en même temps, je voulais quelque chose de plus original que mes classiques roses Barbie ou corails. Je me suis alors dit : pourquoi pas le jaune ? C’était le moment ou jamais de le tester. Et puis finalement, j’ai pris peur. Pour fin mars, un jaune flashy, c’était peut-être too much. Oui, dans ma tête ou sur ma peau, c’est l’été. Mais en vrai, pour les autres, pas vraiment. J’ai donc mis de l’eau dans mon vin. Je n’ai pas renoncé au jaune mais j’ai opté pour une version pastel, le vernis 44 Follement Citronnade de la collection printemps-été de Marionnaud. C’est aussi une nouveauté mais plus « convenable » pour cette période de l’année.


Ah, le vernis jaune ! On essaie de nous le faire adopter depuis quelques années. C’est Chanel qui avait lancé le mouvement avec son Mimosa et depuis, dès que les beaux jours reviennent, cette teinte fleurit de nouveau par-ci par-là. Pas forcément pour notre plus grand bonheur. Car si le jaune sur les ongles est joli en théorie, en vrai, cette couleur ne va pas à grand monde. Et une manucure jaune, ça casse bien plus souvent que ça ne passe. A la limite, en vacances, au soleil, sur la plage, pourquoi pas, mais ailleurs, mouais. Et puis surtout, c’est quand même une couleur qui n’est pas hyper chic. Sympa, oui, peut-être, mais élégante et féminine, on repassera. Même si j’ai une addiction pour les teintes flashy, je n’ai ainsi jamais vraiment succombé au jaune. Le blog en est la preuve puisqu’en quatre ans de manucure, je n’ai dû vous en montrer qu’une seule de cette couleur. Je n’ai d’ailleurs jamais remis ledit vernis, je l’ai donné à une copine. Et puis là, influencée par ces jolies nouveautés reçues, j’ai eu envie de m’y mettre. Et je ne regrette pas.


Je ne sais pas si je succomberais à la version flashy d’OPI mais j’adore cette déclinaison pastel de Marionnaud. A mon grand étonnement, j’ai même eu un gros crush pour elle dès que je l’ai posée. Au début, je voulais juste faire une expérience, choisir une couleur qui donnerait l’impression que je suis encore plus bronzée. Et finalement, je suis totalement séduite. J’adore ce jaune doux, il est superbe. La marque indique qu’il est marié à du blanc pour l’adoucir. Très bonne idée, ça le rend beaucoup plus facile à porter (plus facile à porter aussi qu’un blanc pur). La teinte est ensoleillée et estivale mais comme elle est claire, elle reste chic je trouve. En plus, elle rehausse effectivement mon bronzage. Alors est-ce qu’elle me va si bien justement parce que j’ai la peau bronzée ? Aurais-je eu le même coup de cœur sur ma peau blanchâtre naturelle ? Je ne sais pas, honnêtement, mais je ne me pose pas la question. Je profite juste de cette belle couleur et de mon joli hâle.


Côté technique, le vernis est assez liquide, ce qui demande un peu d’attention, pour ne pas en mettre partout et pour bien l’appliquer. Il faut ainsi éviter de repasser avec le pinceau au même endroit sinon ça enlève l’uniformité du résultat. Je me suis fait avoir la première fois donc j’ai posé trois couches pour avoir une opacité uniforme. En sachant cela, la seconde fois, j’ai mieux maîtrisé mon geste et deux couches seulement ont suffi cette fois. Pour ce qui est de la tenue, il tient 3 à 4 jours sans top coat. Ca va, ça reste raisonnable pour un vernis à petit prix (5 €). Surtout qu’on peut sûrement booster cette tenue avec un top coat justement. « Techniquement », il a donc quelques petits points faibles. Mais vraiment c’est pour chipoter.  Rien à signaler de rédhibitoire, ce n’est pas un vernis prise de tête comme on peut en trouver. De toute façon, sa super couleur fait passer tous ces petits détails au second plan. D’ailleurs, je ne suis pas la seule à penser ça. Alors qu’en général, un vernis jaune nous donne droit à des regards horrifiés, celui-ci m’a valu des compliments. Surtout, on m’a dit que j’avais l’air plus bronzée avec. Je surlike, tu penses bien.
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