mercredi 26 novembre 2014

A la recherche du meilleur burger végétarien de Paris


Oui, lectriçounette, tu as bien lu. Aujourd’hui, on ne va pas parler beauté mais food. Si j’essaie de reprendre en main le blog depuis quelques temps en étant plus présente, j’ai aussi envie de le faire évoluer. Ca restera avant tout un blog beauté hein, mais comme mon boulot quotidien c’est déjà d’écrire sur ce domaine, parfois j’ai envie de m’évader un peu en parlant d’autre chose que de rouges à lèvres. Tu vas me dire, je le faisais déjà avant avec des articles sur la mode, sur mes voyages ou des photos de mes looks. C’est vrai. Je ne me suis jamais empêchée de partager avec vous mes coups de cœur, quelle qu’en soit leur thématique. Disons que j’ai peut-être envie de le faire plus souvent, avec des rendez-vous réguliers. Mais on parlera de cette réflexion plus tard. Aujourd’hui, rentrons directement au cœur du sujet avec un article food. Un thème qui doit bien faire rire les copines. Car vois-tu, je suis très chiante en ce qui concerne la nourriture. Je n’aime pas grand-chose. En plus, je ne mange ni viande, ni poisson (sans apprécier plus que ça les légumes ou tout autre solution de remplacement).  Bref, je ne suis pas un cadeau et m’inviter à manger ou aller au resto avec moi, je le sais, peut être une plaie. 


N’empêche, dernièrement, j’ai fait des efforts (si, si). Parce que j’avais envie de découvrir de nouvelles choses. C’est quand même dommage de s’empêcher de tester de nouveaux lieux dans une ville où les ouvertures de restos sont légion. Et justement, l’une des tendances du moment à Paris (et ailleurs), ce sont les burgers. Impossible d’y couper ! Pendant longtemps, j’ai regardé cette mode de loin, forcément, vu que je ne mange pas de viande, difficile d’y goûter. Mais, bonne nouvelle, les restos les plus pointus se sont mis aux hamburgers végétariens. Résultat, moi aussi j’ai pu céder à la burger mania. Me voilà donc à écumer Paris et à manger des burgers. A la base, je n’avais pas l’intention de vous faire d’article dessus (d’où le manque de photos). Faire des critiques de restos, c’est tellement pas moi. Je suis trop spéciale, et donc pas assez connaisseuse, pour me permettre de donner des conseils. Mais, au bout du je ne sais combientième burger végétarien avalé, l’idée a germé. Je ne dirais pas que j’ai développé un palais mais je me dis que j’ai désormais assez de points de comparaisons pour savoir ceux qui sont bons… ou pas. Pourquoi alors ne pas faire un petit guide de bonnes adresses. Cela pourrait peut-être intéresser quelques végétariennes parisiennes ou celles de passage dans la capitale et à la recherche d’un bon resto. Je précise, il ne s’agit toutefois pas de restos végétariens, ils ont juste l’avantage d’avoir un veggie burger au menu. Comme ça tu peux y aller avec des carnivores et chacun trouve son bonheur.


Les félicitations du jury : Le veggie burger du Blend
Depuis environ deux ans, les burgers bars se sont multipliés à Paris. Le BaB, Big Fernand, Mamie Burger, etc… J’avoue, j’ai arrêté de les compter. Je ne participe ainsi pas à cette course qui veut qu’il faut en tester le plus possible. Il faut dire qu’il y en a peu qui proposent des veggie burgers. Ce ne sont tout simplement pas des restos pour moi et je n’y vais pas. A une exception près. En fait, pour moi, il n’y en a plus qu’un qui compte : le Blend Hamburger Gourmet. Ce burger bar s’est fait un nom parce que pour sa viande, il se fournit chez Yves-Marie le Bourdonnec, le boucher star connu pour la qualité de ses produits. On est donc au top niveau ingrédients. Ironiquement, je n’ai pas goûté à ce qui fait la marque de fabrique du Blend. Mais ça ne m’a pas empêché de succomber totalement à leurs petits « sandwichs ». Quand j’y vais, je commande le Tale, un veggie burger composé d’un steak de mozzarella di buffala panée, de tomates séchées, de sauce tomate maison et de feuilles de basilic. Eh bien, il est tout simplement délicieux. J’en ai l’eau à la bouche rien que d’en parler.

Parmi tous les burgers végétariens testés, c’est mon préféré et je vous le recommande sans une hésitation. Il est trop bon. Le pain, la mozza, la sauce : tout est miam. Si vous mangez de la viande, vous pouvez aussi y aller les yeux fermés pour les autres burgers. Le burger est à 10 €, ce qui est très raisonnable vu la qualité du produit. L’accompagnement en revanche est à part (pour 5 €, tu choisis frites, coleslaw ou potatoes). Personnellement, le burger est tellement consistant qu’en général, je partage les frites avec quelqu’un car seule, je ne finis pas tout. Mais bon, ça dépend de votre estomac. J’en connais même qui ont réussi à engloutir deux burgers. Pour ce qui est des desserts : j’ai goûté deux fois les cookies, la première je les ai bien aimé, la deuxième pas du tout (ça dépend des goûts et du goût choisi aussi). En fait, le seul vrai défaut du Blend, c’est que c’est un burger bar. Ce n’est pas un resto mais plus un fast food version chic. Le principe en est « tu manges et tu t’en vas ». Tu ne peux pas te poser pour digérer en papotant car il faut en général laisser rapidement la place pour les clients suivants. Et des clients, il y en a, comme Blend est assez couru. D’ailleurs, il peut y avoir la queue à l’entrée car pas de table libre. Parce que c’est assez petit (et il n’y a pas de réservation je crois). Voilà, c’est le seul point noir. Mais bon, il y a trois adresses. Ca compense. En gros, c’est peut-être mieux d’y aller le midi que le soir. Ou alors prévoyez de vous délocalisez dans un bar après pour vous poser.

Blend Hamburger Gourmet
44 rue d’Argout, Paris 2ème  (quartier Montorgueil)
1 Boulevard des Filles du Calvaire, Paris 3ème (quartier Bastille/Marais)
3 rue Yves Toudic, Paris 10ème (le petit nouveau, quartier République)


Les encouragements : Razowski
Ce resto existe depuis assez longtemps. Ce n’est pas un de ces nouveaux lieux ouverts pour surfer sur la tendance burger. Mais il sert effectivement des hamburgers, et d’autres spécialités typiquement américaines (mais aussi des salades). La première fois que j’y suis allée, c’est parce que sa position centrale (place du marché Saint Honoré) est assez pratique. Mais depuis j’y suis retournée à de nombreuses reprises parce que c’est bon. En fait, quand on cherche un resto central et bon, c’est souvent ce nom qui ressort, quel que soit le groupe de copines. Il a donc sa petite réputation. Après, c’est vrai que je ne juge que sur le burger végétarien. En allant sur le net, j’ai ainsi pu constater que les critiques étaient assez mitigées sur le resto (c’est que les serveurs ne sont pas toujours débrouillards) et les autres plats. N’empêche qu’il est souvent plein. Il faut dire que sa terrasse et sa position centrale (et des prix quand même assez raisonnables pour la place du Marché Saint Honoré, surtout par rapport à d’autres restos à côté) sont de vrais plus.

Quand j’y vais, je commande le Little Italy Burger. Petite particularité, le bun n’est pas un vrai pain à burger mais un muffin. Le steak de viande est lui remplacé par du hash brown (une galette de pommes de terres) et est accompagné de tomate et de mozzarella. Le tout tenu par un grand cure-dent. Je dis grand car le burger est assez haut, ce qui rend sa dégustation un peu compliquée. On est place du Marché Saint Honoré et dans un resto donc pas question de le prendre à la main. Tu le manges avec des couverts. Et attraper toutes les couches en même temps relève du défi. Moi, je n’y arrive jamais donc je finis par le manger par petits bouts. Côté prix, il est à 13 € et l’accompagnement est inclus (tu peux choisir entre frites, hashbrown, salade, etc.). Personnellement, moi, ça me suffit. En général, même, je ne finis pas mon plat et n’ai jamais de place pour le dessert. Mais j’ai un petit estomac. Je mange peu (mais très souvent). Alors, je ne dirais pas que c’est le meilleur burger de Paris (tu ne te lèches pas les babines comme celui du Blend en pensant Miam à chaque bouchée) mais je l’aime bien. Assez en tout cas pour y revenir régulièrement. En revanche, si le resto est plein, je déconseille de se rabattre sur celui juste à côté, à droite, qui sert aussi des burgers. Testé une fois, pas du tout approuvé.

Razowski’s
36 Place du Marché Saint Honoré, Paris 1er
J’ai aussi découvert qu’il y en avait un autre dans le 6ème (avec le même menu) et même à Lyon. Mais je n’y ai jamais mis les pieds.

Et voilà, pour ce premier article food. Comme il est déjà assez long, je vais m’arrêter là pour l’instant. Mais j’ai encore deux burgers végétariens en stock dont je vous reparle bientôt. Enfin, si ça vous intéresse. Vous en pensez quoi : les articles bonnes adresses de resto sur un blog beauté, stop ou encore ?
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dimanche 23 novembre 2014

Coup de coeur pour la Gelée pour le Bain Pomme Glacée de The BodyShop : miam !


L’un de mes plus grands regrets quand j’ai emménagé dans mon appartement il y a fort fort longtemps, c’était de ne pas avoir de baignoire. Maintenant, je m’y suis faite et je crois même que je préfère les douches. D’ailleurs, quand je pars en vacances et qu’il y a une baignoire dans l’hôtel ou l’appart où je vais, je ne prends jamais de bains. Je pourrais, je me dis même à chaque fois « vas-y, profites-en », mais nan, je suis désormais une fille à douche. Moi qui ai longtemps eu la nostalgie de la baignoire (on ne se moque pas), je suis passée à autre chose. En fait, désormais, les seuls moments où je maudis ma douche, c’est quand les marques de cosmétiques sortent de jolis produits pour le bain. Là, je regrette de nouveau de ne pas avoir une baignoire pour pouvoir faire trempette dans une eau dans laquelle j’aurais glissé des sels, un bain moussant ou tout autre produit qui fait des bulles, de la mousse et dégage un parfum gourmand (vous me connaissez, toujours gourmand le parfum). Ainsi, à chaque fois que je reçois un cosmétique pour le bain, c’est toujours la même histoire : mon ooooh d’émerveillement se transforme rapidement en oooooh de dépit. Parce que j’adorerais le tester, mais je ne peux pas. Toute dégoûtée, je finis par les donner à ma sœur pour qu’au moins quelqu’un en profite. Snif.


Et puis la semaine dernière, j’étais invitée à découvrir toutes les nouveautés imaginées pour noël par The BodyShop. Il y a bien évidemment une nouvelle collection de maquillage pour les fêtes (dont je te parlerais après tests) et tout plein de coffrets géniaux aussi (sur lesquels je reviendrais dans un autre article car la marque s’est investie une nouvelle fois dans une très belle opération donc je préfère t’en parler à part, et puis je trouve qu’il est un peu tôt pour parler de cadeaux de noël). L’autre grande nouveauté de la fin d’année, c’est le lancement d’une nouvelle senteur, avec la gamme qui va avec. Depuis plusieurs années, noël chez The BodyShop se fêtait avec les gammes Canneberge et Pain d’Epices. Mais cette année, on dit au revoir au Pain d’Epices et on accueille une nouvelle senteur : Pomme Glacée. Yeah ! Je t’avoue que j’ai craqué immédiatement pour ce nouveau parfum. Evidemment, c’est une question de goût (par exemple, j’adhérais moins à Cranberry et Gingerbread), mais j’en suis totalement fan. L’odeur est très réussie, elle est gourmande, sent bien la pomme et ne fait pas artificielle je trouve. J’étais donc très contente quand on nous a proposé de choisir entre deux produits de la gamme pour pouvoir la tester.


La gamme est notamment composée d’un lait et d’un beurre pour le corps, de sels de bains et d’un baume à lèvres. Moi, j’ai tout de suite jeté mon dévolu sur la Gelée, parce que je trouvais le produit fun et différent. Son petit pot avec sa spatule, sa couleur verte, sa texture si particulière : le tout avait piqué ma curiosité. Et là, la douche froide. On m’a alors expliqué que c’était un produit pour le bain et donc si je n’avais pas de baignoire, il ne me serait pas d’une grande utilité. Tristesse évidemment. On m’a donc proposé d’opter pour le beurre corporel à la place. Sauf qu’à la maison, je ne m’en sors plus avec les crèmes pour le corps ouvertes vu que je mets environ un an à les finir. Et je me suis promis de ne plus en ouvrir de nouvelles tant que je n’ai pas un peu liquidé le stock. Dilemme, dilemme. Puis, je me suis souvenue que j’allais passer le week-end suivant chez ma sœur pour garder mes neveux pendant qu’elle s’offrait un week-end en amoureux. Or ma sœur a une baignoire. Devoir passer deux jours avec ses adorables mais très bruyants/épuisants enfants méritait bien une petite récompense : m’offrir un peu de temps pour moi avec un petit barbotage. Toute contente, j’ai donc finalement bien opté pour la Gelée pour le Bain Pomme Glacée et l’ai tout de suite glissée dans mon sac pour le week-end.


A la base, je m’étais dit que je me ferais mon petit bain relaxant le soir, une fois les enfants couchés. Mais en vrai, j’étais épuisée et je suis partie me coucher comme une vieille. C’est que ça en demande de l’énergie de jouer les arbitres de match de boxe et de passer son temps à séparer les combattants ou de les écouter jouer du piano/de la guitare/tout jouet qui fait de la musique pendant des heures d’affilée (pourquoi les jouets pour enfants sont-ils aussi bruyants ?). Bref, j’étais à deux doigts de renoncer à ce bain à la pomme tant attendu. Et puis, je me suis dit que je méritais bien un petit moment de relaxation, surtout après tout ce stress. Donc le lendemain, après leur avoir interdit tout instrument de musique (nan mais qui joue du piano à 8h du matin !) et après avoir joué un peu avec eux (tout en restant affalée sur le canapé, parce que 8h du matin, ça fait tôt), j’ai décidé de m’accorder un peu de temps pour moi. J’ai fait ma mauvaise mère en leur mettant un dessin animé (oui, je sais, c’est mal) et je me suis fait couler un bon bain. J’en ai évidemment profité pour découvrir ma petite Gelée pour le Bain Pomme Glacée.



Comme son nom l’indique, il s’agit donc d’une gelée. Sa texture est assez particulière (solide, gluante, élastique : façon gelée quoi), et je la trouve très fun. J’en ai pris un petit peu avec le bâtonnet en bois fournit avec le pot, je l’ai versée dans l’eau au niveau du robinet et j’ai ensuite laissé l’eau couler par-dessus. Là, une fine mousse a commencé à se former et surtout la salle de bains s’est mise à embaumer d’un délicieux parfum de pomme. J’ai ensuite fait trempette tranquillement dans le petit cocoon relaxant créé par cette gelée. Je ne suis pas une spécialiste des produits pour le bain vu que je n’en utilise pas souvent, mais je valide celui-ci totalement. Déjà, je suis fan de sa texture différente (et marrante). Il en faut une petite quantité pour produire une mousse sur toute la longueur de la baignoire. La mousse est fine mais c’est ce que je préfère, tu n’es pas envahie comme ça. Elle est tout de même assez consistante, ce qui fait qu’elle tient bien une fois que tu plonges dedans. Certaines mousses se désintègrent dès que t’es dedans et que tu bouges un peu, celle-ci, non. Elle a un peu disparu mais elle a tenu jusqu’au bout. Tout comme son parfum. En fait, c’est surtout lui qui m’a fait craquer. Je l’adore, il sent trop bon. Et puis surtout, il tient. Il sent jusqu'à la fin du bain. Résultat, je suis ressortie de ce petit moment pour moi totalement relaxée et même revigorée, prête à affronter une nouvelle journée avec deux minis démons.

 

 Alors, certes, je sais que je ne réutiliserais pas tout de suite cette gelée, n’ayant toujours pas de baignoire à la maison, mais je ne regrette pas de l’avoir choisie elle. Car je trouve le produit très sympa, différent, relaxant, et puis il sent délicieusement bon (comme le reste de la gamme d’ailleurs).
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mardi 18 novembre 2014

Mixa versus The BodyShop : le match des huiles démaquillantes


Il y a (déjà) deux semaines, je vous faisais un match opposant deux démaquillants pour les yeux. Et je terminais mon article en disant que j’avais un autre billet de ce type sous le coude. Je voulais vous l’écrire la semaine dernière mais le temps m’a une nouvelle fois manqué. Décidément, j’ai beau le vouloir vraiment, reprendre ce blog en main et le remettre sur de bons rails est un chouïa compliqué. Mais on va y arriver, billet après billet. En commençant donc aujourd’hui par un nouveau match beauté, qui va une nouvelle fois opposer deux démaquillants. Mais cette fois, point de démaquillants pour les yeux, on passe à ma méthode chouchou : l’huile of course. En termes de démaquillage, on a toutes des goûts différents mais, vous le savez désormais je pense, de mon côté, je ne jure que par l’huile démaquillante.


Pour moi, c’est clairement la méthode la plus rapide et la plus efficace. Si je lui fais parfois des infidélités (parce que boulot oblige, il faut parfois tester les autres nouveautés), je suis presque toujours déçue et j’y reviens donc toujours rapidement. En plus, j’ai de la chance, c’est une méthode très à la mode en ce moment. Pendant longtemps, c’était un peu compliqué de trouver une huile démaquillante (surtout si on avait un petit budget) mais depuis peu, toutes les marques s’y mettent. Alors même si j’ai aujourd’hui trouvé mon graal (pour moi, la Cleansing Oil de DHC – désormais vendue en exclu chez Parashop – reste the best of the best), je prends tout de même plaisir à découvrir des produits d’autres marques. Parfois, ça fonctionne entre nous (je valide les huiles L’Oréal Paris et Institut Arnaud), parfois ça coince (je n’ai pas du tout aimé celle de Lierac). Dernièrement, j’ai ajouté deux nouvelles cibles à mon tableau de chasse et je me suis dit que ce serait sympa de vous les présenter sous forme de match. Place donc à la rencontre au somment entre l’Huile Démaquillante à Rincer de Mixa et l’Huile Démaquillante Soyeuse Camomille de The BodyShop. Alors certes, ce ne sont pas des nouveautés (elles ont environ un an), mais vous commencez à me connaître, j’aime prendre mon temps.


Huile Démaquillante à Rincer, Mixa
Après L’Oréal Paris, c’est Mixa qui a lancé son huile démaquillante en grandes surfaces. Et pour les accros à cette méthode, c’est bien d’avoir une alternative à petit prix. Parce que jusqu’ici, il fallait souvent se fâcher avec son banquier pour s’y mettre. La démocratisation de l’huile démaquillante est en marche, yeah. Et comme Mixa est une marque grand public et que toutes les femmes ne sont pas des beautystas averties, on a même droit à une petite explication de texte dans le nom du produit. Même si nous on sait comment ça marche, ce n’est pas forcément le cas de madame tout le monde. Bien pensé.

Ce qu’en dit la marque : « L’Huile Démaquillante à Rincer Mixa élimine efficacement les impuretés et le maquillage, même waterproof, sur le visage et les yeux. Aux Huiles de Carthame et de Rose, elle nourrit la peau et la protège du dessèchement. » Elle est en outre sans paraben.

Ce que j’en pense : Je valide totalement. C’est une huile assez fine et très fluide. Donc il n’y a pas de sensation poisseuse (on fait toutefois attention, car ce genre d’huile glisse forcément plus entre les doigts, donc plus de risque de perte de produit). J’en applique une première fois sur peau sèche en la massant d’abord sur le visage, puis sur les yeux. Comme elle est très liquide, j’ai tendance à en mettre pas mal pour que le massage soit plus agréable. Une fois que mon maquillage a commencé à se dissoudre, je rajoute un peu d’eau et là l’huile se transforme en lait. Comme je me maquille beaucoup, en général, il me reste encore des pigments sur le visage, notamment autour des yeux. Je me masse donc une nouvelle fois avec un peu d’huile, mais cette fois sur visage mouillé. Un deuxième passage qui vient parfaitement à bout de tout mon make-up (je précise que ce double passage ne signifie pas que cette huile est moins efficace que d’autres, je le fais avec toutes les huiles que j’utilise, comme je me maquille beaucoup, je me sens plus propre comme ça, c’est donc juste une question de préférences de démaquillage). Je termine enfin en lavant mon visage avec mon nettoyant quotidien. Comme ce démaquillant est à base d’huiles minérales, je préfère faire un double nettoyage (je le fais moins quand j’utilise la DHC formulée, elle, avec des huiles végétales).

Le plus : Elle est efficace et surtout ne pique pas les yeux (ce qui chez moi est quand même assez rare). Gros plus aussi pour son petit prix, autour de 7 €.
Le moins : Pour certaines, le fait que ce sont des huiles minérales et non végétales dans la compo sera un moins. Mais au moins, cette huile ne coûte pas un bras (comme celle de Shu Uemura qui est aussi dans ce cas). Donc ça ne me choque ni ne me dérange. Mon seul mini regret finalement, c’est que comme sa texture est bien liquide, j’en mettais beaucoup et je l’ai terminée plus vite je crois. Snif.



Huile Démaquillante Soyeuse Camomille, The BodyShop
Il y a un an environ, The BodyShop lançait une nouvelle gamme de démaquillants à base de Camomille récoltée de façon équitable en Angleterre. La star de cette gamme, c’est le Beurre Démaquillant, une texture innovante qui a d’ailleurs reçu quelques prix beauté depuis. C’est lui que j’avais dans mon goodie bag. Mais l’addict que je suis a décidé de l’échanger avec l’Huile Démaquillante parce que j’ai été séduite par le fait qu’une huile démaquillante à base d’huiles végétales ne coûte pas trop cher (15 €)

Ce qu’en dit la marque : « La gamme de démaquillants Camomille élimine efficacement tous les types de maquillage, même waterproof ! Doux et soyeux, ces produits contiennent de la Camomille récoltée en Angleterre. Tous les produits sont testés et adaptés aux personnes qui utilisent des lentilles de contact. Parfaits pour tous les types de peau. »


Ce que j’en pense : A posteriori, j’ai regretté d’avoir troqué le si pointu beurre qui a séduit toutes les copines l’ayant testé pour l’huile, plus classique. Mon addiction à cette méthode m’a empêchée de découvrir un nouveau geste de démaquillage sympa. Et ironiquement, je ne peux même pas profiter de cette huile. Parce qu’elle me pique les yeux (double ironie de l’histoire, le reste des copines qui a aussi eu l’huile n’a pas ce problème, je semble être la seule à qui ça arrive, merci mes yeux pourris). Bref, comme elle me pique, je ne peux l’utiliser sur les yeux, je dois donc l’associer à un démaquillant spécifique sur cette zone. Or tu sais que je suis devenue de plus en plus paresseuse ces derniers mois à cause du manque de temps et de la fatigue et que je privilégie désormais les démaquillants tout en un. Voilà pourquoi alors que je l’ai commencée bien avant l’huile Mixa, le flacon est à peine entamé (alors que l’autre est quasi terminé). Ma paresse fait que je l’utilise avec parcimonie, quand j’ai le courage de me démaquiller les yeux à part. Je n’ai pas non plus totalement adhéré à sa texture, que je trouve trop huileuse. Elle est trop grasse pour moi je pense. Ce qui fait que même après avoir nettoyé mon visage, j’ai l’impression de la sentir encore. Sinon, coté efficacité, su le visage, rien à redire (sur les yeux, comme je ne l’ai pas assez utilisée sur cette zone, je ne me prononcerai pas).

Le plus : Enfin une huile démaquillante pas chère à base d’huiles végétales et non minérales.
Le moins : Me pique les yeux. Et sa texture est peut-être un peu épaisse pour moi.

Le Verdict
Vous l’aurez sûrement compris, c’est l’Huile Démaquillante Mixa qui sort grande gagnante de ce match. Logiquement. La pauvre huile The BodyShop a dû jeter l’éponge, mise KO par mes yeux sensibles. Plus je teste des huiles (ou autres démaquillants d’ailleurs), plus je me rends compte que ce n’est pas facile d’en trouver qui ne me piquent pas les yeux. Donc quand c’est le cas, je les apprécie d’autant plus. Après, si vous n’avez pas les yeux sensibles et cherchez une huile démaquillante à base d’huiles végétales qui ne coûte pas un bras (et ça ne court pas les rues), pourquoi ne pas tester l’huile The BodyShop. Ou le beurre, oui, le beurre…. (je suis curieuse maintenant forcément).

Sinon, vous, quelle est votre huile chouchou ?

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mercredi 12 novembre 2014

Top ou flop ? La manucure pailletée avec un vernis Coca-Cola by OPI


J’ai toujours été une testeuse beauté tortue. Je ne suis pas du genre à me jeter sur un produit dès que je l’ai pour l’essayer. Ca m’arrive, évidemment. Mais la plupart du temps, je le mets plutôt précieusement de côté et le garde comme un trésor. Et c’est encore plus vrai dernièrement. Le temps me manque pour me pencher sur toutes les nouveautés du moment. Résultat, alors que tout le monde ne parle plus que des collections de noël, moi je profite encore de celles de l’automne. Ca ne fait pas très blogueuse beauté au taquet tout ça mais tant pis, prendre son temps, c’est bien aussi. Bien sûr, je vais rapidement mettre les collections pour les fêtes au programme, mais je vais aussi continuer à m’intéresser à des produits un peu plus « vieux » (selon le cycle de vie cosmétique). C’est vrai, qui a dit qu’un produit était fini/périmé/out/ringard parce qu’il a été lancé il y a plus de deux mois ?


Aujourd’hui par exemple, je vais vous parler de la collection Coca-Cola by OPI, sortie à la rentrée. Quand j’ai appris il y a quelques mois qu’OPI s’associait à Coca-Cola pour lancer une collection de vernis inspirée par la célèbre boisson, j’étais perplexe. Quelle collaboration incongrue. Même si j’adore OPI, j’étais déjà prête à trouver cette collection ratée. Mais c’était sans compter sur le savoir-faire de la marque pour créer de jolies couleurs. Ainsi, dès que j’ai vu la collection en vrai, j’ai totalement retourné ma veste. Comment avais-je pu critiquer cette collaboration ? Femme de peu de foi que je suis. Bref en un coup d’œil, j’ai craqué pour les couleurs des vernis. Je suis ainsi passée de dubitative tendance critique à fan. Je pense que vous le savez désormais, la collection est composée de neuf couleurs inspirées des célèbres boissons de l’entreprise Coca-Cola. On a donc des teintes évoquant les différents goûts du Coca – Classique, Light, Zéro, Cerise, Vanille – mais aussi du Sprite et du Fanta. Bon, si j’aime la collection dans son ensemble, je ne suis pas totalement emballée par toutes les teintes. Elles sont toutes réussies mais certaines me plaisent moins (question de goûts et de couleurs, normal).

Au soleil

Mais il y en a aussi une qui m’a particulièrement tapée dans l’œil. Today I Accomplished Zero, la teinte inspirée par le Coca-Cola Zero, m’a tout de suite tiré un « waouh » quand je l’ai vue dans son petit flacon. Si ce vernis attire l’œil, c’est que sa teinte est brillante et intrigue. Il s’agit d’un noir constellé de paillettes rouges. Au premier coup d’œil au flacon, il m’a rappelé un Sand Effect de la première collection Mariah Carey. Dans le flacon, ils ont l’air identiques. Sauf que celui-ci n’est pas un effet sable. Ca tombe bien car si j’adorais la couleur du Mariah Carey, je n’accrochais pas à son fini sablé. J’attendais donc beaucoup de ce faux dupe. Et j’avoue (peut-être pour ça) avoir été un peu déçue. En fait, même s’il n’est pas sablé, je n’ai quand même pas totalement adhéré à sa texture. C’est une texture à la fois jelly et épaisse. Si tu n’en mets pas assez, tu as un fini transparent. Il faut donc s’appliquer pour avoir une opacité parfaite et uniforme en deux couches. Mais attention à ne pas faire non plus des couches trop épaisses. Parce que là, je trouve que l’épaisseur se voit. Il y a même presque un petit effet texture. En fait, son fini n’est pas tout à fait lisse. Alors, oui, ça se voit à peine (sauf si tu mets le nez dedans, d’où les cadrages serrés de certaines photos, même si c’est moche, je voulais que tu comprennes ce que je veux dire). N’empêche ça m’a dérangé.

Lumière naturelle

Peut-être parce que ça va de pair avec un manque de brillance. Résultat, quand je le mets, j’applique plusieurs couches de top coat : pour booster la brillance mais aussi tenter d’avoir un aspect plus lisse. Là, sur les photos, tu dois avoir deux ou trois couches de top coat, je ne me souviens plus. Alors peut-être que le problème pourrait être réglé en n’appliquant qu’une seule couche mais bien épaisse ? J’avoue que, n’étant pas douée, je n’ai jamais réussi à avoir une opacité complète sur tous les doigts en une couche. C’est peut-être faisable mais pas quand on a deux mains gauches comme moi. Bref, ce vernis demande quand même de la concentration à l’application et un peu plus de boulot qu’un vernis classique. Forcément, la paresseuse que je suis tique. Surtout que la tenue est bien inférieure à du OPI classique. Le deuxième jour, j’avais déjà un éclat. Et ce n’était pas un accident, un truc exceptionnel. Ca n’a en effet pas été le seul. Et à chaque fois, j’ai eu beau refaire l’ongle pour récupérer une manucure clean, hop, rapidement, un nouvel éclat apparaissait. Je pense que sa texture le rend fragile.

Flash, en intérieur
Flash, en extérieur

Le pire, c’est qu’une fois posée, sa couleur m’a moins emballée que dans le flacon. Elle est moins waouh. Je m’attendais à quelque chose de plus étincelant. Ca peut paraître bizarre mais je le trouve somme toute discret. J’aime le principe des paillettes rouges sur du noir mais là elles ne se détachent pas assez. Bref, je suis mitigée. Et j’ai finalement fini par me dire que pour avoir une manucure dans le même style, j’aurais peut-être un résultat plus waouh en utilisant un simple vernis noir en base sur lequel je viendrais appliquer des sparkles rouges. Et je gagnerais en plus en tenue, car j’ai remarqué que rajouter un top coat à paillettes sur une laque classique prolongeait sa tenue. Ca pourrait être pas mal pour une manucure de fêtes (comme quoi, je ne suis pas totalement dans le déni et je commence à me mettre dans l’esprit de noël).

Et toi, tu as craqué pour la collection Coca-Cola ? Tu en as pensé quoi ?

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mardi 11 novembre 2014

Je garde, je jette ? Le bilan beauté d'octobre 2014


Bon, il faut vraiment que je reprenne ce blog en main en écrivant plus souvent parce que là j’ai l’impression de passer mon temps à écrire des notes sur le bilan cosmétique du mois et, j’avoue, ça commence à me saouler. Alors je n’ose même pas imaginer vous. J’ai envie d’écrire sur autre chose. Mais les mois passent tellement vite et le temps continue à manquer. Tu noteras quand même un petit progrès en octobre et depuis début novembre (en même temps par rapport à septembre où j’ai totalement disparu, ce n’était pas difficile). Donc oui, ça bouge encore par ici et mon but c’est que ça continue à bouger, de plus en plus.


Mais revenons au sujet qui nous intéresse aujourd’hui : le bilan des produits finis pendant le mois. Comme je l’ai mentionné dans mes précédentes notes, en ce moment, je suis assez routinière et utilise presque tous les jours les mêmes produits. Donc ça devrait descendre plus vite dans ma salle de bains ? Même pas. Ce mois-ci, il n’y a encore eu que 7 morts tombés au combat. Mais en même temps, je suis assez fière car désormais, parmi mes victimes, il y a de plus en plus souvent du maquillage. Yeah ! Et, pour lui et pour les autres, comme à chaque fois, la question se pose : ces produits finis, je les garde ou je les jette ? Ou plutôt je rachète ou pas ?


Savon Liquide Verveine, L’Occitane en Provence
NON
Autant j’avais adoré celui au karité (il faut dire que je suis accro au parfum de la gamme karité de la marque), autant celui-là c’était pas possible. Il y a quelques parfums en cosméto que je ne supporte pas : le miel, la rose et le citron. Pour moi, le citron sent le liquide vaisselle. Et je déteste quand mes mains sentent cette odeur. D’ailleurs, après avoir lavé la vaisselle, je file en général immédiatement me laver les mains pour me débarrasser de  cette odeur. Sauf que cette verveine là sent justement le citron, mais genre exactement le même parfum que mon liquide vaisselle. Donc je n’avais pas seulement les mains qui « puaient » après avoir fait la vaisselle mais toute la journée. En fait, à chaque fois que je me lavais les mains avec, j’avais envie de me relaver les mains après pour faire partir le parfum laissé sur ma peau. Après si vous aimez le parfum de la gamme Verveine, vous n’aurez évidemment pas ces problèmes. Moi, je préfère rester fidèle au karité. 


Crème Mains Peaux Sèches Karité, L’Occitane en Provence
OUI
En parlant du loup. Voici justement un produit de la gamme karité, la cultissime crème mains. Alors évidemment, c’est un oui parce que je suis complètement addict au parfum de cette gamme, il sent top trop bon. Mais c’est surtout un oui parce que cette crème mains karité est (avec celles de la marque Natura Brasil à égalité), ma crème mains préférée. J’aime sa texture épaisse et crémeuse (je préfère ce genre de textures aux fluides) mais qui ne colle pas et pénètre rapidement, tout en laissant la peau parfaitement nourrie. Elle ne tiraille plus après, elle est aussi plus souple et plus douce. Il y a une raison au fait que ce soit un produit star, c’est qu’elle est tout simplement top !


BB Capital Soleil SPF 50, Vichy
OUI
Cet été, je vous avais fait un article sur cette BB solaire pour partager mon coup de cœur avec vous. Eh bien, après avoir terminé le tube, je l’apprécie toujours autant. Elle est très pratique quand tu pars dans un pays ensoleillé mais en ville et donc que tu veux te protéger tout en restant maquillée. Je l’avais ainsi emmenée à Cuba et elle avait été parfaite. Pas un seul coup de soleil sur le visage. A noter tout de même, ça reste un solaire. Donc les filtres se dégradent au fil des heures. Tu ne peux pas en mettre uniquement le matin et espérer être protégée toute la journée quand l’ensoleillement est fort. A Cuba, je remettais ainsi de la crème solaire au cours de la journée (ou je remettais une couche de cette BB ou j’utilisais un compact solaire, en fait c’est comme si je faisais une retouche maquillage. Après tout, le fond de teint lui aussi, surtout quand il fait très chaud, a tendance à se faire la malle). J’ai également utilisé cette BB tout l’été à Paris. A noter, là, le problème de couvrance s’est posé. Comme toute BB, elle estompe certes les imperfections mais elle ne les camoufle pas vraiment. Beaucoup moins qu’un fond de teint. Si tu arrives à maîtriser son application, elle offre en effet un résultat maquillage assez naturel. S’il fait beau, ça ne pose pas de problème pour moi puisque ma peau est belle. S’il fait moche, comme cet été à Paris, c’est plus problématique, car ma peau se met alors à ressembler à une calculatrice. En gros, à Paris, je pense que la prochaine fois, j’opterais plutôt pour l’association écran solaire de ville en base + fond de teint. Mais si je repars au soleil à un endroit où je veux continuer à être maquillée, je signe tout de suite pour cette BB. Je terminerai avec un petit mot sur l’application : je sais que certaines filles ont eu du mal à maîtriser sa texture assez épaisse et ne sont pas arrivées à l’appliquer avec un résultat naturel. Même moi, certains jours j’ai un peu bataillé, j’avoue. Mais c’était quand j’en mettais trop d’un coup. Bref, ça demande le coup de main mais c’est faisable.


Soin Eclat Correction Cernes Even Better Eyes, Clinique
OUI
Ce n’est pas la première fois que vous voyez ce soin par ici. C’était lui mon dernier contour des yeux (et c’était déjà oui à l’époque). J’ai donc vidé un deuxième tube, ce qui en dit déjà beaucoup, peu de produits revenant deux fois dans ma routine, étant sans cesse en train de tester des nouveautés. Celui-ci, je lui dis oui pour deux raisons. D’abord pour son efficacité. Pendant longtemps, je n’ai pas eu de cernes colorés. Jusqu’à cette année. Mais pendant que j’utilisais ce contour des yeux, cette couleur rouge/mauve/rosée s’est estompée. J’avais d’ailleurs arrêté d’utiliser un anti-cernes, plus besoin de maquillage. Après le premier tube, je vous avais déjà dit que j’avais vraiment l’impression que c’était efficace. Mais là, ce n’est plus une impression, c’est sûr. Et ça a été encore plus confirmé par le fait que depuis que je ne l’utilise plus, mes cernes colorés sont revenus ! Et donc l’anti-cernes aussi. C’est la première fois que je vois une vraie efficacité dans un contour de l’œil. Autre raison pourquoi je lui dis un grand oui : j’avais déjà eu des petites alertes avant mais c’est aujourd’hui confirmé, il semblerait que je soit hyper sensible du contour de l’œil. Je ne supporte pas beaucoup de soins. A vrai dire, j’ai même l’impression que je ne supporte que les contours des yeux Clinique. Ce n’était pas le cas avant mais peut-être qu’avec l’âge ça a changé. En tout cas, depuis que je l’ai terminé, je lui cherche un remplaçant qui ne provoque pas de réaction chez moi, en vain. J’ai essayé plusieurs marques : des marques qui ne me posaient pas de problèmes avant, des marques de parapharmacie… Mais rien à faire, ça me gratte toujours ou je me retrouve avec les yeux gonflés. Problèmes que je n’avais pas avec celui-là (ou les autres contours des yeux Clinique utilisés avant lui).


Nettoyant Doux Ibuki, Shiseido
OUI et NON
En soi, le produit est très bien. Il laisse la peau bien propre et débarrassée de tout sébum. Mais vraiment de tout. En général, après m’être lavé le visage, il me reste toujours une fine pellicule sur la peau. Je ne sais pas si c’est un reste du produit que je n’arrive pas à rincer ou du sébum. Mais avec ce nettoyant, niet. Ce qui donne une sensation de vraie propreté, sans pour autant assécher ma peau (après, j’ai la peau normale, je ne me prononcerais pas sur son effet sur les autres peaux, notamment les peaux sèches). Pour son action et efficacité, c’est donc un oui. Mais il y a un petit hic qui m’a fait rajouter ce NON. Ce produit est à 30 €, et il descend assez vite. Il demande ainsi un budget. Comme il y a beaucoup d’autres nettoyants moins chers qui font aussi du bon boulot, vu son prix assez élevé, j’ai du mal à lui dire un grand oui. Mais ce nettoyant étant très bien en soi, je ne me voyais pas lui dire non non plus. En résumé, il fait du bon boulot mais ce n’est pas un indispensable donc tu peux aisément faire sans lui, sauf si tu as le budget et que tu aimes la marque.


Miracle Moist Conditioner, Aussie
NON
Je vous en ai parlé la semaine dernière donc je ne vais pas vous faire un roman. Vous savez que ce que je demande à un après-shampooing est qu’il démêle. Eh bien celui-ci n’était pas très bon dans le domaine. Et comme c’est un point non négociable pour moi, il n’a – forcément – pas réussi à me conquérir.


Démaquillant Efface’Cils Douceur, Payot

NON
Pareil, je ne vais pas m’appesantir sur le sujet puisque je vous ai parlé de lui il y a peu. Certes, il démaquille relativement bien. Mais, comme je deviens de plus en plus paresseuse, pour le démaquillage, je préfère un produit tout en un qui fasse visage et yeux. Tu y gagnes un temps considérable.

Et voilà, c’en est fini de ce bilan cosméto du mois. Promis, cette fois j’essaie de vous mettre plus de 2/3 notes entre celui-ci et le prochain. Parce que sinon le blog va devenir vraiment chiant. Oui, tu peux le dire, ça ne me vexera pas. C’est ce que je pense moi aussi.
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mercredi 5 novembre 2014

Payot versus So' Bio Etic : le match des démaquillants yeux biphasés


En grande adepte de l’huile démaquillante, j’avais oublié ce que ça faisait d’utiliser un produit spécifique pour les yeux. Pourtant, à une époque, je ne concevais pas mon nettoyage du soir sans l’utilisation d’un démaquillant pour les yeux. J’ai eu ma phase. Mais ça c’était avant de trouver des huiles bien efficaces pour retirer tous mes maquillages hyper pigmentés du regard  sans me piquer et me brûler les yeux. Sauf que bon, forcément, vu les nombreux tests que je fais, je ne vise parfois pas tout à fait juste. Et il m’arrive encore de tomber sur des démaquillants qui me piquent les yeux. Quand le produit ne me plait pas, je le donne tout de suite à une copine plus tolérante. Mais s’il me plait, je continue à l’utiliser (ok, peut-être moins souvent) et j’adapte mon rituel. Mais cet été, comme j’avais envie de finir mon Baume Soyeux Ixxi qui ne pouvait être utilisé sur la zone du regard, je me suis remise au démaquillant pour les yeux. Et pour rendre ce comeback dans ma routine beauté plus amusant, j’ai décidé d’en tester deux en même temps pour vous faire un match. 


Comment ai-je choisi les deux produits à opposer ? Eh bien absolument pas selon des critères rationnels (genre mêmes promesses, sortis en même temps, nouveautés, etc.). Non, rien de tout cela, cet été je n’avais pas vraiment le temps de me pencher sur de telles considérations. J’ai tout simplement pris les deux premiers qui me sont tombés sous la main. Oui, un choix au pif donc. Bon, ils ont quand même un point commun : ce sont des biphasés, mais sinon… Après, ça n’empêche d’avoir deux vrais tests de démaquillants, ça n’enlève rien à mon avis sur les produits. Alors oui, j’aurais pu en opposer plus de deux, mais le but était juste de m’accompagner jusqu’à ce que je finisse mon tube de baume Ixxi. Je savais qu’après, j’allais retourner à mon huile qui fait tout. Pas la peine donc d’ouvrir tous mes flacons de démaquillants yeux sachant qu’un tel produit ne se conserve que 6 mois une fois ouvert. Je ne m’imaginais pas faire un tel gâchis même au nom de la science bloguesque. Allez, trêve de blabla, place au match. Je vais donc opposer aujourd’hui le Démaquillant Yeux et Lèvres Efface’ Cils Douceur de Payot au Démaquillant Yeux Ultra Doux de So’ Bio Etic.


Démaquillant Yeux et Lèvres Efface’ Cils Douceur, Payot
Bon alors je l’ai terminé avant d’avoir pu prendre les photos donc tu ne peux pas le voir mais il s’agit d’un démaquillant biphasé. En général, c’est ce que je préfère pour les démaquillants yeux car ce sont souvent les plus efficaces. Et j’ai bien besoin de cette efficacité vu la tonne de pigments et les nombreuses couches de mascara dont je me tartine.

Ce qu’en dit la marque : Cette lotion biphasée rafraîchissante est formulée à partir d’huiles ultra fines pour éliminer parfaitement le maquillage des yeux, même intense et résistant à l’eau. Il convient aux yeux les plus sensibles et aux porteurs de lentilles.

Ce que j’en pense : Effectivement, j’ai les yeux sensibles et suis porteuse de lentilles et je l’ai utilisé sans problème. Pour ce qui est de son efficacité, je valide aussi. Avec un seul coton, je venais à bout du maquillage d’un œil sans avoir à frotter comme une malade. Ca peut vous paraître basique et normal, mais chez moi, avec certains de mes maquillages, ce n’est pas toujours aussi facile. Petit bémol tout de même : il me laissait parfois la petite trace noire sur le ras de cil inférieur. Parfois je l’avais le soir, d’autres fois en me réveillant, et certains jours rien. Mais bon, ça m’est arrivé avec quasi tous les démaquillants yeux testés jusqu’ici. En fait, c’est parce que j’utilise des mascaras bien coriaces et bien noirs. Et c’est pour ça aussi que je suis une telle adepte de l’huile, c’est la seule méthode à venir vraiment et totalement à bout de mes make-up.

Le plus : pas trop gras et ne pique pas les yeux.
Le moins : son prix. Il tourne autour de 23 €, et quand on se maquille beaucoup, il descend assez vite. Il doit tenir un mois environ. Sachant qu’il y a de nombreux démaquillants tout aussi efficaces mais moins chers…


Démaquillant Yeux Ultra Doux, So’Bio Etic
Il s’agit là aussi d’un démaquillant biphasé. Et il est bio. Comme tu le sais, je ne suis pas très bio. Je trouve souvent que la sensorialité des textures est moins bonne, ou je n’aime pas le parfum (je déteste les parfums verts), ou c’est bourré d’huiles essentielles (que je déteste aussi) ou il y a un vrai manque d’efficacité. Bref, j’aime le chimique. Après, on nous répète tellement que le bio s’est amélioré et est désormais à la hauteur de la cosmétique traditionnelle que j’ai décidé de traiter les cosmétiques bio comme s’ils n’en étaient pas. Pas de problème pour en ajouter à ma routine, pas parce qu’ils sont bio mais parce que quelque chose chez eux (promesse, parfum, etc) me plait. Là, j’avais besoin d’un démaquillant yeux et le hasard a fait qu’il était bio.

Ce qu’en dit la marque : « Non irritant et apaisant, il convient aux yeux sensibles et aux porteurs de lentilles. Grâce à sa texture bi-phase non grasse, ce démaquillant yeux est idéal pour éliminer avec douceur et efficacité tous les types de maquillage. »

Ce que j’en pense : Je dis oui sur le côté non irritant, il ne m’a absolument pas piqué les yeux. Pour le côté apaisant, je ne saurais te dire,  mais sa formule intègre de l’eau florale de bleuet qui est effectivement connue pour ses vertus calmantes (et utilisée dans de nombreux démaquillants yeux). Après, pour l’efficacité, elle est clairement à revoir. Sur moi, ce n’était pas du tout ça. C’est même pas qu’il me fallait deux cotons pour venir à bout du maquillage d’un œil, c’est que ça ne démaquillait pas du tout. Bon, ça enlevait un peu le gros mais c’est tout et après ça ne bougeait plus. En fait, il y avait comme un second effet kiss cool : ça étalait les pigments du maquillage et ça les « collait » à la peau. Et après, le make-up ne voulait plus bouger. J’avais beau repasser le coton imbibé dessus, rien. Pourtant, quand je l’ai utilisé cet été, je me maquillais très peu : un fard doré, du crayon noir (mais seulement sur le ras de cil supérieur) et du mascara. Mais je crois qu’il n’aimait pas mon mascara, trop pigmenté. Le passage du coton étalait ses pigments et après j’avais le contour de l’œil tout noir, un noir qui refusait de partir. La seule solution que j’ai trouvé pour nettoyer ce gros pâté, ça a été l’huile démaquillante. Et encore, alors qu’elle est d’habitude ultra efficace, à chaque fois, elle rame pour venir à bout de ce pâté noir créé par le démaquillant. Je te dis, la couleur est comme collée à ma peau. Je n’ose imaginer ce que ça donnera si je l’utilise sur un de mes maquillages ultra pigmentés. Bref, je ne m’en suis pas débarrassée parce que je n’aime pas gâcheer mais je ne l’utilise depuis qu’en de rares occasions.

Le plus : il est bio (pour certaines, c’est un plus).
Le moins : son manque total d’efficacité.

Le résultat
Si, clairement, le démaquillant Payot est le grand gagnant de ce match, car il est bien plus efficace (ou pour être plus précise, lui est tout simplement efficace), aucun des deux produits n’a réussi à vraiment conquérir mon cœur de beauty addict. Je préfère toujours utiliser une solution démaquillante tout en un. Rien ne pourra détrôner mon amour de l’huile qui peut s’utiliser sur le visage, les lèvres ou les yeux. Ca fait gagner tellement de temps le soir et il n’y a pas plus efficace. Et puis même si je décidais d’un coup de me remettre à un produit spécifique pour les yeux, certains démaquillants testés auparavant m’ont plus marquée et plus séduite (et certains moins chers en plus comme chez Vichy ou Mixa).

Bon, on en pense quoi de ce petit match ? Ca vous plait comme format ou préférez les reviews pures et simples d’un produit à la fois ? Moi, j’aime bien, je trouve que ça se prête à certains produits.

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dimanche 2 novembre 2014

Mes cheveux ont-ils eux aussi craqué pour la marque Aussie ?


Il y a quelques mois, la planète beauté était en émoi : la marque Aussie débarquait enfin en France. Et pour l’occasion, la marque au kangourou ne faisait pas les choses à moitié. J’ai ainsi eu la chance de voir sonner à ma porte un beau surfer torse nu pour m’annoncer l’arrivée de ces produits cultes chez Monoprix. Une arrivée attendue depuis longtemps par de nombreuses beauty addicts. Bon, je t’avoue quand même que moi je ne connaissais pas du tout. Oui, c’est la honte pour l’obsédée des cheveux que je suis. Car j’ai découvert ensuite que cette marque était très connue hors de France (c’est mon problème, je suis trop franco centrée). D’ailleurs, en faisant mes petites recherches pour apprendre à mieux la connaître, je suis même tombée sur quelques beautystas françaises tellement accro qu’elles commandaient sur internet ou faisaient le plein quand elles partaient à l’étranger. Il faut dire qu’Aussie bénéficie d’un très bon bouche à oreille : consommatrices et même coiffeurs ayant utilisés la marque semblent en être fans. J’avais donc assez hâte de tester ces produits tant vantés.


Mais avant de vous dire ce que j’en pense, petit retour sur la marque (même si je ne vais peut-être rien vous apprendre tellement on a parlé d’elle ces derniers temps sur la blogo beauté). Malgré ce qu’on pourrait penser au premier abord (vu son nom qui désigne aussi en argot les Australiens et son logo qui est un kangourou), la marque n’est pas australienne. Après petite recherche je ne suis même pas sûre qu’elle soit vendue en Australie. En fait, elle a été fondée par un coiffeur professionnel américain qui, lors d’un voyage au pays des kangourous en 1979, découvre la richesse de la nature australienne. Il décide alors d’utiliser ces ingrédients naturels pour chouchouter nos cheveux. D’où sa forte identité australienne. Bon, depuis, la marque a bien grandi et fait désormais partie du groupe P&G (Procter & Gamble Beauty) qui possède également, entre autres, Pantène, Wella ou Head & Shoulders, donc qui s’y connait quand même un peu en cheveux. Mais Aussie se démarque de ses (con)sœurs par sa philosophie : elle veut dédramatiser le soin du cheveu et rendre ça fun. Ce qu’elle transmet par son slogan assez marrant : « Il n’y a pas que les cheveux dans la vie mais c’est un bon début ». Cela se traduit par des gammes courtes, des produits faciles à utiliser qui agissent rapidement et des parfums sensoriels. Le but : prendre soin de ses cheveux sans se prendre la tête.

La marque a débarqué au mois de mai dernier avec six gammes et a rapidement conquis les beautystas. Je ne compte plus les articles dithyrambiques sur la blogo beauté. J’ai d’ailleurs de nombreuses beauty copines (ou blopines) autour de moi qui ont complètement succombé à la marque. L’idée qui revenait le plus souvent, c’est que ça avait complètement transformé leurs cheveux, qui depuis étaient plus beaux, plus légers, toussa toussa. Au début de l’été, mes cheveux s’étant transformés en paille (le résultat de deux ombrés hair et de l’exposition au soleil), j’attendais donc beaucoup de ces produits vu à quel point ils m’avaient été vantés. Eh bien, spoilert alert, j’attends toujours. Sur moi, on peut dire que ça a fait pschitt. J’ai pu tester la gamme Miracle Moist, pour les cheveux secs et abîmés. Donc un peu ma problématique du moment. La marque nous dit que cette gamme dont la formule contient de l’huile de macadamia apporte de la douceur aux cheveux et les rend souples et hydratés. La gamme en elle-même est composée de trois produits : un shampooing, un après-shampooing, et le 3 MM, le 3 Minute Miracle, le produit star de la marque. Grâce à sa formule intégrant de l’extrait de mélisse de citronnelle d’Australie, le 3 Minute Miracle Reconstructor « adoucit les cheveux rêches et les laisse brillants et plein de santé ! Un soin qui répare et hydrate en profondeur pour des cheveux ravivés en 3 minutes seulement. » (je cite). Le miracle de ce Reconstructor étant justement qu’il est censé reconstruire de beaux cheveux en seulement 3 minutes. 


Pour une fois, j’ai voulu faire les choses bien : j’ai testé les trois produits en même temps, dans la même routine. Comme ça, si je remarquais une amélioration, je saurais à qui l’attribuer. Mais d’amélioration, il n’y a pas eu. Concrètement, le shampooing fait bien le job, il lave. L’après-shampooing, je suis moins fan car il ne démêle pas super bien. Heureusement, le 3MM compense en démêlant mais l’action soin « transformatrice de cheveux » tant vantée n’a pas été flagrante sur moi. Mes cheveux sont restés exactement les mêmes. Pas pire hein, mais pas mieux non plus. Là un peu déçue, je me suis dis : pourquoi elles et pas moi, qu’est-ce que j’ai fait de mal (mauvaise utilisation ?), pourquoi ça ne marche pas (sur moi) ? Je voulais vraiment expérimenter les bienfaits tant vantés par les blopines (traduction : copines blogueuses). Bon, puisque ça ne fonctionnait clairement pas sur ma chevelure, je me suis dit que j’allais tenter de vivre cet effet waouh par procuration au moins. J’avais un autre 3 Minutes Miracle Reconstructor en stock et je l’ai légué à une copine pas trop beauty addict mais qui mourrait d’envie de tester la marque car son coiffeur ne lui en avait dit que du bien. Elle en attendait donc beaucoup. Mais chez elle aussi RAS, rien à signaler. Pourtant avec ses cheveux frisés et donc bien secs, elle était également la cliente idéale de ce 3MM. Mais pour nous, pas d’effet Aussie. Je pense qu’on n’était pas faites pour la marque. En plus de n’avoir pas vu de résultat, on n’a toutes les deux pas du tout adhéré au parfum de bubble-gum des produits que tout le monde adore. C’est comme ça, parfois le courant ne passe pas. 


Attention, je ne dis pas que ce sont de mauvais produits. Les cosmétiques, c’est comme ça, ça marche sur certaines personnes et pas sur d’autres. Et cette fois, moi, je n’ai pas eu le droit à mon miracle. Donc pour moi, c’est une gamme de produits capillaires classiques. Même si j’y crois quand les copines disent que ça a changé leurs cheveux car, après leur premier test, elles continuent à acheter des produits de la marque. Mais clairement, malgré le super bouche à oreille dont bénéficie Aussie, je pense qu’il faut être consciente qu’il n’y aura pas d’effet waouh pour tout le monde. Si vous avez envie de craquer et de tenter votre chance, allez-y, vous y aurez peut-être droit (laissez peut-être tomber l’après-shampooing). Les prix étant assez raisonnables (7 et 9 €), on peut s’y essayer sans se ruiner. Si ça ne marche pas, pas de rancune alors, on n’y aura pas laissé ses économies. Je précise toutefois, car je sais que certaines se sont posées la question : oui, Aussie met en avant ses ingrédients naturels venus d’Australie, c’est sa marque de fabrique. Mais les formules en soi ne sont pas « naturelles » ou « bio ». Ce sont des formules classiques. D’ailleurs, je précise, car je sais que c’est désormais l’obsession de certaines : oui, les produits contiennent des sulfates et parfois silicones (je vous ai mis une photo des trois INCI). Bon, tu le sais, moi, ça ne me dérange pas.

Et vous, vous avez aussi testé Aussie ? Et si oui, vous faites partie de quel camp : l’effet waouh ou le mien ?
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